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Indonésie

Carnet de route

INDONESIE Août 2011

Nous arrivons à Tuban près de Denpasar sur l’Ile de Bali. Pour nous reposer des 18 heures d’avion, nous marchons le long de la plage de Kuta bordée d’hôtels de luxe avec discothèque, piscine et ambiance festive.

Nous quittons Bali avec un bus qui embarque sur le ferry pour l’Ile de Java. A Banyuangi, nous organisons une excursion en 4x4 au volcan Kawa Ijen. A 6 heures du matin, nous croisons déjà les premiers porteurs qui remontent avec des paniers chargés jusqu’à 90kg de souffre. Au fond du cratère du volcan, le lac d’acide vert/bleu émeraude s’évapore dans la brume matinale. On marche sur les bords du cratère, bien à l’écart des groupes de touristes.

En train, nous rejoignons Probolinggo puis un minibus nous emmène sur les versants du Parc National des volcans Bromo-Tenger-Semeru. Encore un réveil très matinal, pour  arpenter un point de vue et assister au lever du soleil sur l’immense caldeira de 10km de diamètre et ses volcans qui s’enflamment de couleurs orangers. Au fond, le Semeru crache régulièrement un panache de fumée nous rappelant bien son activité. On escalade les pentes raides recouvertes de cendres volcaniques noires pour voir le fond du cratère crachant des vapeurs. La poussière vole en permanence. Les habitants ont retiré jusqu’à 50 centimètres de cendres déposés lors de la dernière éruption datant de un mois. Plus tard dans la matinée, tous les groupes de touristes partis, je marche seul dans le fond de l’immense caldeira tout en surveillant les tourbillons de cendres et la brume montante.

Jogjakarta est une grande ville dynamique avec sa circulation, ses étalages de souvenirs et de batiks. Dans le quartier historique du Kraton, nous visitons le gigantesque palais du sultan. En pleine période de ramadan, nous sommes réveillés la nuit par l’appel à la prière, mais dans la journée, tout est calme et nous n’avons aucun problème pour nous déplacer et nous restaurer. Dans la journée, il fait parfois très chaud et nous apprécions la petite piscine de l’hôtel.

Le plus grand temple bouddhique d’Indonésie de Borobudur est comparé à Angkor Vat au Cambodge ou Bagan en Birmanie. Nous en profitons bien en l’explorant le matin au lever du soleil puis le soir pour le coucher du soleil. Entre deux, une petite promenade à bicyclette sous la chaleur de milieu de journée pour découvrir la campagne avoisinante a raffermi les mollets d’Annie.

A Prambanan, dans la grande banlieue de Jogjakarta, un bus de ville nous mène à un temple, hindouiste cette fois-ci. Les sculptures raffinées du temple de Shiva au milieu d’un grand parc en font un des plus beau complexe de la période hindoue à Java, inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco.

Nous rentrons sur Bali en avion, à l’aéroport de Jogjakarta, j’aperçois Guy de Saint Cyr, vulcanologue et accompagnateur de voyage, que nous avions vu à la télévision quelques mois auparavant. Je ne manque pas l’occasion d’entamer la conversation avec lui. Il me conseille l’ascension du Volcan Batur sur Bali, j’en prends bonne note…

De retour à Bali, nous montons directement en taxi à Ubud, ville très animée et touristique. Nous pensions y rester quelques 3 ou 4 jours seulement, mais les préparatifs d’une grande procession pour la crémation de la défunte reine nous y ferons rester une semaine. Et toutes les journées y seront bien occupées. De plus, nous sommes très bien installés dans un losmen (petite pension familiale), avec vue sur les rizières. C’est également au milieu de magnifiques rizières luxuriantes descendant en paliers des pentes douces des volcans que nous nous promenons à pieds cherchant parfois notre passage entre les différentes terrasses bordées de cocotiers vertigineux. Nous visitons des musées de peinture, Ubud est le berceau de l’art moderne balinais. Nous assistons à des spectacles de danses balinaises avec concerts de gamelan (ensemble traditionnel composé de percussions). Nous louons un scooter pour visiter un peu plus loin le temple de Mengwi au milieu d’une circulation soutenue. En fin de journée, nous observons les milliers d’aigrettes et de hérons qui regagnent leurs nids dans le petit village de Petulu. Agung, le mari de Nora, notre amie française, nous retrouve et nous emmène visiter les alentours vers Tegalalang avec ses magnifiques rizières en terrasses accrochées aux flancs des collines et Kenderan, son village d’enfance où nous rencontrons sa famille. Près du Palais, le marché est animé et déborde de marchandises, on y trouve les quelques souvenirs à ramener.

Enfin, après des journées et des semaines de préparation, le jour de la crémation arrive. Les habitants de toute l’Ile et les touristes affluents. La rue principale est envahie par la foule. Des dizaines d’hommes portent le palanquin du taureau, suivi de la tour de plus de 25 mètres de haut avec le cercueil et de la rampe d’accès jusqu’au lieu de crémation. Il fait très chaud, c’est un peu la bousculade pour être au plus près de l’évènement. Après des heures de mis en place, le cercueil secoué par le portage des hommes descend tant bien que mal de la tour par la rampe. Il fait trois fois le tour du taureau suivi de la famille et des offrandes. Il est hissé sur le taureau toujours à bras d’hommes qui ne lâchent pas la prise pour avoir l’honneur de la porter au maximum. Le corps est déposé dans le taureau puis le feu est mis faisant reculer les curieux trop proche sous l’effet de la chaleur du brasier. Tout ce temps de préparation et de mise en place pour partir en fumée en quelques instants…

En taxi, nous montons vers le volcan Batur (1718m). Nous trouvons un hôtel dans un village au fond de la caldeira (1030m d’altitude) près d’un grand lac avec vue sur les montagnes avoisinantes. Le soir, après diner, nous nous détendons dans les sources d’eaux chaudes sulfureuses du village. Avec 2 espagnoles, nous partons à 4 heures du matin pour faire l’ascension de ce volcan Batur. Pas de clair de lune, il fait encore nuit noire, sans guide, nous cherchons un peu notre chemin pour sortir du village, nous traversons une épaisse forêt. Le jour se lève, nous distinguons maintenant les alentours, nous progressons à travers un paysage volcanique composé de cendres et coulées de lave refroidit datant de plusieurs années. Le soleil apparait à l’horizon au dessus des nuages. Je marche sur la crête du volcan, une fois à droite vers où des indonésiens font cuire des œufs durs et des bananes dans un trou de fumerolles dégageant une vapeur bouillante aux odeurs de souffre. Une autre fois à gauche du cratère où, dos au soleil, j’aperçois l’ombre de ma silhouette se dessiner dans la brume montante du fond du cratère.

Nous louons à nouveau une motocyclette à la journée pour aller au temple de Besakih, l’ensemble religieux le plus important de Bali perché à près de 1000m d’altitude sur le flanc du volcan Agung. Sur la route du retour, un gentil toutou me pince le mollet, par précaution, une jolie infirmière me fait une première injection du vaccin antirabique, plus tard, les résultats d’analyses m’annoncent que je n’ai pas contracté la rage.

A Padangbai, nous flemmardons quelques jours sur les jolies plages. Malgré de belles petites baies, les vagues déferlent encore très forts et la baignade est sportive. On régale de bons plats de poissons, de thon, de barracuda ou de marlins grillés dans de sympathiques restaurant avec vue sur le port et les ferrys qui partent pour l’ile de Lombok.

A Sanur, nous retrouvons notre ami Agung. Nous passerons les 2 derniers jours chez lui à Batubulan près de Denpasar et ensemble nous « avalons » des kilomètres en motocyclette jusqu’aux magnifiques rizières en terrasses de Jatiluwih, le marché artisanal et le lac de Bedugul, les aquariums et l’élevage de tortues de mer de Serangan, le marché aux poissons de Jimbaran, les falaises de Uluwatu sur la péninsule à l’extrême sud de Bali. Le soir, nous flânons au marché de nuit de Denpasar.

Jusqu’aux dernières heures et juste avant de reprendre l’avion, nous nous baignons encore sur la magnifique plage de Belangan. 4 semaines n’ont pas suffit pour découvrir l’est de Java et tout Bali, il faudra revenir pour continuer et certainement traîner du coté de Lombok et d’autre iles de ce superbes pays archipel.

Denis & Annie (Rouen)

Présentation

indon Une destination...

Nature coeur4
Aventure coeur4
Culture coeur4
Détente-vacances coeur2
indonecarte En bref...

. Destination : pour voyageur débutant (Bali)/un peu expérimenté (autres îles).
. Bali : 650/990 € en avion.
. Jakarta : 600/900 € en avion.
. Visa à l'arrivée (< 30 jours) ou avant le départ.
. A emporter : Euros.
. Budget quotidien : 12 à 20 €/jour.
. Hébergement : petits hôtels et chez l'habitant.
. Pour se déplacer : bus (deux roues à Bali), bateaux accessoirement avion.
. Risques : moyens au niveau sanitaire et faibles à élevés, selon les zones, au niveau sécurité.


cadenas
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Histoire




. Ve-XIVe siècle : peuplé auparavant par les Malais qui repoussèrent les populations autochtones, le pays subit une forte présence indienne puis, à partir du XIIe siècle, une montée progressive de l'Islam qui triomphera dès 1520. Fondation des sultanats.
. 1511 : les Portugais à Malacca puis aux Moluques (1521). Arrivée quelques années plus tard des Hollandais dans l'archipel.
. 1602 : fondation de la Compagnie Hollandaise des Indes Orientales.
. 1619 : création de Batavia (Jakarta) et prospérité des sultanats.
. 1641 : prise de Malacca par les Hollandais qui mettent ainsi fin à la présence portugaise suivie quelques années plus tard de leur installation à Sumatra et Java.
. 1799 : disparition de la Compagnie des Indes Orientales et colonisation directe des Hollandais.
. XIXe siècle : séries de révoltes; l'Indonésie enrichit sa métropole (épices, café, hévéas, minerais...).
. 1911 : éveil de l'idée nationale.
. 1920 : création du parti communiste et sept ans plus tard du parti national de Sukarno.
. 1942-1945 : occupation japonaise qui favorise la naissance de l'Indonésie.
. 1945 : Sukarno proclame l'indépendance du pays malgré l'opposition des Pays-Bas (guérilla).
. 1949 : l'Indonésie obtient sa souveraineté.
. 1950-1958 : développement des mouvements séparatistes locaux.
. 1957 : pleins pouvoirs à Sukarno.
. 1963 : l'Irian Jaya est cédée à l'Indonésie par les Hollandais à qui elle appartenait encore. Début d'une "colonisation sanglante" indonésienne sur ce nouveau territoire; celle-ci étant d'ailleurs toujours d'actualité.
. 1965 : suite à une tentative de coup d'état de gauche, l'armée avec le général Suharto prend le pouvoir. Suharto élimine progressivement Sukarno de la scène politique, de même que les mouvements communistes et en partie la minorité chinoise de l'archipel.
. 1968 : Suharto élu président de la république. Jusqu'à sa destitution, 30 ans plus tard, il régnera avec sa famille sans partage sur le pays.
. années 70/80 : Bali devient peu à peu la "vitrine touristique" de l'Indonésie.
. 1976 : invasion en décembre 1975, suivie peu après de l'annexion, de Timor Est (alors colonie portugaise) dont la population refuse l'autorité de Jakarta (guérilla) et revendique l'indépendance.
. 1988 : privatisation et ouverture aux capitaux étrangers de l'économie indonésienne.
. 1994 : négociations entre le gouvernement indonésien et les mouvements d'opposition de Timor.
. 1997-1998 : à la mi-97 une série d'incendies ravage pendant plusieurs mois les îles de Java, Sumatra et Bornéo. Le pays est également touché de plein fouet par la crise économique du Sud-est asiatique. Celle-ci entraîne une récession (dévaluation, augmentation du chômage...) suivie de troubles sociaux sévèrement réprimés par le gouvernement qui s'accrochera au pouvoir jusqu'à la démission de Suharto début 1998.
. 1999 : le successeur de Suharto, Jussuf Habibie assoupli le système politique indonésien et démantèle l'immense patrimoine de la famille de l'ancien président. En septembre, le référendum sur l'indépendance du Timor (approuvé par 78% de la population locale) entraîne une vague de troubles violents menés par les anti-indépendantistes soutenus par Jakarta.
. 2001 : affrontements inter-ethniques à Sulawesi et maintien de l'instabilité politique dans le pays.
. 2002 : indépendance du Timor Oriental. En octobre, un attentat fait près de 200 morts, dont de nombreux touristes, à Bali.
. 2004 : le 26 décembre un violent tsunami fait près de 100 000 victimes sur la côte ouest de Sumatra et 50 000 supplémentaires sur le pourtour du Golfe du Bengale.
. 2005 : accords de paix entre le gouvernement et les sépartistes de la région d'Aceh (Sumatra).
. 2008 : mort de l'ancien président Suharto.



Se déplacer




Par la route


Généralités

De façon générale les déplacements en Indonésie sont très économiques mais par contre souvent lents et pas toujours très confortables.
On ne peut pas dire qu'il y ait à proprement dit un mode plus intéressant que les autres pour voyager dans le pays. D'ailleurs, il peut être intéressant (et parfois utile) de mélanger les genres pour découvrir différents aspects de la société indonésienne.

Réseau routier

Le réseau routier indonésien est relativement bon sur les grands axes et nettement moins, voire exécrable, ailleurs. De façon générale, la circulation est plutôt anarchique dans le pays, notamment pour ce qui est des règles de conduite. Evitez donc de rouler de nuit et attention aussi au racket de la police toujours possible...

Location de voiture

On peut louer une voiture avec ou sans chauffeur un peu partout, dont bien sûr à Bali. Comptez 15 à 25 €/jour en moyenne et dans les 25 à 30 € si c'est avec chauffeur (celui-ci hormis sur Bali peut s'avérer "utile"). Cela dit, sauf à la limite sur Bali, la location d'un véhicule n'est pas forcément toujours le plus intéressant vu les autres transports possibles et leurs tarifs.
Il existe aussi la possibilité d'affréter à la journée (ou plus) selon ses besoins un taxi ou un véhicule particulier. Cela peut s'avérer une solution ponctuelle pour gagner du temps et disposer de plus de liberté; le tout à un prix intéressant (bien négocier).

Bus et minibus

Le réseau de bus et de "bemos" (minibus pour de moyennes distances) est très développé en Indonésie avec de multiples compagnies. Ce sont d'ailleurs les premiers modes de transports locaux. Les tarifs sont variables selon le niveau de confort et la rapidité proposés mais restent toujours très abordables; bien moins de 1 € l'heure de route pour le "basique".
Donc, on trouvera au choix, des express grand luxe (clim, siège réservé) sur les grandes lignes ou des bus plus "folkloriques" lents et bondés. Dans tous les cas les bus et minibus demeurent à tous niveaux de très bons moyens de déplacement pour le voyageur.

Deux roues

Pour par exemple rayonner autour d'un point de chute ou surtout à Bali, on peut opter pour une location de deux roues. Au choix un vélo pour 1 ou 2 €/jour, ou mieux encore un scooter pour 3 à 5 €/jour.
A savoir que même si le permis international n'est pas obligatoire pour la location d'un scooter, il est préférable d'avoir celui-ci si on se fait arrêter par la police qui sinon, le cas échéant, n'hésitera pas à coller une amende... payable évidemment en liquide.

Stop

Comme dans beaucoup de pays le stop est ici payant sur en gros la base du bus. Mais vu le choix et les tarifs des divers transports l'auto-stop n'est pas vraiment l'idéal pour l'Indonésie.

En ville

En ville il est possible de se déplacer en taxi "individuel" (avec ou sans compteur ), bemo (minibus collectifs en général bondés mais très économiques) ou bajak (scooter à trois roues également très peu chers). Dans tous les cas toujours bien négocier les prix avant.



Trains


Le réseau de chemin de fer indonésien se concentre localement au sud de Sumatra, et surtout sur Java où le train relie les principales villes et est une option intéressante de transport.
Les trains indonésiens sont plutôt lents et économiques pour différentes classes allant des premières climatisées aux troisièmes très animées.



Voie maritime


Logiquement on trouve des ferries et bateaux en tous genres (et états) en Indonésie. Ils sont généralement lents et économiques et assurent de multiples liaisons entre de nombreuses îles.
Sur l'ensemble, c'est la compagnie Pelni qui est la plus présente même si localement on trouvera d'autres transporteurs. De plus en plus concurrencé par l'avion, le bateau est cependant un peu en perte de vitesse sur certaines dessertes.
En terrain difficile (comme à Bornéo ou Siberut) le transport par rivière est le principal moyen de locomotion.



Vols intérieurs


L'avion demeure un bon moyen de déplacement pour qui veut visiter l'ensemble de cet immense pays ou pour parcourir de grandes distances (un pass aérien est en principe proposé par la compagnie nationale Garuda).
Attention toutefois à l'état du réseau domestique indonésien tant au niveau des aéroports que des transporteurs. En effet, l'aérien ne semble pas toujours garantir toute la sécurité voulue et plus de la moitié des aéroport et la quasi totalité des compagnies locales ne suivraient pas les normes internationales en vigueur. Sur l'ensemble des transporteurs à signaler la low-cost (malaise) Air Asia qui propose quelques liaisons intérieures à tarifs très intéressants.
Au niveau désagréments à noter également, des annulations de vols ou des suppressions de dessertes toujours possibles, un surbook fréquent (toujours bien reconfirmer ses vols et se présenter longtemps en avance aux aéroports) et, en saison, des difficultés pour trouver de la place sur certaines destinations comme Bali.



Hébergements




En Indonésie l'hébergement demeure très varié en capacité et "qualité" pour un large choix de tous types à Bali jusqu'aux possibilités plus que limitées à tous niveaux de l'Irian Jaya et autres îles peu visitées.
Le marchandage reste possible au niveau des hébergements et est même à conseiller surtout hors saison.



"Petits" hôtels et chez l'habitant


Les "losmen" sont de petits hôtels ou chambres chez l'habitant très répandus dans le pays et très économiques. On y dort facilement pour moins de 5 ou 6 € la double dans un confort généralement convenable.
Pour du plus haut de gamme ou sur Bali comptez 10 à 12 €.
Hors sentiers battus, prévoyez votre moustiquaire notamment dans les endroits ou les hôtels sont quasi-inexistants et où la solution consiste le plus souvent à dormir dans les villages chez l'habitant.



"Tout inclus"


C'est une formule très présente à Bali et qui à la limite est à conseiller pour ceux qui veulent séjourner uniquement dans cette île dans des hébergements aux normes internationales.



Camping, bivouac


Hormis pour certains treks lorsqu'il n'y a pas vraiment d'autres solutions, le camping (sauvage) ou bivouac ne présente aucun intérêt en Indonésie vu notamment le prix et les possibilités d'hébergements.

Gastronomie

La cuisine indonésienne est assez variée et fonction des îles. Le riz ("nasi") représente l'élément principal; on le retrouve dans le nasi goreng (riz frit mélangé avec diverses choses selon les versions) qui est le plat national, ou encore le rijsttafel d'origine hollandaise. Egalement le gado gado (légumes bouilllis avec sauce aux cacahuètes), les satay (brochettes de poulet, mouton, etc), des beignets de toutes sortes, les fruits de mers et le poisson.
En plus de la gastronomie locale, la cuisine chinoise est également bien présente en Indonésie.

Restaurants

Les "warungs" sont les restaurants familiaux les moins chers que l'on puisse trouver. Ils proposent généralement des soupes et des plats à base de riz. Ils consistent en 2 ou 3 tables et un repas y coûte moins de 2 €. On peut aussi manger sur les marchés pour 1 € environ.Dans des établissements un peu plus touristiques, comptez aux alentours de 5 €.Attention en période de ramadam (le pays est musulman), il est parfois difficile de trouver un restaurant ouvert la journée dans certaines régions.







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