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vendredi, 22 mars 2024 11:44

Moto cocotte

Moto cocotte c'est une ode à la vie à travers une balade à moto en France en solo ou accompagnée. 

De la micro-aventure en passant par une immersion sensorielle dans les régions françaises, Moto cocotte se veut être un podcast "gourmand" dans le lequel je vais vous partager mes trouvailles, nourrir mon esprit de belles rencontres, régaler mes yeux de paysages connus ou atypiques, faire pétiller mes papilles avec des mets régionaux, entendre le doux chant du coq me réveiller le matin et me rappeler que c'est encore une belle journée pour écrire son histoire.

Moto Cocotte c'est également des motardes qui font le monde de la moto d'aujourd'hui et de demain. Sur quelques épisodes, je ferai intervenir des invités pour nous parler de leurs réalisations et de leurs projets.

Enfin, des "motocasts" autour de plusieurs thèmes tels que l'image de la femme à moto, et la moto en tant que thérapie sont prévus.

Brève présentation….

Je m'appelle Annie. Je suis motarde depuis quatre ans et avant tout passionnée de voyages.

J'ai longtemps parcouru les quatre coins du globe en sac à dos. Cette fois-ci, la besace a été remplacée par des valisettes sur ma moto.

Vous me suivez ?

https://smartlink.ausha.co/moto-cocotte

 

samedi, 16 mars 2024 07:48

Tour du monde à vélo

Je m'appelle Bernard et d'habitude, je pars chaque année faire des voyages à vélo de deux trois semaines, mais c'est toujours trop court.

Alors pour mes 50 ans, j'ai enfin pris une année sans solde pour pouvoir pédaler sans limite et avec la liberté de me laisser surprendre par les rencontres au fil des kilomètres.

J'ai débuté mon voyage à vélo en septembre en Ouzbékistan et j'ai encore des étoiles dans les yeux d'avoir contemplé les bâtiments et monuments de l'empire timouride en faïence bleue. Ensuite, je me suis lancé sur la route de la soie en pédalant dans le Pamir et ses sauvages vallées avant de me diriger sur la Karakorum Highway, direction sud au Pakistan. J'ai découvert dans ce dernier pays, une population qui est peinée que les européens le conçoivent avec des a priori très négatifs.

Et c'est vrai que je n'y ai trouvé que des gens bienveillants, me partageant quelques instants de leur vie autour d'un thé ou d'un repas, même quand la barrière de la langue aurait dû interdire cette rencontre. Poursuivant ma route, en traversant l'Inde tumultueuse et colorée, avant d'arriver au Népal dont les montagnes et la qualité de la route pourrait refroidir plus d'un cycliste. Cependant, en arrivant à un col, la vue sur les Annapurna baignés des rayons du soleil couchant compense largement les nombreuses heures à pousser le vélo sur des routes, des chemins et des pistes dont leur qualité fait qu'on peine à les différencier.

D'un saut de puce, je me suis offert le luxe d'un détour par le Bouthan. Ici pas de vélo, car pour éviter le tourisme de masse, les services d'un guide sont obligatoires et je ne voyais pas l'intérêt de pédaler suivi par une voiture pendant tout le séjour. Il vaut parfois mieux savoir renoncer à pédaler plutôt que d'en faire un non-sens. C'est encore l'esprit rempli du "Bonheur National Brut" partagé par les bouthanais que je recommence à pédaler sur des terres toujours plus lointaines, voire hostiles, l'Australie.

En roulant sur la piste la "Tasmanian Trail", en Tasmanie, j'y ai découvert à la fois des gens qui prennent le temps d'aider les cyclistes et le "whoop whoop". Ce terme est utilisé par les locaux pour désigner les endroits de leur pays où il n'y a rien en dehors de la nature sauvage. Donc pas de ville ou village, pas d'humain, pas de réseau de téléphone en cas d'urgence, pas de ravitaillement en eau potable et en nourriture, ...

Du coup, arrivant en Nouvelle-Zélande après ça, on a une sensation de détente absolue qui s'installe : ici pas de serpents ou d'araignées mortelles. Rien que des pistes de VTT avec des paysages sensationnels s'offrant comme une caresse pour les sens du cycliste.

Dans quelques jours, je m'envole pour le Chili afin de pédaler sur une mythique route pour les cyclos, la "carratera australe" et peut-être jusqu'à Ushuaia avant de rejoindre l'Afrique et finir en apogée aux chutes Victoria. Le mix entre des tronçons en avion et du "slow travel" à vélo, peut faire bondir certains cyclistes puristes, mais il permet de réaliser le rêve de pédaler dans tous les endroits où usuellement on se dit "c'est trop loin pour y aller, c'est pas la saison,...".

Alors, pourquoi se priver? Et vous, c'est quoi vos rêves?

jeudi, 29 février 2024 10:12

Balade à Saint Germain en Laye

Nous nous sommes retrouvés en ce dimanche 25 février à 11h devant le musée départemental Maurice Denis à Saint Germain en Laye pour une après-midi « rando / culture » sous une petite bruine hivernal de saison.

Huguette et Joel avaient organisé dans un premier temps une visite guidée privative du musée Maurice Denis installé dans un ancien hôpital royal de la fin du XVII siècle fondé par Madame de Montespan, classé aujourd’hui monument historique.

Le musée retrace l’histoire de Maurice Denis à travers le bâtiment et un grand nombre d’œuvre majeur, Principal acteur du mouvement post impressionniste des Nabis (« prophète » en Hébreu), Maurice Denis fait l’acquisition en 1914 de cet ancien hôpital qu’il aménagera pour loger sa femme et ses 6 enfants, son atelier quant à lui est aménagé au fond du jardin. La présentation des œuvres se déroule dans le logis principal, alors que la chapelle réaménager par l’artiste est toujours restée dans son état d’origine.

Notre guide reprend une bonne partie de la vie de l’artiste au travers du bâtiment et de ses œuvres ici présentent.

L’été, le musée propose également une belle balade à travers les jardins en terrasse se déployant Sous le prieuré.

Une fois la visite terminée, nous avons profité d’une légère éclaircie pour pique-niquer en extérieur et tous se réchauffer autour un bon verre chaud au bar du coin.

Une partie du groupe est resté malgré les conditions météorologiques défavorable pour une petite balade sur la terrasse du château et la forêt.

< Fabien

vendredi, 23 février 2024 11:06

Le nouveau magazine Globe-Trotters de mars/avril 2024 vient de paraître

GT214 MARS AVRIL2024 web100Pourquoi partir en 2024 ? Quelle question dans un magazine dont l’essence même est de donner des ailes à vos rêves d’évasion ! Et pourtant : conflit russo-ukrainien, conflit israélo-palestinien, embrasement du Moyen-Orient, conflit larvé en mer de Chine orientale, conflits sociaux en Europe, etc. Encore un peu de BFM ?

À tout le moins, reconnaissons que la liste des frontières criblées, déchirées, disloquées, ou en instance de l’être ne demande qu’à s’étoffer.

Alors, pourquoi partir en 2024 (après cela) ? Parce que Globe-trotters se doit de vous convaincre qu’il existe des raisons positives qu’aucune géopolitique ne parviendrait à cribler, déchirer, disloquer. Des exemples ? Dans les pages qui suivent, vous partirez consulter les puissances occultes par l’intercession d’un roi sénégalais ou des moai, gardiens de l’Île de Pâques, puis bivouaquer dans la campagne française sans boussole ni préjugés ; enfin, poser vos pas sur les

ultimes parallèles du globe, en Patagonie chilienne ou dans l’archipel du Svalbard, là où des frontières séparent les derniers peuplements humains des terrae incognitae. Mais cet éventail de raisons objectives ne se suffira probablement pas à lui-même.

Alors, pourquoi partir en 2024 (après tout) ? Cela doit rester un choix de décision ; larguer les amarres, entreprendre d’autres voyages vers d’autres ports, s’ouvrir vers de nouveaux horizons et se réaliser à nouveau.

Pour bien faire, surtout pour “faire bien” et pour conclure : “Rien n’est permanent, sauf le changement.” Citation d’Héraclite d’Ephèse, héros malgré lui des cours de management ! Appliquée au voyage, elle est d’une certaine façon une réponse à la question “pourquoi partir en 2024 ?” Dans une époque qui change, si nous changions nous aussi... à commencer par changer d’air ?

Xavier Gaumer (77)

Remontant la façade ouest des Andes depuis le Cap Horn, après plusieurs mois dans les glaciers, les montagnes, les paysages désolés de Patagonie, les fjords, les îles et les volcans, nous arrivons dans le cœur battant du Chili autour des villes de Santiago et Valparaiso. Quel pays étonnant que cette bande de terre de plus de 4000 km de long ne dépassant pas 200 km en largeur, dont l’essentiel de la population est bloquée entre la Patagonie, le désert d’Atacama et la chaîne de l’Aconcagua, face à l’océan Pacifique !

Pour les gens de notre génération, impossible de ne pas associer Santiago-du-Chili au coup d’État de Pinochet, et au suicide du Président de la République Salvador Allende dans le palais de la Moneda en 1973, mettant fin à la tentative de « voie chilienne vers le socialisme » ; et douze jours plus tard, à l’assassinat de Pablo Neruda, le grand écrivain prix Nobel de littérature, par la junte militaire qui allait gouverner le Chili dans la terreur durant quinze ans.

La notoriété de Pablo Neruda, soutien de Salvador Allende, membre du Parti Communiste, ambassadeur en France, chantre de la solidarité humaine, était trop gênante pour les nouveaux maîtres du Chili. Son « Canto General », œuvre poétique monumentale, dressait un portrait épique de l’Amérique latine, évoquant les premiers habitants du continent, l’arrivée des conquistadores, l’exploitation des Amérindiens, la naissance de la classe ouvrière, des premiers combats politiques et syndicaux, de l’unité populaire face à la répression du pouvoir et des exploiteurs… une voix à faire taire rapidement !

Si ses poèmes comme le « Canto General » ou «  Les vers du capitaine » immortalisent Pablo Neruda pour ses lecteurs, pour nous voyageurs, il a également laissé trois empreintes magnifiques dans le paysage tempéré de ce Chili central, trois maisons à son image : trois refuges enchantés, posés sur des sites merveilleux offrant le spectacle du port ou du déferlement des vagues puissantes du Pacifique, dans des collines où accrocher des dénivelés pleins de surprises et des jardins ravissants, conçus sur des plans fantaisistes, dictés par l'envie d'étonner les nombreux amis royalement reçus, de vivre heureux avec la femme aimée et d'écrire entouré des ambiances et des objets choisis...

… Des objets ! Insolites, chargés d’histoire réelle ou inventée, multipliés et enrichis par la collection ou au contraire mis en valeur par leur unicité : verres colorés (pour donner du goût à l'eau...) instruments de marine, figures de proue, étriers, papillons, coquillages… Des œuvres d'art, des mosaïques de son amie Marie Martner, œuvres du designer Fornassetti, des peintures chinoises...

De la couleur, des matériaux chaleureux, chinés, bricolés, rien de somptueux ou prétentieux. La richesse est dans les accords, les oppositions, les trouvailles surprenantes, et peut-être surtout dans la mémoire du poète qui survit à l'oubli comme elle a survécu à la dictature...

Après la découverte de la maison de Santiago, dénommée par Pablo Neruda la Chascona (qui signifie « la femme aux cheveux emmêlés »), en référence aux cheveux roux et indociles de Matilde Urrutia, la femme de sa vie, la poésie, l’inventivité et la générosité qui émanent de cette habitation nous ont irrésistiblement amenés à faire le pèlerinage jusqu’aux deux autres : la casa de Isla Negra, la plus belle, dans le jardin de laquelle sont enterrés les deux amants face au Pacifique, et enfin, surplombant les pentes, le port et la mer, la Sebastiana à Valparaiso !

Valparaiso ! Un nom dont la simple sonorité nous fait rêver ! Qui évoque tous ces marins, ces Cap-Horniers pour qui ce port était le réconfort après des mois passés dans des mers infernales. Qui était l’escale obligée des navires joignant l’Atlantique au Pacifique par le détroit de Magellan jusqu’au début du XXe siècle ; dont le déclin s’amorça avec le percement du canal de Panama et s’amplifie maintenant avec la montée en puissance vertigineuse des échanges commerciaux entre l’Asie et le continent américain ; et que la construction de l’énorme port de Chancay par les Chinois dans le nord du Pérou achèvera vraisemblablement de classer parmi les merveilleux souvenirs de la marine marchande.

L’immense amphithéâtre de « cerros » (collines) abritant une nuée de constructions colorées dans une organisation approximative entoure le port de Valparaiso ouvert sur le Pacifique. La quasi-totalité des 300 000 habitants vivent dans ces cerros desservis par des ruelles et de vertigineux funiculaires. Cette ville au passé illustre est aujourd’hui pauvre, et certaines des collines ont des allures de bidonvilles. Ceci, ajouté à l’ambiance mystérieuse et inquiétante des rues des anciens bas-fonds des quartiers du port contribue à donner à Valparaiso une réputation de dangerosité. Et pourtant, quel charme dégage cette ville ! Avec ses multiples couleurs, ses maisons plantées au mépris de toute rationalité urbaine, loin des routes goudronnées, des services publics et des réseaux d’eau ou d’électricité, son port encore vivant (pour quelque temps !), les nuances infinies de la mer omniprésente, son street art joyeux et inventif, ses perspectives changeantes à chaque pas, ses interminables marches pour rejoindre les quartiers…

Parachutés sur la terrasse d'un hôtel dont les chambres sont sous la rue, face à la mer, nous découvrons l'immense baie de ce port dont la grandeur passée est encore visible sous les façades décaties ! Pour aborder les dédales de ses ruelles et escaliers, nous suivons les recommandations des touristes aussi bien que des Chiliens : ne pas aller n'importe où, et surtout pas tout seuls. Nous rejoignons donc une visite organisée par de jeunes étudiants chiliens, amoureux de leur ville et soucieux de nous en éviter les désagréments. Nous nous risquons ensuite seuls de jour dans les quartiers les plus sûrs, du bas du port jusque dans les pentes des cerros, d'escaliers en funiculaires, de randonnée en escalade…

En cette fin d'après-midi, je me bats avec le clavier de l'ordinateur de l'hôtel Fauna pour rédiger un article du blog. Tout-à-coup l'écran devient tout noir ! La réceptionniste peste au même moment : elle vient de perdre toutes les données de son client. Avec beaucoup de patience, elle m'explique que le réseau électrique est coupé dans toute la ville : un incendie s'est déclaré dans les hauteurs des cerros, qui a dû endommager les câbles. De la terrasse de l'hôtel, nous découvrons qu’une épaisse fumée a en effet envahi tout le ciel, magnifiquement ensoleillé une heure auparavant.

Quelques instants plus tard, la nuit est tombée, le courant électrique est revenu après avoir été coupé encore deux fois. Nous décidons de descendre au port chercher un distributeur de billets et dîner. Dix-huit banques plus tard, il faut nous rendre à l'évidence : à Valparaiso, un soir, et ce soir-là particulièrement, nous ne trouverons pas de cash. Pas de cash, pas de dîner, sauf si un restaurant accepte notre carte Visa. Nous nous asseyons dans un bar où la musique bat son plein et, avant de commander notre pisco sour, demandons d'un air assuré : "se puede pagar con la tarjeta ? " "La maquina no fonctiona ahora, pero dentro de una hora quizas", répond le serveur pour être arrangeant. Il ne nous reste plus qu'à battre en retraite et à rentrer à l'hôtel. Au moment où nous arrivons au pied du funiculaire qui doit nous y monter, tout devient noir : il fait une nuit profonde, le courant a sauté, la lune est totalement cachée par le nuage de fumée de l'incendie. La dame du funiculaire me tend brutalement son téléphone portable : je l'éclaire pendant qu'elle ferme à double tour la porte d'accès. On ne voit pas à 50 cm. Je lui demande où se situe l'escalier qui permet de monter à la rue de l'hôtel ; malgré l'épaisse nuit qui nous entoure je la vois blêmir et bégayer : "no ! no escaliera ! no por la noche ! no por la noche sin luz !"

Nous remontons donc la grand’rue, au milieu de dizaines de lucioles, chacun essayant d'éclairer les innombrables dénivelés de trottoir, les nids de poules et les travaux en cours avec son téléphone ou une petite torche. D'un seul coup le mystère d'une ville comme Valparaiso, déjà impressionnant la journée, devient écrasant dans la nuit absolue, où chaque recoin, chaque marche, chaque renfoncement de porte prend des allures d'embuscades. Les sirènes de pompiers allant de manière désordonnée d'un bout de la ville à l'autre, ajoutent de l'angoisse à cette ambiance inhabituelle.

A l'hôtel, la machine à carte Visa fonctionne. Sur la terrasse où nous dînons, nous pouvons voir l'avancée des flammes de l'incendie gagnant toujours du terrain et les retombées des cendres qui s’intensifient. Le lendemain matin, le veilleur de l'hôtel nous raconte qu'il n'a jamais vu une catastrophe pareille à Valpo et que deux salariés de l’établissement ont tout perdu dans l’embrasement de leur maison. Après avoir quitté la ville, nous apprendrons que ce gigantesque incendie avec un bilan de 15 morts, mettra 10 jours à être maîtrisé, après que 10 000 personnes ont été évacuées et 2 900 logements détruits. Michelle Bachelet, présidente du Chili revenu socialiste à ce moment-là, confirmera qu’il s’agit « du pire cas d’incendie survenu à Valparaiso ».

Philippe Gouyou Beauchamps (69)

mercredi, 21 février 2024 14:03

Les BoRéalistes

Notre deuxième tour du monde approche, sept ans après le premier. Départ fin mars, retour mi-octobre.

Nous commencerons par trois semaines en Turquie, dans nos grottes. Nous quitterons Istanbul pour partir en Mongolie, sortant de son hiver rigoureux. Après, nous aborderons l’archipel japonais à la floraison des cerisiers, de Hokkaïdo à Okinawa en utilisant très souvent le Shinkansen, le TGV japonais, pour passer d’île en île. En guise d’escale au milieu de l’océan
Pacifique, ce sera Hawaii (désormais envahi pacifiquement par les Japonais) avec Pearl Harbour et Honolulu.

Puis, nous parcourrons la côte Ouest des États-Unis, en train de Los Angeles à Vancouver, porte d’entrée du Canada. Début juillet, nous ferons une croisière à travers l’Inside Passage, nous permettant d’admirer les côtes et les îles très découpées du Canada et les fabuleux glaciers de l’Alaska. Puis un long trajet terrestre, en bus, en covoiturage ou en auto-stop, via Anchorage, Dawson City et Whitehorse, nous fera traverser, sur le chemin de la ruée vers l’or, l’Alaska et le Yukon avant d’aller nous rafraichir dans les Rocheuses canadiennes.

Puis nous arriverons, en avion, à Ottawa, avant le Québec et la “Grosse Pomme” au menu. Pour nous reposer, une deuxième croisière nous mènera à Halifax (ancienne Acadie), à l’archipel français ultramarin de Saint-Pierre-et-Miquelon, à Terre-Neuve, au Groënland. Elle se terminera en Islande où nous espérons voir des aurores boréales et des éruptions volcaniques. Enfin, mi-septembre, en ferry, nous accosterons dans l’archipel déchiqueté des Féroé. Nous prévoyons de terminer par les trois pays baltes.
  • (du 29/03 au 25/04) Nous commencerons par 3 semaines en Turquie, dans nos grottes.
  • (du 26/04 au 04/05) Nous quitterons Istanbul pour partir en Mongolie, sortant de son hiver rigoureux.
  • (du 04/05 au 08/06) Après, nous aborderons l’archipel Japonais à la floraison des cerisiers, de Hokkaïdo à Okinawa (toujours base de l’armée US) en utilisant très souvent le Shinkansen (le TGV japonais) pour passer d’île en île.
  • (du 08/06 au 11/06) En guise d’escale au milieu de l’Océan Pacifique, ce sera Hawaï(désormais envahi pacifiquement par les Japonais) avec Pearl Harbour et Honolulu.
  • (du 12/06 au 23/06) Puis, nous parcourrons la côte Ouest des Etats Unis, en train de Los Angeles à Vancouver, porte d’entrée au Canada.
  • (du 24/06 au 01/07) De Vancouver, début juillet, nous ferons une croisière à travers l’Inside Passage, nous permettant d’admirer les côtes et les îles très découpées du Canada et les fabuleux glaciers de l’Alaska.
  • (du 01/07 au 24/07) Puis un long trajet terrestre, en bus, en covoiturage ou en auto-stop, via Anchorage, Dawson City et Whitehorse, nous fera traverser, sur le chemin de la ruée vers l’or, l’Alaska et le Yukon avant d’aller nous rafraichir dans les Rocheuses Canadiennes.
  • (du 24/07 au 07/08) Puis nous arriverons, en avion, à Ottawa, avant le Québec et la « Grosse Pomme» au menu.
  • (du 08/08 au22/08) Pour nous reposer, une deuxième croisière nous mènera à Halifax (ancienne Acadie), à l’archipel français ultramarin de Saint Pierre et Miquelon, à Terre-Neuve, au Groënland.
  • (du 22/08 au 05/09) Elle se terminera en Islande où nous espérons voir des aurores boréales et des éruptions volcaniques.
  • (du 05/09 au 13/09) Enfin, mi-septembre, en ferry, nous accosterons dans l’archipel déchiqueté des Féroé.
  • (du 23/09 au 10/10) Nous prévoyons de terminer par les 3 pays baltes, s’ils ne sont pas menacés par « Le Maître du Kremlin ».

N’hésitez pas à nous rejoindre sur l’une de ces destinations.

Nous sommes preneurs de tous conseils, tuyaux, contacts, information utile.



N’hésitez pas à nous rejoindre sur l’une de ces destinations. Nous sommes preneurs de tous conseils, tuyaux, contacts, informations utiles.

Patrick Kernen et Sylvaine Deforge (75, 28)
mardi, 13 février 2024 10:04

Création d’un blog de voyage : nos conseils clés pour atteindre votre audience

L'utilisation stratégique des réseaux sociaux est indispensable pour tout blogueur de voyage aspirant à se faire connaître. Ces plateformes deviennent des vitrines permettant de partager des aventures, de susciter l'inspiration et de créer des liens avec une audience partageant les mêmes intérêts.

Dans un monde où le contenu visuel prime, un blog de voyage a tout à gagner en exploitant le potentiel des réseaux sociaux pour capturer l'attention, élargir son audience et engager avec des passionnés de voyages du monde entier.

Choisir les bonnes plateformes de réseaux sociaux pour votre blog de voyage

Il est crucial de choisir les plateformes qui correspondent le mieux à la nature de votre contenu et où se trouve votre audience cible. Instagram, avec sa forte emphase sur le visuel, est parfait pour exposer les photographies de vos destinations.

Pinterest peut servir de source d'inspiration pour ceux qui planifient leurs voyages. Facebook et Twitter permettent une interaction plus directe et personnelle, facilitant le partage de conseils et d'expériences de voyage plus détaillés.

La clé est de sélectionner les plateformes qui amplifient votre message et engagent efficacement votre public cible.

L'importance de la cohérence dans la publication

Publier régulièrement est essentiel pour garder votre public engagé et intéressé par votre contenu. En établissant un calendrier de publication, vous créez une attente parmi vos abonnés, qui se réjouissent de voir votre prochain post.

Cela aide également à construire une routine, rendant votre marque plus fiable et professionnelle aux yeux de votre audience. Une stratégie de contenu bien planifiée assure une présence constante sur les réseaux sociaux, essentielle pour bâtir et maintenir une base d'abonnés fidèles.

Utiliser les analyses pour comprendre votre audience

L'analyse des données fournies par les plateformes de réseaux sociaux peut révéler des informations précieuses sur les préférences de votre audience, les meilleurs moments pour publier et les types de contenu les plus engageants.

En adaptant votre stratégie en fonction de ces insights, vous pouvez augmenter significativement l'engagement de votre audience. Comprendre le comportement de vos abonnés vous permet d'affiner votre contenu pour mieux répondre à leurs attentes, maximisant ainsi l'impact de chaque publication.

Créer un profil de médias sociaux visuellement attrayant

L'attrait visuel de votre profil joue un rôle déterminant dans la capacité à captiver et retenir l'attention des visiteurs. Une couverture Facebook bien conçue, créée par exemple avec Adobe Express, sert non seulement à embellir votre profil mais aussi à communiquer l'essence de votre blog de voyage d'une manière immédiatement reconnaissable.

Une image de profil claire, un bio succinct mais informatif, et une identité visuelle cohérente à travers tous vos canaux sociaux sont essentiels pour établir une marque forte et mémorable dans l'esprit de votre audience.

Rédiger du contenu engageant qui résonne avec votre audience

Le secret pour captiver et fidéliser une audience est de produire du contenu qui parle directement à ses intérêts et passions. Votre contenu doit non seulement informer mais aussi inspirer vos abonnés, en les invitant à explorer le monde à travers vos yeux.

Racontez vos aventures de manière authentique et personnelle, en partageant les leçons apprises et les moments magiques. En intégrant des récits captivants, des conseils pratiques et des perspectives uniques, vous créez une valeur ajoutée qui encourage l'engagement et le partage.

Exploiter les hashtags pour étendre votre portée

Les hashtags sont un outil essentiel pour accroître la visibilité de votre contenu sur les réseaux sociaux. Ils permettent à des personnes intéressées par des sujets spécifiques de découvrir votre travail.

Utilisez des hashtags pertinents et populaires dans le domaine du voyage pour toucher un public plus large, tout en restant spécifique à votre niche pour atteindre ceux qui sont le plus susceptibles de s'engager avec votre contenu. Une sélection judicieuse de hashtags peut transformer une simple publication en un outil puissant d'acquisition d'audience.

Engager avec votre communauté : conseils pour construire des relations

L'engagement ne se limite pas à attirer des abonnés ; il s'agit de créer une communauté. Encouragez l'interaction en posant des questions, en répondant aux commentaires et en reconnaissant les contributions de vos abonnés.

Montrez que derrière votre blog se trouve une personne réelle intéressée par le partage d'expériences et prête à écouter et apprendre des autres. Cet engagement bidirectionnel renforce le lien avec votre audience, transformant les abonnés occasionnels en une communauté fidèle.

Collaborer avec d'autres passionnés de voyage et blogueurs

La collaboration avec d'autres créateurs de contenu peut ouvrir des portes à de nouvelles audiences et offrir des perspectives fraîches à vos abonnés actuels.

Que ce soit par le biais de publications conjointes, d'échanges de contenu ou de participations à des événements, ces partenariats enrichissent votre offre de contenu.

Ils témoignent également de votre volonté de soutenir et de faire partie de la communauté plus large des blogueurs de voyage, ce qui peut amplifier votre réputation et votre portée.

Promouvoir vos articles de blog sur vos canaux de médias sociaux

Chaque article de blog représente une opportunité de renforcer votre présence en ligne et de diriger le trafic vers votre site. Utilisez les réseaux sociaux pour teaser le contenu à venir, partager des moments forts de vos articles, et inciter les abonnés à cliquer pour en savoir plus.

Une stratégie de promotion efficace implique d'utiliser chaque plateforme de manière unique, adaptant votre message pour exploiter les forces de chaque canal tout en maintenant une narration cohérente à travers vos communications.

Se tenir à jour avec les tendances et mises à jour des réseaux sociaux

Le paysage des réseaux sociaux est en constante évolution, avec l'introduction régulière de nouvelles fonctionnalités, algorithmes, et tendances. Pour rester pertinent, il est crucial de se tenir informé des dernières nouveautés et d'adapter votre stratégie en conséquence.

Que ce soit en expérimentant avec de nouveaux formats de contenu, en optimisant vos publications pour les derniers algorithmes, ou en suivant les tendances virales, une approche proactive vous aidera à maintenir l'engagement de votre audience et à attirer de nouveaux abonnés.

vendredi, 09 février 2024 17:10

Sortie chaleureuse ABM à Paris.

Une sortie chaleureuse


Un rallye dans Paris par une température négative ? Quelle drôle d'idée a priori. Mais étant affilié récemment à ABM, j'avais à cœur de rencontrer d'autres adhérents.

J’ai été facilement intégré à une équipe qui s'est révélée être composée de personnes sympathiques. Le rallye proposé s’est avéré très bien préparé et très intéressant. 35 questions, une planche de photographies de lieux ou de détails à repérer, un guidage codé permettant de ne pas s’égarer et un rendez-vous final précis à une heure donnée. Le fil conducteur choisi était le temps. Celui qu’il fait, celui qui passe.

Précisons que choix de visite incite à regarder partout, s’intéresser aux détails, ralentir l’allure et bien sûr échanger avec le groupe.

C’est la première fois que je parcourais la rue Montorgueil si lentement et avec tant de plaisir. L’itinéraire (quelques heures de la place du Louvre à la place de la République) s’est révélé très riche et m’a permis de pénétrer quelques lieux dans lesquels je n’avais jamais mis les pieds. Je me suis promis de retourner les visiter spécifiquement.

Cette super balade s’est terminée gaiement autour d’une boisson chaude (café, chocolat, vin chaud selon les goûts). Ce qui nous a permis de mieux faire connaissance et d’en savoir plus sur les activités de l’association, son site internet, etc.
Précision : notre équipe a fait partie des trois équipes gagnantes

< Marc Bretheau (94)

Partis de l' Eglise St Germain L'Auxerrois superbe témoignage mérovingien , nous avons rejoint la rue St Honoré sans parcourir ses 2 kms mais en prenant plaisir au spectacle de ses commerces des plus élégants...Quelques questions plus tard nous étions face à la Bourse du Commerce(Ancien dépôt de blé ) afin de rejoindre St Eustache ,église des Halles fondée en1532 par François Ier et bien mise en valeur par la disparition des pavillons Baltard..

Passage par Montorgueil pour rejoindre le quartier "Arts et Métiers "Quelques questions sur l'Ecole Centrale et ses célébrités puis par la rue Réaumur où sous la pression du Baron Haussmann ,les architectes et les sculpteurs ont fait rivaliser le luxe et l'exubérance pour nous offrir un florilège de leur talent encouragé par la fortune de leurs clients. Puis quartier et square du temple avant de rejoindre notre lieu de RV" le pachyderme" dans un excellent "timing" qui nous a épargné de nous retrouver noyés dans une énième manifestation partant de République ..

Un grand merci et toutes mes félicitations aux organisateurs!
Catherine DERVIN (Antony 92 )

mercredi, 31 janvier 2024 09:47

Les voyages de Tophe en AirBnB

Cet été j’ai découvert l’application Airbnb, c’est une expérience unique.

Sur cette application je trouve des logements pour organiser mon séjour. Je choisi ma destination, je vois la photo de l’hôte et les photos de la chambre et des pièces à ma disposition, je précise que les photos de profil et des lieux ne sont pas contractuelles. J’ai eu des surprises dans les 2 cas. Je me rappelle avoir demandé à une dame si l’hôte : sa fille allait bientôt arriver, je n’ai pas compris pourquoi elle était vexée, elle me répondit sèchement ; « je n’ai pas de fille ! »

Bref ! je fais mon choix en prenant tous mes critères en compte et je réserve mes hébergements pour mon séjour.

Pour mon premier logement je reçois un sms une heure avant mon arrivée, je me crois dans une Escape Game : « Bonjour Prenez la porte d’entrée de gauche qui sera ouverte et montez l’escalier jusqu’au deuxième étage. À côté de la porte il y a une boîte à clés, composez le code 1507. Faites comme chez vous cordialement A et V ». Le lendemain matin, je reçois un autre sms : « Nous espérons que vous avez passé une bonne nuit et que nous vous reverrons, merci de remettre la clé dans la boite » nous sommes donc bien à l’époque du 2.0 où les relations se gèrent par messagerie. Je fus surpris quand j’ai reçu une annotation sur mon téléphone, j’avais un commentaire de mon Hôte virtuel : « personne très agréable et chaleureuse » j’avoue la technologie a bien avancée, l’intelligence artificielle a été adaptée aux boites à clé !

Je continue mon périple et j’arrive chez Valérie, là c’est Robert qui m’accueille le mari de l’hôte, il me précise bien qu’il n’est pas l’hôte. Je pensais arriver dans une maison d’éclusier, au bord de canal au calme, et je me retrouve dans une chambre d’une maison ordinaire. La maison d’éclusier a été relouée… ne pouvant pas aller plus loin, j’accepte malgré tout la chambre, en compensation j’aurai un petit déjeuner gratuit !  Robert me guide vers une chambre, elle est sombre et chaude sous le toit.  Mon accompagnateur me montre avec fierté la technologie de la chambre :  la télécommande du store de la fenêtre

Je découvre une chambre familiale avec 4 lits pour moi tout seul, une salle de bain en face d’un lit, seul un rideau protège de la vue sur la douche, très intime pour une famille. Je regarde la décoration un vieux papier peint à fleur et des façades d’armoires avec des corniches sont fixées sur les murs. Le plus kitch est la façade d’une bibliothèque avec des livres dessinés dans les ouvertures. Je m’en contenterai pour la nuit.  Au cours de la soirée la corniche en bois de la bibliothèque est tombée, heureusement j’avais choisi un autre lit. Au diner j’ai eu droit aux nombreuses blagues de Robert, j’avais l’impression d’entendre l’acteur Jean Lefevre dans le film « La 7iem compagnie » ….

Deux jours plus tard je m’arrête chez Rolande. Je me suis fié au commentaire

Notre séjour chez Rolande et Freddy a été très agréable, leur accueil exceptionnellement chaleureux, leur cuisine délicieuse et leur compagnie vraiment joyeuse. Une soirée d'échanges fluides et une hospitalité rare. Merci à vous ! C'est sûr qu'on reviendra si on repasse dans la région !

Un homme m’accueille, un peu ours « entrez je vous montre la chambre, la porte là c’est la salle de bain » bon je ne prolonge pas la conversation.

Je découvre la chambre, je ne sais pas où poser mon sac tellement elle est encombrée d’objets ; poupées, livres, jouets etc… j’ai plus l’impression d’être dans un grenier. Pour la fenêtre c’est un velux, sans store électrique, l’ouverture est bloquée par une chaine, une étagère est posée devant avec plein de livres résultat 5 cm d’ouverture pour permettre le passage de l’air.

Ce qui est pratique dans cette chambre c’est que je peux atteindre la bouilloire et les sachets de thé en étant couché dans mon lit.

Je vais prendre une douche dans la salle de bain, impossible de trouver un espace où poser ma de trousse toilette et ma serviette, des tas de bouteilles de shampoing et gel douche, des rasoirs, des livres encombrent la pièce, sur le sèche serviettes une dizaine de peignoirs sont accrochés.

Ne pouvant rester enfermé entre les livres, les jouets et les poupées, je me rends dans le jardin pour lire un peu, je demande à mon hôte Rolande un verre pour boire, elle m’indique que j’en ai un à disposition dans la chambre …je n’avais pas remarqué le verre parmi tous les bibelots, donc je remonte le chercher. J’installe une chaise longue sur la pelouse et profite du soleil et du calme, des odeurs éveillent mon odorat, ce sont les effluves de la fosse septique installé au milieu du jardin.

J’ai réservé le diner sur place, c’est toujours agréable de discuter avec les personnes. Je me présente à 20h comme on me l’a précisé, je ne sais pas si je dois venir diner avec mon verre. J’arrive dans une pièce qui sert de cuisine et de salle à manger, la pièce est identique à la chambre des bibelots partout, des boules à neige, des voitures miniatures, des pots au lait… je m’installe et là : l’homme allume la télé pour regarder le journal du soir, installer à table nous allons passer tout le repas avec la télévision allumée.  Je ne sais pas où sont les « échanges fluides » par contre pour « l’hospitalité rare » je comprends mieux le sens.

Je ne vous parle pas du petit déjeuner ou là aussi j’ai eu droit à la télévision.

Apres réflexion j’ai compris le principe de cette application et de ses commentaires.  A chaque fois que je les lis tout est parfait, j’ai découvert le summum de la duplicité de cette application, les personnes mettent un commentaire positif sur le lieu et l’hôte en échange répond avec un commentaire élogieux sur leur attitude pendant le séjour. C’est un peu la chansonnette « Je te tiens, tu me tiens, par la barbichette Le premier qui rira aura une tapette » Eh oui une manière de rester en enfance même avec les GAFA. L’intérêt pour la personne est d’avoir des avis positifs pour être certain d’obtenir un autre hébergement ailleurs car le futur hôte verifira que c’est quelqu’un de sérieux. Et de son côté l’hôte est satisfait car il a une bonne note sur son hébergement et ainsi il est mis en avant…

La prochaine fois je prendrai ma tente.

< Christophe Louis (14)

  • Voyage du 8-26.12 .2023
  • Guide petit Futé et recherches sur Internet
  • Vol Milan-Abidjan avec air royal maroc 550 euro
  • Visa: oui
  • Change dec 2023: 1Euro=650CFA . Changer dans une banque prend une demi-journée ! privilégiez les prélèvements automatiques ou bureau de change! attention le pays a un problème de monnaie et il est donc difficile de se faire rendre la monnaie ! demander à votre chauffeur de vous procurer avant votre arrivée des billets de 500-1000-2000CFA en quantité ! il existe un change au noir mais qui est peu avantageux !
  • Notre circuit sur mesure: Abidjan /Bouaflé/Man/Touba/Kouto/ Khorogo/Yamoussoukro/Mahounou/Abengourou/Grand Bassam.
  • Notre but: assister le plus possible à des danses et sorties de masques traditionnelles. Aller dans petits villages dormir et partager avec les habitants. Ne faisant pas partie de nos intentions nous avons visité aucun parc.
  • Notre chauffeur guide : Ismaël () (WhatsApp +2250172175777) réactif, bon compagnon de voyage, connaît son pays et a beaucoup de relations, peut conseiller et organiser tout aussi pour les pays voisins comme le Ghana, Guinée, Libéria. Possède plusieurs véhicules selon grandeur de votre groupe.
  • Prix :
    • les danses traditionnelles sont payantes, l’argent récolté va à la communauté, elles peuvent être donc organisées à la demande. Le prix varie entre 50.000CFA et 200.000CFA pour le groupe non pas à personne !
    • les entrées dans les monuments varient entre 1000-2000CFA pp.
    • Location véhicule entre 50.000-70.000CFA jour selon grandeur du 4X4 (plus si mini bus)
    • Chauffeur guide000CFA jour (prestation, hébergement, repas)
    • Essence en plus.
  • État des routes : 80% du réseau bon état (quelques autoroutes payantes)
  • Hôtels : chaque ville offre des hôtels de toutes catégories, visiter car le confort peut être rudimentaire (pas d’eau chaude, pas de clim…) à l’entrée des villes publicité des différents hébergements. Prix entrée de gamme entre 25.000-50.000CFA double AVEC un seul petit déjeuner . notre chauffeur avait sélectionné pour nous les hôtels.
  • Manger : privilégiez « les Maquis » restaurants de rue qui offrent pour 1000-2000CFA un plat traditionnel. Attention service très long partout car on cuisine à la minute, voire on va acheter au marché les ingrédients manquants ! essayer d’aller là où déjà des plats traditionnels prets pour service rapide ! éviter les restaurants d’hôtels ! Abidjan et Grand Bassam cher !
  • Grand Bassam : pour se reposer en fin de voyage , tenu par une française Hôtel La Madrague directement sur la mer.
  • Comme nous vous pouvez porter /acheter sur place cahiers et stylos pour les laisser dans écoles des villages. Le pays est très pauvre et vos surplus feront des heureux ! (Ismaël vous conseillera où laisser vos articles : écoles, chefs de village, orphelinats…)
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