mardi, 20 juin 2017 14:23
Le monde est à eux
Après 10 ans en Nouvelle-Caledonie et notre famille au complet, notre âme d'aventuriers à refait surface.
Nous avons donc décidé de dévoiler la beauté du monde à nos enfants, d'ouvrir leurs esprits, de rêver avec eux.
Les Amériques (du nord/centrale/du sud) seront donc notre terre de découverte pendant un peu plus d'une année.
Nous partirons en septembre 2017 à bord de notre maison roulante (que nous sommes en train de totalement rénover). L'avenir nous dira le reste.
Au départ de cette exploration, Inaya aura 8 ans et Keziah 6 ans.
Détails sur notre itinéraire, nos motivations, notre mode opératoire, notre âme sur notre site
Nous avons donc décidé de dévoiler la beauté du monde à nos enfants, d'ouvrir leurs esprits, de rêver avec eux.
Les Amériques (du nord/centrale/du sud) seront donc notre terre de découverte pendant un peu plus d'une année.
Nous partirons en septembre 2017 à bord de notre maison roulante (que nous sommes en train de totalement rénover). L'avenir nous dira le reste.
Au départ de cette exploration, Inaya aura 8 ans et Keziah 6 ans.
Détails sur notre itinéraire, nos motivations, notre mode opératoire, notre âme sur notre site
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Voyageurs au long cours
mardi, 23 mai 2017 16:22
Au fil de l'Omo, le nouveau défi de David Scholl
David Scholl, membre d'ABM prépare sa prochaine expédition en Ethiopie.
L’objectif principal de cette aventure est de descendre en packraft la rivière Omo de sa source jusqu’à son delta qui se jette dans le lac Turkana.
Mais plusieurs sous-objectifs ont également toute leur importance et sont au coeur de notre projet. Nous les avons classés en trois catégories.
< objectifs aventure :
< Objectifs nature :
- Découvrir, photographier et filmer les différentes espèces animales présentes dans cet
environnement.
- Étudier les effets du barrage Gibe III sur l’écosystème présent en aval.
< Objectifs culture :
- Faire découvrir aux habitants les arts du cirque.
- En apprendre plus sur les tribus vivants sur les berges de l’Omo, et documenter leur mode de vie
actuel.
- Tenter d’établir un contact avec les communautés les plus isolés.
- Étudier les effets du barrage Gibe III sur les populations locales.
Suivre le projet de David sur :
http://oeil-aventurier.com
L’objectif principal de cette aventure est de descendre en packraft la rivière Omo de sa source jusqu’à son delta qui se jette dans le lac Turkana.
Mais plusieurs sous-objectifs ont également toute leur importance et sont au coeur de notre projet. Nous les avons classés en trois catégories.
< objectifs aventure :
- Descendre les 760km du fleuve Omo, depuis sa source jusqu’au lac Turkana.
- Affronter en packraft les nombreux rapides qui sillonnent le fleuve.
< Objectifs nature :
- Découvrir, photographier et filmer les différentes espèces animales présentes dans cet
environnement.
- Étudier les effets du barrage Gibe III sur l’écosystème présent en aval.
< Objectifs culture :
- Faire découvrir aux habitants les arts du cirque.
- En apprendre plus sur les tribus vivants sur les berges de l’Omo, et documenter leur mode de vie
actuel.
- Tenter d’établir un contact avec les communautés les plus isolés.
- Étudier les effets du barrage Gibe III sur les populations locales.
Suivre le projet de David sur :
http://oeil-aventurier.com
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Voyageurs au long cours
mercredi, 08 mars 2017 14:27
Tour du monde en solo : de l'opportunite au défi
Je suis Marie-France Marchand, alias WOMAN ON TOUR. En Novembre 2014, je suis partie faire un tour du monde, seule, 9 mois en sac à dos.
Non je n’ai pas caché une grossesse ! ;-)
Je suis partie, 290 jours, j’ai visité 13 pays, soit 56 villes. J’ai fait une quinzaine d’activités : safari, plongée, montgolfière, saut à l’élastique et saut pendulaire, des cours de cuisine, du bénévolat, saut en parachute, plongée avec les requins, un trek dans la jungle, une retraite spirituelle de 10 jours sans parler. J’ai visité le Machu Pichu, le Christ Rédempteur, la Grande muraille de Chine, les temples d’Angkor… J’ai eu des aventures amoureuses. ;-) Je me suis trouvée, et je suis devenue moi. Heureuse. Epanouie. Alignée.
Rien à déplorer durant ce voyage, j’ai tenu mon budget et réalisé tout ce que je voulais faire.
Mon voyage fut une pleine réussite. Même le RETOUR s'est bien passé.
Difficile à croire ? Et pourtant c'est possible.
C'est sur la base de mon expérience, et des nombreuses questions qui me sont posées lors des Festivals, ou de mes conférences... que j'ai eu l'idée de créer SOLO'ISSEO pour aider les nouveaux tourdumondistes, notamment les femmes, à déjouer, d’une part, tous leurs mécanismes de doutes, et à préparer, d’autre part, avec succès leur départ puis leur retour.
Le programme SOLO’ISSEO est la 1ère formation numérique en ligne qui associe coaching et vidéos tutoriels pour préparer le voyageur dans son mindset, autant que le voyage dans tous ses aspects pratico-pratiques. Comment partir avec la bonne posture ? Comment partir avec confort, sérénité afin de vivre le voyage en sac à dos sereinement ? Je vous accompagne dans toutes les étapes de vos préparatifs pour un gain de temps et d’énergie, et un maximum de soutien.
Plus d’informations : www.reussir-son-voyage-solo.com
Non je n’ai pas caché une grossesse ! ;-)
Je suis partie, 290 jours, j’ai visité 13 pays, soit 56 villes. J’ai fait une quinzaine d’activités : safari, plongée, montgolfière, saut à l’élastique et saut pendulaire, des cours de cuisine, du bénévolat, saut en parachute, plongée avec les requins, un trek dans la jungle, une retraite spirituelle de 10 jours sans parler. J’ai visité le Machu Pichu, le Christ Rédempteur, la Grande muraille de Chine, les temples d’Angkor… J’ai eu des aventures amoureuses. ;-) Je me suis trouvée, et je suis devenue moi. Heureuse. Epanouie. Alignée.
Rien à déplorer durant ce voyage, j’ai tenu mon budget et réalisé tout ce que je voulais faire.
Mon voyage fut une pleine réussite. Même le RETOUR s'est bien passé.
Difficile à croire ? Et pourtant c'est possible.
C'est sur la base de mon expérience, et des nombreuses questions qui me sont posées lors des Festivals, ou de mes conférences... que j'ai eu l'idée de créer SOLO'ISSEO pour aider les nouveaux tourdumondistes, notamment les femmes, à déjouer, d’une part, tous leurs mécanismes de doutes, et à préparer, d’autre part, avec succès leur départ puis leur retour.
Le programme SOLO’ISSEO est la 1ère formation numérique en ligne qui associe coaching et vidéos tutoriels pour préparer le voyageur dans son mindset, autant que le voyage dans tous ses aspects pratico-pratiques. Comment partir avec la bonne posture ? Comment partir avec confort, sérénité afin de vivre le voyage en sac à dos sereinement ? Je vous accompagne dans toutes les étapes de vos préparatifs pour un gain de temps et d’énergie, et un maximum de soutien.
Plus d’informations : www.reussir-son-voyage-solo.com
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Voyageurs au long cours
mardi, 21 février 2017 17:47
Allons voir le monde
Nous sommes deux voyageurs, Marine 25 ans et Léo 30 ans, infirmiers tous les deux à Paris, partis depuis le 24 Août 2016 pour un tour du monde de 15 mois (normalement car on a pas de date de retour en fait!).
C'était un réel défi de quitter notre zone de confort car Marine était perçue comme une vraie petite princesse, très attachée à ses habitudes, son confort, son style de vie parisien alors que Léo avait déjà davantage l'étoffe d'un aventurier prêt à tenter cette expérience depuis déjà pas mal d'années.
Si vous voulez en savoir davantage sur nous, on vous invite à lire notre petite présentation sur notre blog : http://www.allonsvoirlemonde.com/qui-sommes-nous/
En ce qui concerne notre itinéraire : nous avons commencé par la Russie (en passant d'abord par Copenhague et Helsinki) et notamment le très célèbre transsibérien, puis la Mongolie, la Corée du sud, la Birmanie, la Thaïlande, le Laos, le Cambodge et nous sommes actuellement au Vietnam.
Nous continuerons ensuite par une semaine à l'Ile Maurice, puis le Sri Lanka, la Nouvelle-Zélande, la Nouvelle-Calédonie, la Polynésie, l'Ile de Paques puis toute l'Amérique du sud (ou presque, puisque nous excluront le Vénézuela).
L'essentiel de notre activité se passe via notre chaîne youtube puisque nous faisons des vlogs très régulièrement (même s'il y a un décalage entre la publication des vidéos et l'endroit où nous nous trouvons). Notre chaine youtube sur laquelle nous comptons quasiment 1000 abonnés est la suivante : https://www.youtube.com/channel/UCNu6L-xcmBsN3vNFOxYvB2Q
Nous avons aussi un facebook : https://www.facebook.com/allonsvoirlemonde/?ref=settings et un compte instagram : https://www.instagram.com/allonsvoirlemonde/ afin de partager nos plus belles photos de voyage.
Si vous avez d'autres questions, n'hésitez pas, on sera ravis d'y répondre :)
Marine et Léo d'Allons Voir Le Monde
C'était un réel défi de quitter notre zone de confort car Marine était perçue comme une vraie petite princesse, très attachée à ses habitudes, son confort, son style de vie parisien alors que Léo avait déjà davantage l'étoffe d'un aventurier prêt à tenter cette expérience depuis déjà pas mal d'années.
Si vous voulez en savoir davantage sur nous, on vous invite à lire notre petite présentation sur notre blog : http://www.allonsvoirlemonde.com/qui-sommes-nous/
En ce qui concerne notre itinéraire : nous avons commencé par la Russie (en passant d'abord par Copenhague et Helsinki) et notamment le très célèbre transsibérien, puis la Mongolie, la Corée du sud, la Birmanie, la Thaïlande, le Laos, le Cambodge et nous sommes actuellement au Vietnam.
Nous continuerons ensuite par une semaine à l'Ile Maurice, puis le Sri Lanka, la Nouvelle-Zélande, la Nouvelle-Calédonie, la Polynésie, l'Ile de Paques puis toute l'Amérique du sud (ou presque, puisque nous excluront le Vénézuela).
L'essentiel de notre activité se passe via notre chaîne youtube puisque nous faisons des vlogs très régulièrement (même s'il y a un décalage entre la publication des vidéos et l'endroit où nous nous trouvons). Notre chaine youtube sur laquelle nous comptons quasiment 1000 abonnés est la suivante : https://www.youtube.com/channel/UCNu6L-xcmBsN3vNFOxYvB2Q
Nous avons aussi un facebook : https://www.facebook.com/allonsvoirlemonde/?ref=settings et un compte instagram : https://www.instagram.com/allonsvoirlemonde/ afin de partager nos plus belles photos de voyage.
Si vous avez d'autres questions, n'hésitez pas, on sera ravis d'y répondre :)
Marine et Léo d'Allons Voir Le Monde
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Voyageurs au long cours
jeudi, 12 janvier 2017 16:27
Clopins clopants
Clopins clopants, Mo et Ma de çi de là
Plus très jeunes, plus très beaux mais jamais malades, l'âme vaillante et le ukulele en bandouillère, à notre tour de partir à la rencontre de nos voisins de l'autre côté de la planète.
Nous, c'est Mo et Ma, alias Maurice et Marcela.
Passionné de chansons et de cuisine, nous partons récolter des pépites au gré de notre chemin. Celui-ci débutera en Acadiane (genre de 2CV camionnette).
Elle nous mènera jusqu'au Kosovo, où nous la remettrons à une ONG qui aide des agriculteurs.
Puis nous poursuivrons notre balade en Iran, Russie, Mongolie, Indonésie, Madagascar, Chine, Laos, Birmanie, Inde, Argentine, Chili (Pays de naissance de Marcé) et Cuba.
Tout ça, c'est de la faute à Nicolas Bouvier (L'usage du monde) et aux festivals de voyage.
Ils nous ont inoculés le virus "… et l'on s'en va clopins clopants, dans le soleil et dans le vent, en promenant nos cœurs d'enfant…"
< Maurice et Marcela (73)
http://moetma.wixsite.com/clopinsclopants
Plus très jeunes, plus très beaux mais jamais malades, l'âme vaillante et le ukulele en bandouillère, à notre tour de partir à la rencontre de nos voisins de l'autre côté de la planète.
Nous, c'est Mo et Ma, alias Maurice et Marcela.
Passionné de chansons et de cuisine, nous partons récolter des pépites au gré de notre chemin. Celui-ci débutera en Acadiane (genre de 2CV camionnette).
Elle nous mènera jusqu'au Kosovo, où nous la remettrons à une ONG qui aide des agriculteurs.
Puis nous poursuivrons notre balade en Iran, Russie, Mongolie, Indonésie, Madagascar, Chine, Laos, Birmanie, Inde, Argentine, Chili (Pays de naissance de Marcé) et Cuba.
Tout ça, c'est de la faute à Nicolas Bouvier (L'usage du monde) et aux festivals de voyage.
Ils nous ont inoculés le virus "… et l'on s'en va clopins clopants, dans le soleil et dans le vent, en promenant nos cœurs d'enfant…"
< Maurice et Marcela (73)
http://moetma.wixsite.com/clopinsclopants
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Voyageurs au long cours
mardi, 10 janvier 2017 09:07
Bretons des quatre vents !
Nous sommes Nolwenn et Damien, deux jeunes Bretons de 23 et 24 ans amoureux de leur région.
Depuis tout petits, on nous a raconté que le Breton est voyageur. On nous a montré des Gwenn Ha Du aux quatre coins du monde.
On nous a dit que partout vivaient des Bretons. Alors nous avons récemment décidé d'aller au delà des "on dit", en partant, sac sur le dos à la rencontre de ces Bretons du monde.
Nous avons à ce jour rencontré 35 Bretons et traversé 4 pays: l'Espagne, le Portugal, l'Angleterre et l'Islande. Prochaine grosse étape au programme : l'Amérique du Sud.
L'idée pour nous est d'apprendre de ces Bretons, découvrir leur parcours, leurs anecdotes, voir à quoi ressemble leur vie à l'étranger, quelle place gardent leurs origines Bretonnes dans leur quotidien ...
Nous partageons ensuite notre aventure et nos rencontres grâce à un blog et aux réseaux sociaux.
Ce projet rassemble, sur notre route nous organisons des rencontres entres Bretons d'une même région/ville, et de ces rencontres naissent régulièrement des liens forts et des amitiés.
De petites communautés de Bretons voient ainsi le jour un peu partout dans le monde.
L'idée est également de faire participer les Bretons et amoureux de voyage qui nous suivent: nous sollicitons nos abonnés pour nous aider à trouver des Bretons un peu partout dans le monde!
Depuis tout petits, on nous a raconté que le Breton est voyageur. On nous a montré des Gwenn Ha Du aux quatre coins du monde.
On nous a dit que partout vivaient des Bretons. Alors nous avons récemment décidé d'aller au delà des "on dit", en partant, sac sur le dos à la rencontre de ces Bretons du monde.
Nous avons à ce jour rencontré 35 Bretons et traversé 4 pays: l'Espagne, le Portugal, l'Angleterre et l'Islande. Prochaine grosse étape au programme : l'Amérique du Sud.
L'idée pour nous est d'apprendre de ces Bretons, découvrir leur parcours, leurs anecdotes, voir à quoi ressemble leur vie à l'étranger, quelle place gardent leurs origines Bretonnes dans leur quotidien ...
Nous partageons ensuite notre aventure et nos rencontres grâce à un blog et aux réseaux sociaux.
Ce projet rassemble, sur notre route nous organisons des rencontres entres Bretons d'une même région/ville, et de ces rencontres naissent régulièrement des liens forts et des amitiés.
De petites communautés de Bretons voient ainsi le jour un peu partout dans le monde.
L'idée est également de faire participer les Bretons et amoureux de voyage qui nous suivent: nous sollicitons nos abonnés pour nous aider à trouver des Bretons un peu partout dans le monde!
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Voyageurs au long cours
mardi, 29 novembre 2016 16:54
Allant vers l'est
Nous sommes Robin et Eugène, deux compères partis sur les chemins du voyage en janvier 2016.
Pendant 8 mois, sillonnant l’Europe, nous sommes allés rencontrer des fermes collectives.
Nous avons nous-mêmes un projet d’installation agricole pour notre retour de voyage.
Ces rencontres nous ont permis de mieux appréhender le ‘vivre ensemble’ et le ‘travailler ensemble’: s’organiser en autogestion (sans patron), prendre des décisions, réguler les conflits, etc.
Nous voyageons en autostop. Nous préférons utiliser des places vides dans une voiture que de rajouter notre impact énergétique pour ce voyage. Cela réduit notre budget mais surtout suscite la rencontre. On a ainsi eu la chance de croiser de nombreuses “perles” qui nous ont aidés sur notre chemin.
Notre appareil photo représente l’unique matériel numérique que nous possédons. Certes, avoir internet dans la poche serait pratique mais, quand nous en avons besoin, nous trouvons toujours un accès internet nous permettant d’anticiper nos déplacements, d’organiser nos rencontres.
Parce qu’on a envie de découvrir le territoire parcouru à travers les Hommes, nous ne dirigeons pas nos pas sur les sentiers touristiques et préférons nous orienter vers la rencontre de locaux. Quelquefois on fait des demandes spontanées d’hébergement. Généralement, nous utilisons des réseaux sociaux d’hébergement pour voyageur afin de partager un temps de vie avec une famille.
Nous n’avons pas de limites de temps ni de limites géographiques.
Notre direction est celle du soleil levant. Nous n’avons pas de destination finale hormis l’envie de grandir et de mûrir nos rêves pour les rendre concrétisables. Il y a toujours un Est à l’Est. Nous rentrerons quand l’envie de se sédentariser pour débuter notre projet sera plus forte que celle de voyager.
Quand cela se produira-t-il ? Affaire à suivre …
Nous sommes aujourd’hui en Géorgie, à Kutaïssi. Nous louons une chambre à une famille géorgienne. Nous posons nos sacs pour un petit mois afin de réfléchir à la suite du voyage, s’impliquer dans des associations locales et découvrir la jolie Géorgie.
Pour la suite de notre aventure, nous avons l’envie de nous ouvrir à des projets sociaux-culturels (associations à but non lucratif, écoles…). Partager, aider, échanger.
Dans cette optique, nous sommes preneurs de contacts de projets socio-culturels en tout genre sur l’Arménie, l’Iran et toute l’Asie.
Notre blog par ici :
Pendant 8 mois, sillonnant l’Europe, nous sommes allés rencontrer des fermes collectives.
Nous avons nous-mêmes un projet d’installation agricole pour notre retour de voyage.
Ces rencontres nous ont permis de mieux appréhender le ‘vivre ensemble’ et le ‘travailler ensemble’: s’organiser en autogestion (sans patron), prendre des décisions, réguler les conflits, etc.
Nous voyageons en autostop. Nous préférons utiliser des places vides dans une voiture que de rajouter notre impact énergétique pour ce voyage. Cela réduit notre budget mais surtout suscite la rencontre. On a ainsi eu la chance de croiser de nombreuses “perles” qui nous ont aidés sur notre chemin.
Notre appareil photo représente l’unique matériel numérique que nous possédons. Certes, avoir internet dans la poche serait pratique mais, quand nous en avons besoin, nous trouvons toujours un accès internet nous permettant d’anticiper nos déplacements, d’organiser nos rencontres.
Parce qu’on a envie de découvrir le territoire parcouru à travers les Hommes, nous ne dirigeons pas nos pas sur les sentiers touristiques et préférons nous orienter vers la rencontre de locaux. Quelquefois on fait des demandes spontanées d’hébergement. Généralement, nous utilisons des réseaux sociaux d’hébergement pour voyageur afin de partager un temps de vie avec une famille.
Nous n’avons pas de limites de temps ni de limites géographiques.
Notre direction est celle du soleil levant. Nous n’avons pas de destination finale hormis l’envie de grandir et de mûrir nos rêves pour les rendre concrétisables. Il y a toujours un Est à l’Est. Nous rentrerons quand l’envie de se sédentariser pour débuter notre projet sera plus forte que celle de voyager.
Quand cela se produira-t-il ? Affaire à suivre …
Nous sommes aujourd’hui en Géorgie, à Kutaïssi. Nous louons une chambre à une famille géorgienne. Nous posons nos sacs pour un petit mois afin de réfléchir à la suite du voyage, s’impliquer dans des associations locales et découvrir la jolie Géorgie.
Pour la suite de notre aventure, nous avons l’envie de nous ouvrir à des projets sociaux-culturels (associations à but non lucratif, écoles…). Partager, aider, échanger.
Dans cette optique, nous sommes preneurs de contacts de projets socio-culturels en tout genre sur l’Arménie, l’Iran et toute l’Asie.
Notre blog par ici :
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Voyageurs au long cours
mercredi, 23 novembre 2016 11:06
Traversée de l'Atlantique en pédalo
Baptiste Dubanchet qui a participé cette année au Paris Travelers festival repart le 6 janvier prochain, pour pédaler de Paris à New-York.
Le voyage est avant tout une façon de communiquer sur l’ampleur du gaspillage alimentaire et de trouver des solutions pour le réduire.
Il ne se nourrira uniquement d’aliments destinés à la poubelle et de produit dont la DLUO est dépassée sur le pédalo.
Vous pouvez soutenir le projet ou trouver plus d’informations sur le site
Le voyage est avant tout une façon de communiquer sur l’ampleur du gaspillage alimentaire et de trouver des solutions pour le réduire.
Il ne se nourrira uniquement d’aliments destinés à la poubelle et de produit dont la DLUO est dépassée sur le pédalo.
Vous pouvez soutenir le projet ou trouver plus d’informations sur le site
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Voyageurs au long cours
jeudi, 17 novembre 2016 14:58
Voyage au long cours et diabète
Céline nous livre ses recommandations élaborées après un voyage backpakers de 7 mois (conditions : 5 mois de climat tropical, 2 mois de climat froid. Transports : bus et avion. Hébergement : auberges de jeunesse et WOOFing.).
Avant le départ
• Bilan complet pré-départ : à prévoir quelques mois avant le départ pour vérifier tous les vaccins, s'assurer de son état de santé et récupérer des ordonnances. Il est également utile de se faire prescrire des antibiotiques pour être en mesure de réagir rapidement en cas d'infection (notamment au niveau des pieds), quel que soit l'endroit où l'on se trouve.
• Ordonnances : faire établir une ordonnance en français et une en anglais au minimum (pour les contrôles dans les aéroports notamment). Numériser ces ordonnances et choisir un moyen d'accès à ces copies numériques selon ses préférences : email, Dropbox, confiées à un proche, etc.
Confier une copie de l'ordonnance et les coordonnées de vos médecins à un proche qui reste en France et qui pourra réagir rapidement en cas de besoin d'envoi d'insuline.
• Définir la quantité de traitement à emmener. Plusieurs points à prendre en compte : recommandations du diabétologue, place disponible dans le sac, trajet et éventuels points de réapprovisionnement (quelle disponibilité, où, à quel prix, etc.), envoi(s) possible(s) par des proches depuis la France à un certain moment du voyage (à quel prix, dans quelles conditions de transport, etc.), etc.
De manière générale, essayer de prévoir au moins un petit plus que ce dont on a besoin (pour compenser les pertes éventuelles de stylo, de dégradation d'insuline, les variations dans les besoins, etc.). Dans notre cas, nous avions choisi d'emporter 1,5 fois le traitement nécessaire.
• Choisir un moyen de transport et de stockage de l'insuline. Notre choix s'est porté sur un sac isotherme (très simple, similaire à ceux vendus en supermarchés pour les surgelés) et des accumulateurs de glace souples (marque Ezetil), plus pratiques pour entourer les boites d'insuline et avoir un résultat final moins encombrant qu'avec des pains de glace classiques. Cette solution fonctionnait bien dans la mesure où elle était seulement destinée à maintenir l'insuline au froid pendant les trajets (l'insuline était ensuite stockée au frigo à notre arrivée dans les auberges de jeunesse).
Nous avions décidé que ce sac serait placé dans un sac à dos qui nous accompagnerait toujours dans les transports (bagage cabine en avion, bagage à main dans le bus) pour éviter tout problème en cas de perte ou de vol des bagages placés en soute ou dans les coffres.
Pendant le voyage
• S'attendre à des variations très fortes dans son traitement. Plusieurs facteurs risquent d'influer sur la réaction de son organisme : température, régime alimentaire, activités quotidiennes différentes, etc. Exemple : lors des premiers jours de notre voyage, l'insuline rapide a dû être réduite par trois, à cause du régime alimentaire très différent et des activités physiques quotidiennes. Plus tard dans le voyage, des conditions de froid extrêmes ont provoqué de nombreuses hypoglycémies et ont nécessité une adaptation du traitement.
Il faut donc être bien préparé à adapter son traitement et anticiper des crises d'hypoglycémie et d'hyperglycémie peut-être plus fréquentes qu'habituellement.soit de quitter un établissement très tôt. Cela évite de se retrouver sur le départ à 7h du matin et de réaliser que l'insuline est coincée dans la cuisine jusqu'à 9h !
Prendre garde à ne pas oublier son traitement à l'hôtel, surtout si l'on a tendance à être distrait : prévenir son/ses compagnon(s) de voyage, mettre un rappel sur son portable, laisser son sac isotherme vide bien en vue avec ses affaires, etc.
• Toujours avoir sur soi une large réserve de produits sucrés pour les hypoglycémies. Surestimer très largement ce dont l'on pourrait avoir besoin, même lorsque l'on se promène simplement en ville : il suffit d'un effort physique un peu intense, de se perdre ou de se retrouver dans un quartier résidentiel pour se retrouver face à une crise d'hypoglycémie et aucun moyen de réapprovisionnement. C'est, évidemment, encore plus vrai pour les randonnées et les escapades dans la nature.
• Adopter le réflexe, notamment dans les pays chauds, de déposer immédiatement son insuline (et ses pains de glace le cas échéant) dans un frigo à chaque arrivée dans un nouveau lieu, afin de limiter les variations de température. Hôtels et auberges de jeunesse sont généralement compréhensifs et, s'il n'y a pas de cuisine commune, stockent l'insuline dans leurs propres frigos (s'ils en ont un !). Nous nous sommes retrouvés une seule fois face à un cas où il n'y avait pas d'accès à un frigo et où nous avons dû conserver l'insuline quelques jours dans notre chambre. Cela reste donc une bonne idée de vérifier si les établissements où vous souhaitez séjourner ont une cuisine commune ou un frigo que vous pouvez utiliser, surtout dans les pays chauds.
Toujours vérifier les horaires d'ouverture de la réception et/ou de la cuisine, surtout lorsque l'on prévoit de quitter un établissement très tôt. Cela évite de se retrouver sur le départ à 7h du matin et de réaliser que l'insuline est coincée dans la cuisine jusqu'à 9h...!
Prendre garde à ne pas oublier son traitement à l'hôtel, surtout si l'on a tendance à être distrait : prévenir son/ses compagnon(s) de voyage, mettre un rappel sur son portable, laisser son sac isotherme vide bien en vue avec ses affaires, etc.
< Céline
Avant le départ
• Bilan complet pré-départ : à prévoir quelques mois avant le départ pour vérifier tous les vaccins, s'assurer de son état de santé et récupérer des ordonnances. Il est également utile de se faire prescrire des antibiotiques pour être en mesure de réagir rapidement en cas d'infection (notamment au niveau des pieds), quel que soit l'endroit où l'on se trouve.
• Ordonnances : faire établir une ordonnance en français et une en anglais au minimum (pour les contrôles dans les aéroports notamment). Numériser ces ordonnances et choisir un moyen d'accès à ces copies numériques selon ses préférences : email, Dropbox, confiées à un proche, etc.
Confier une copie de l'ordonnance et les coordonnées de vos médecins à un proche qui reste en France et qui pourra réagir rapidement en cas de besoin d'envoi d'insuline.
• Définir la quantité de traitement à emmener. Plusieurs points à prendre en compte : recommandations du diabétologue, place disponible dans le sac, trajet et éventuels points de réapprovisionnement (quelle disponibilité, où, à quel prix, etc.), envoi(s) possible(s) par des proches depuis la France à un certain moment du voyage (à quel prix, dans quelles conditions de transport, etc.), etc.
De manière générale, essayer de prévoir au moins un petit plus que ce dont on a besoin (pour compenser les pertes éventuelles de stylo, de dégradation d'insuline, les variations dans les besoins, etc.). Dans notre cas, nous avions choisi d'emporter 1,5 fois le traitement nécessaire.
• Choisir un moyen de transport et de stockage de l'insuline. Notre choix s'est porté sur un sac isotherme (très simple, similaire à ceux vendus en supermarchés pour les surgelés) et des accumulateurs de glace souples (marque Ezetil), plus pratiques pour entourer les boites d'insuline et avoir un résultat final moins encombrant qu'avec des pains de glace classiques. Cette solution fonctionnait bien dans la mesure où elle était seulement destinée à maintenir l'insuline au froid pendant les trajets (l'insuline était ensuite stockée au frigo à notre arrivée dans les auberges de jeunesse).
Nous avions décidé que ce sac serait placé dans un sac à dos qui nous accompagnerait toujours dans les transports (bagage cabine en avion, bagage à main dans le bus) pour éviter tout problème en cas de perte ou de vol des bagages placés en soute ou dans les coffres.
Pendant le voyage
• S'attendre à des variations très fortes dans son traitement. Plusieurs facteurs risquent d'influer sur la réaction de son organisme : température, régime alimentaire, activités quotidiennes différentes, etc. Exemple : lors des premiers jours de notre voyage, l'insuline rapide a dû être réduite par trois, à cause du régime alimentaire très différent et des activités physiques quotidiennes. Plus tard dans le voyage, des conditions de froid extrêmes ont provoqué de nombreuses hypoglycémies et ont nécessité une adaptation du traitement.
Il faut donc être bien préparé à adapter son traitement et anticiper des crises d'hypoglycémie et d'hyperglycémie peut-être plus fréquentes qu'habituellement.soit de quitter un établissement très tôt. Cela évite de se retrouver sur le départ à 7h du matin et de réaliser que l'insuline est coincée dans la cuisine jusqu'à 9h !
Prendre garde à ne pas oublier son traitement à l'hôtel, surtout si l'on a tendance à être distrait : prévenir son/ses compagnon(s) de voyage, mettre un rappel sur son portable, laisser son sac isotherme vide bien en vue avec ses affaires, etc.
• Toujours avoir sur soi une large réserve de produits sucrés pour les hypoglycémies. Surestimer très largement ce dont l'on pourrait avoir besoin, même lorsque l'on se promène simplement en ville : il suffit d'un effort physique un peu intense, de se perdre ou de se retrouver dans un quartier résidentiel pour se retrouver face à une crise d'hypoglycémie et aucun moyen de réapprovisionnement. C'est, évidemment, encore plus vrai pour les randonnées et les escapades dans la nature.
• Adopter le réflexe, notamment dans les pays chauds, de déposer immédiatement son insuline (et ses pains de glace le cas échéant) dans un frigo à chaque arrivée dans un nouveau lieu, afin de limiter les variations de température. Hôtels et auberges de jeunesse sont généralement compréhensifs et, s'il n'y a pas de cuisine commune, stockent l'insuline dans leurs propres frigos (s'ils en ont un !). Nous nous sommes retrouvés une seule fois face à un cas où il n'y avait pas d'accès à un frigo et où nous avons dû conserver l'insuline quelques jours dans notre chambre. Cela reste donc une bonne idée de vérifier si les établissements où vous souhaitez séjourner ont une cuisine commune ou un frigo que vous pouvez utiliser, surtout dans les pays chauds.
Toujours vérifier les horaires d'ouverture de la réception et/ou de la cuisine, surtout lorsque l'on prévoit de quitter un établissement très tôt. Cela évite de se retrouver sur le départ à 7h du matin et de réaliser que l'insuline est coincée dans la cuisine jusqu'à 9h...!
Prendre garde à ne pas oublier son traitement à l'hôtel, surtout si l'on a tendance à être distrait : prévenir son/ses compagnon(s) de voyage, mettre un rappel sur son portable, laisser son sac isotherme vide bien en vue avec ses affaires, etc.
< Céline
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Voyageurs au long cours
samedi, 22 octobre 2016 12:07
Farreway word tour 2017
Suspendre le rythme pendant 8 mois pour se recentrer sur notre famille, les FARRE….
Prendre de nouveaux chemins pour découvrir et partager ensemble la diversité du monde…. AWAY C’est le projet FARREWAY : une aventure autour du monde famille avec nos deux enfants en 2017 !
Le voyage fait partie de l’ADN familial avec chaque année des vacances au bout du monde, en mode backpackers. Avec à chaque retour le même constat : la chance que nous avons de pouvoir mesurer l’ampleur des différences qui composent notre monde, la diversité. Mais cette fois-ci il nous en faut plus…
Une aventure davantage personnelle, qui bouscule nos habitudes et nous anime au sein d’un projet commun pour donner une nouvelle impulsion vers notre futur. Bien sûr en explorant les pays comme nous en avons l’habitude, mais cette fois-ci dans un voyage au long cours, en mettant entre parenthèses notre confort, en nous coupant de nos amis, de notre famille, de nos repères pendant plusieurs mois, en brisant le ronron de nos activités professionnelles et scolaires.
Loin d’être une fuite en avant, c’est prendre le temps de regarder, d’écouter, de vivre différemment, d’apprendre autrement, de partager beaucoup de temps ensemble, plus que jamais, de supporter certainement quelques épreuves particulières aussi….
Nous partirons en janvier 2017 pour l’Amérique Latine pour plus de 3 mois (Pérou, Bolivie, Argentine, Chili & Ile de Pâques), traverserons l’Océanie en 2 mois et demi (Polynésie Française, Nouvelle Zélande, Australie) et terminerons notre tour en Asie (Japon, Chine Mongolie) en 2 mois et demi avant notre retour à Paris.
Nous partagerons notre aventure sur notre blog : www.farreway.com et notre page Facebook Farreway.
Prendre de nouveaux chemins pour découvrir et partager ensemble la diversité du monde…. AWAY C’est le projet FARREWAY : une aventure autour du monde famille avec nos deux enfants en 2017 !
Le voyage fait partie de l’ADN familial avec chaque année des vacances au bout du monde, en mode backpackers. Avec à chaque retour le même constat : la chance que nous avons de pouvoir mesurer l’ampleur des différences qui composent notre monde, la diversité. Mais cette fois-ci il nous en faut plus…
Une aventure davantage personnelle, qui bouscule nos habitudes et nous anime au sein d’un projet commun pour donner une nouvelle impulsion vers notre futur. Bien sûr en explorant les pays comme nous en avons l’habitude, mais cette fois-ci dans un voyage au long cours, en mettant entre parenthèses notre confort, en nous coupant de nos amis, de notre famille, de nos repères pendant plusieurs mois, en brisant le ronron de nos activités professionnelles et scolaires.
Loin d’être une fuite en avant, c’est prendre le temps de regarder, d’écouter, de vivre différemment, d’apprendre autrement, de partager beaucoup de temps ensemble, plus que jamais, de supporter certainement quelques épreuves particulières aussi….
Nous partirons en janvier 2017 pour l’Amérique Latine pour plus de 3 mois (Pérou, Bolivie, Argentine, Chili & Ile de Pâques), traverserons l’Océanie en 2 mois et demi (Polynésie Française, Nouvelle Zélande, Australie) et terminerons notre tour en Asie (Japon, Chine Mongolie) en 2 mois et demi avant notre retour à Paris.
Nous partagerons notre aventure sur notre blog : www.farreway.com et notre page Facebook Farreway.
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Voyageurs au long cours
jeudi, 06 octobre 2016 17:34
Unis vers le monde
Gaëlle & Maxime, 25 et 29 ans, sont lyonnais tous les 2 et en couple depuis 2 ans.
Quand ils se sont rencontrés, Gaëlle, alors en licence de psychologie, rêvait de tour du monde et Maxime projetait de repartir en Australie en Permis Vacances Travail.
C’est tout naturellement, en découvrant leur passion commune pour les voyages, qu'ils ont pensé ensemble au tour du monde.
L’idée de visiter et de s’imprégner des cultures de chaque pays à travers le monde les hante depuis le jour où ils ont pris cette décision.
Car selon eux ce n’est pas qu’une chance, c’est avant tout une décision.
Ils se sont donc lancés dans les économies depuis plus d'un an pour parvenir à mettre en place ce rêve tout en regroupant leurs recherches collectées sur le net.
Leur objectif est de découvrir chaque pays traversé, des grandes villes aux campagnes en alliant travail et humanitaire mais aussi farniente et loisirs.
www.universlemonde.com
Quand ils se sont rencontrés, Gaëlle, alors en licence de psychologie, rêvait de tour du monde et Maxime projetait de repartir en Australie en Permis Vacances Travail.
C’est tout naturellement, en découvrant leur passion commune pour les voyages, qu'ils ont pensé ensemble au tour du monde.
L’idée de visiter et de s’imprégner des cultures de chaque pays à travers le monde les hante depuis le jour où ils ont pris cette décision.
Car selon eux ce n’est pas qu’une chance, c’est avant tout une décision.
Ils se sont donc lancés dans les économies depuis plus d'un an pour parvenir à mettre en place ce rêve tout en regroupant leurs recherches collectées sur le net.
Leur objectif est de découvrir chaque pays traversé, des grandes villes aux campagnes en alliant travail et humanitaire mais aussi farniente et loisirs.
www.universlemonde.com
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Voyageurs au long cours
vendredi, 16 septembre 2016 12:05
Sur la route de la Pachamama
Jeune journaliste globe-trotteuse de 28 ans, je pars début octobre sillonner les routes d’Amérique du Sud, de l’Uruguay à la Colombie en passant par l’Argentine, le Chili, la Bolivie, le Pérou et l’Equateur.
Le thème de mon voyage : le lien entre l’homme et la nature.
Mon objectif : aller à la rencontre d'hommes et de femmes qui ont un lien fort à la terre et s'engagent pour la préserver.
9 mois de voyage solo sur la route de la Terre-Mère, la Pachamama pour partager le quotidien de communautés indigènes, d'agriculteurs et de citoyens engagés.
Mes pas me mèneront dans des petits villages, des fermes ou des écovillages qui développent l'agriculture bio ou la permaculture et construisent de nouveaux modes de vie.
Toutes ces rencontres sont partagées avec les élèves de trois écoles charentaises, sur mon blog et sur Facebook :
surlaroutedelapachamama.com et https://www.facebook.com/SurlaroutedelaPachamama/
Le thème de mon voyage : le lien entre l’homme et la nature.
Mon objectif : aller à la rencontre d'hommes et de femmes qui ont un lien fort à la terre et s'engagent pour la préserver.
9 mois de voyage solo sur la route de la Terre-Mère, la Pachamama pour partager le quotidien de communautés indigènes, d'agriculteurs et de citoyens engagés.
Mes pas me mèneront dans des petits villages, des fermes ou des écovillages qui développent l'agriculture bio ou la permaculture et construisent de nouveaux modes de vie.
Toutes ces rencontres sont partagées avec les élèves de trois écoles charentaises, sur mon blog et sur Facebook :
surlaroutedelapachamama.com et https://www.facebook.com/SurlaroutedelaPachamama/
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Voyageurs au long cours
mercredi, 14 septembre 2016 18:14
Une année de voyage
Un rêve il y a 3 ans, une vraie préparation depuis 8 mois et c'est parti deouis le 5 Septembre 2016!
12 pays pour 12 mois de liberté, de découvertes et d'apprentissage.
A travers des eco-volontariats, on souhaite sortir des sentiers touristiques et pouvoir s'imprégner au maximum de la culture de chaque pays.
1ere étape l'Inde, puis Thaïlande, Laos, Cambodge, Vietnam, Tahiti, Chili, Argentine, Pérou, Bolivie, Brésil, Costa-Rica.
A dans un an!
Jennipher&Cédric (92)
Courriel
12 pays pour 12 mois de liberté, de découvertes et d'apprentissage.
A travers des eco-volontariats, on souhaite sortir des sentiers touristiques et pouvoir s'imprégner au maximum de la culture de chaque pays.
1ere étape l'Inde, puis Thaïlande, Laos, Cambodge, Vietnam, Tahiti, Chili, Argentine, Pérou, Bolivie, Brésil, Costa-Rica.
A dans un an!
Jennipher&Cédric (92)
Courriel
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Voyageurs au long cours
lundi, 12 septembre 2016 11:42
Les Cham à vélo
Géraldine et Antoine et leurs enfants viennent de rentrer d'un an de voyage à vélo autour du monde.
Rencontre :
< Pouvez-vous présenter votre voyage ?
Nous sommes partis à vélo en famille avec nos 3 enfants de 11, 9 et 6 ans pour un périple d’un an à travers 25 pays d’Europe et d’Asie.
Partis de notre maison (à Montpellier) mi-août 2015 nous avons parcouru plus de 12 600 km à vélo pour découvrir notre belle planète et ses merveilleux habitants.
< Pourquoi avoir choisi de partir en tour du monde ?
· Pour vivre...
o ...notre rêve !
o ...simplement, librement, lentement !
· Pour se donner du temps en famille.
· Pour éveiller nos enfants à la beauté du monde et de ses habitants.
· Pour partager des bouts de vie avec ceux que nous avons rencontrés.
· Pour se laisser surprendre: Être ouvert et disponible à tout ce qui se présentaient devant nos roues...
< Comment avez-vous budgété vos dépenses et par quel mode de financement ?
Cela faisait longtemps que nous souhaitions réaliser un tel voyage. Nous avons donc économisé régulièrement depuis plusieurs années dans cette perspective. La vente des parts d’une société cofondée par Antoine nous ayant finalement donné les moyens de partir.
Nous avions l’expérience de voyages à vélo précédents et vu notre volonté de voyager simplement en favorisant les accueils chez l’habitant et les bivouacs sauvages, nous savions que notre budget de voyage serait limité et largement couvert par nos économies personnelles. Ce qui nous a coûté le plus cher est probablement l’achat des vélos (un tandem Pino Hase, un vélo couché Azub 6 et 2 bons vélos enfants), ainsi que la mise à jour de notre matériel de camping et des sacoches étanches nécessaires.
< Pourquoi le vélo ?
Le vélo est, selon nous, le meilleur moyen de voyager à la rencontre des autres et des paysages. Il est suffisamment rapide pour parcourir des distances importantes (environ 60 km par jour et jusqu’à plus de 100 – même avec des jeunes enfants), suffisamment lent pour s’imprégner des paysages et favoriser les rencontres tout au long du parcours. A la portée des enfants, le vélo est ouvert sur le monde, il demande un effort physique modéré mais suffisant pour se sentir acteur de son voyage. Il est silencieux, modeste et respectueux de l’environnement dans lequel il évolue. A vélo, aucune carapace ne s’interpose entre le voyageur et le climat. Cela permet d’être pleinement conscient de la présence des éléments, de leur influence sur nous et subséquemment cela apprend la modestie vis à vis de la Nature.
Par ailleurs le vélo est un mode de transport très peu onéreux et facile à entretenir et réparer.
< Comment a réagi votre entourage personnel et professionnel ?
Nos familles et nos amis, nous connaissent bien. Ils n’ont pas été étonnés de notre projet et globalement ils nous ont tous encouragés.
Nos entourages professionnels respectifs ont été plutôt très arrangeant pour l’un et non bloquant pour l’autre.
Les questions les plus fréquentes tournaient autour de la santé et de la scolarisation des enfants ainsi que des dangers potentiels que nous pourrions rencontrer.
Il est clair que ce type de périple est un rêve pour un certain nombre, dont une trop grande proportion continue à penser qu’il n’est pas réalisable pour eux. Nous espérons apporter la preuve du contraire
< Quels ont été les préparatifs pour mener à bien votre périple ?
Administratifs :
Obtention d’un congé pour convenance personnelle pour l’un et fin de contrat de travail pour l’autre
Mise en location meublée de notre maison
Déclaration à l’administration du retrait de nos enfants de l’école pour faire de l’éducation en famille
Préparation par anticipation des questions fiscales et administratives diverses
Transfert du courrier chez une personne de confiance
Mise à jour et obtention de tous les papiers identités, passeports, permis de conduire internationaux, assurance... nécessaires
Ouverture de nouveaux comptes bancaires chez Boursorama et Fortuneo pour réduire les coûts bancaires à l’étranger et disposer d’une carte VISA et d’une carte MasterCard.
Santé:
Réalisation des vaccins nécessaires
Préparation d'une trousse de soins et maladies de base
RDV dentiste, ophtalmologiste
Matériels et trajets:
Recherche d’informations et décisions sur les choix matériels puis acquisition
Lecture et passage à la case ABM et bibliothèque de voyage pour mieux appréhender les itinéraires possibles en fonction des conditions météos, géographiques et politiques.
Informatique/Téléphonie
Mise en place du blog
Achat du matériel nécessaire pour sa mise à jour pendant le voyage
Choix de conserver les téléphones pour obtenir des infos pays au fur et à mesure et prendre contact avec les réseaux d'accueils de cyclo
Education
RDV avec les directrices des établissements, pour présenter le projet, obtenir des conseils sur le matériel pédagogique à privilégier, sur les programmes
Achat du matériel scolaire: livrets d'exercices, et quelques livres interactifs sur tablette (qui se sont révélés inutiles car peu efficaces), trousse, cahiers
< Quels sont vos coups de cœur durant votre année de voyage?
Globalement, la bienveillance des gens dans tous les pays, leur curiosité et leur générosité à notre égard.
En particulier, l’accueil par les membres du réseau Warmshowers.org (réseau d’accueil mondial dédié aux cyclovoyageurs)
Les paysages de Mongolie et de Sibérie
La douceur de vivre de la Thaïlande et ses cocos fraîches
La qualité de vie en Europe du Nord et la qualité des infrastructures notamment pour les cyclistes.
< Quels conseils pouvez-vous donner, les préparatifs, le circuit ?
Le seul vrai conseil universel est : Faites-vous confiance et ayez confiance dans l’Autre. Prenez la décision d’y aller.
Nous sommes tous capables de beaucoup plus que ce que nous pensons et de ce que les autres pensent de nous.
Pour les préparatifs techniques, administratifs, la prévision d’un circuit (mais est-elle vraiment nécessaire ?) utiliser les ressources d’ABM et naviguer sur le Web, il existe plein de sites de grandes qualités.
Accordez-vous au moins 6 mois relativement intensif pour parcourir tous les sujets utiles, faire vos choix et les mettre en œuvre.
< Vous êtes rentrés après une année et vous envisagez de repartir en Amérique du sud, pouvez-vous nous expliquer ce choix ?
Oui. Quand nous sommes partis, nous n’avions pas prévu d’itinéraire précis, ni même de date de retour obligatoire. Nous avions imaginé au moins une année d’aventure voir plus. Au bout de 4-5 mois de périple, notre ainée nous a clairement indiqué son souhait de retrouver ses amis. Son frère et sa sœur lui ont emboité le pas. Les parents étaient plus enclins à prolonger d’une année pour « finir » le tour du monde. Après de nombreuses discussions et la stricte application du principe « un Homme, une voix », les enfants ont emporté la décision de rentrer pour réaliser une année scolaire avant de repartir vers le continent américain. Finalement tout le monde est heureux de rentrer en France pour retrouver familles, amis et activités personnelles et professionnelles.
< Qu’avez-vous retiré de cette expérience ?
La confirmation que la Terre est belle et qu’elle mérite toute notre attention.
L’importance de vivre à fond, de réaliser ses rêves ou d’essayer à minima, et de ne pas regretter de n’avoir pas osé.
La satisfaction d’avoir ouvert les yeux de nos enfants sur leurs propres possibilités et sur la générosité des habitants de notre planète
Le renforcement de notre foi en Dieu et en l’Homme
Une meilleure compréhension, une meilleure connaissance de nous-mêmes et surtout des membres de notre famille.
Le plaisir d'accompagner nos enfants dans leurs apprentissages et de faire découvrir la lecture à notre dernière
et tant d'autres choses encore...
< Avez-vous une anecdote de voyage ou une rencontre exceptionnelle à partager ?
Nous avons des anecdotes et des rencontres par centaines dans nos têtes. La rencontre était le but de ce voyage.
Au Cambodge, alors que nous étions accueillis dans un temple bouddhiste (comme de nombreuses fois en Thaïlande) nous n’avons pas réussi à décliner l’offre de « protection » de la gendarmerie locale et avons passé la nuit « au poste » sous l’œil attentif et bienveillant des gradés. Nos tapis de sol étalés dans la pièce qui servait d’armurerie.
Au Laos, nous avons eu la chance de rencontrer une famille française de voyageurs avec 3 enfants du même âge que les nôtres. 1 mois plus tard nous les retrouvions pour voguer ensemble sur la Baie d’Along au Vietnam. 5 mois plus tard ils nous retrouvaient en France pour pédaler avec nous le long de la Saône.
En Chine, pays où l’on navigue à vue sans jamais vraiment comprendre tout ce qui se passe autour de nous, nous nous apprêtions à acheter 3 bidons de 5 litres d’eau quand nous avons été dévisagés par la caissière qui a réussi à nous faire comprendre que, pour une famille avec enfants, nous achetions quand même une grande quantité d’alcool de riz...
Dans les 25 pays traversés nous avons eu la chance de faire des rencontres exceptionnelles. Difficile de synthétiser ...
https://leschamavelo.fr
Rencontre :
< Pouvez-vous présenter votre voyage ?
Nous sommes partis à vélo en famille avec nos 3 enfants de 11, 9 et 6 ans pour un périple d’un an à travers 25 pays d’Europe et d’Asie.
Partis de notre maison (à Montpellier) mi-août 2015 nous avons parcouru plus de 12 600 km à vélo pour découvrir notre belle planète et ses merveilleux habitants.
< Pourquoi avoir choisi de partir en tour du monde ?
· Pour vivre...
o ...notre rêve !
o ...simplement, librement, lentement !
· Pour se donner du temps en famille.
· Pour éveiller nos enfants à la beauté du monde et de ses habitants.
· Pour partager des bouts de vie avec ceux que nous avons rencontrés.
· Pour se laisser surprendre: Être ouvert et disponible à tout ce qui se présentaient devant nos roues...
< Comment avez-vous budgété vos dépenses et par quel mode de financement ?
Cela faisait longtemps que nous souhaitions réaliser un tel voyage. Nous avons donc économisé régulièrement depuis plusieurs années dans cette perspective. La vente des parts d’une société cofondée par Antoine nous ayant finalement donné les moyens de partir.
Nous avions l’expérience de voyages à vélo précédents et vu notre volonté de voyager simplement en favorisant les accueils chez l’habitant et les bivouacs sauvages, nous savions que notre budget de voyage serait limité et largement couvert par nos économies personnelles. Ce qui nous a coûté le plus cher est probablement l’achat des vélos (un tandem Pino Hase, un vélo couché Azub 6 et 2 bons vélos enfants), ainsi que la mise à jour de notre matériel de camping et des sacoches étanches nécessaires.
< Pourquoi le vélo ?
Le vélo est, selon nous, le meilleur moyen de voyager à la rencontre des autres et des paysages. Il est suffisamment rapide pour parcourir des distances importantes (environ 60 km par jour et jusqu’à plus de 100 – même avec des jeunes enfants), suffisamment lent pour s’imprégner des paysages et favoriser les rencontres tout au long du parcours. A la portée des enfants, le vélo est ouvert sur le monde, il demande un effort physique modéré mais suffisant pour se sentir acteur de son voyage. Il est silencieux, modeste et respectueux de l’environnement dans lequel il évolue. A vélo, aucune carapace ne s’interpose entre le voyageur et le climat. Cela permet d’être pleinement conscient de la présence des éléments, de leur influence sur nous et subséquemment cela apprend la modestie vis à vis de la Nature.
Par ailleurs le vélo est un mode de transport très peu onéreux et facile à entretenir et réparer.
< Comment a réagi votre entourage personnel et professionnel ?
Nos familles et nos amis, nous connaissent bien. Ils n’ont pas été étonnés de notre projet et globalement ils nous ont tous encouragés.
Nos entourages professionnels respectifs ont été plutôt très arrangeant pour l’un et non bloquant pour l’autre.
Les questions les plus fréquentes tournaient autour de la santé et de la scolarisation des enfants ainsi que des dangers potentiels que nous pourrions rencontrer.
Il est clair que ce type de périple est un rêve pour un certain nombre, dont une trop grande proportion continue à penser qu’il n’est pas réalisable pour eux. Nous espérons apporter la preuve du contraire
< Quels ont été les préparatifs pour mener à bien votre périple ?
Administratifs :
Obtention d’un congé pour convenance personnelle pour l’un et fin de contrat de travail pour l’autre
Mise en location meublée de notre maison
Déclaration à l’administration du retrait de nos enfants de l’école pour faire de l’éducation en famille
Préparation par anticipation des questions fiscales et administratives diverses
Transfert du courrier chez une personne de confiance
Mise à jour et obtention de tous les papiers identités, passeports, permis de conduire internationaux, assurance... nécessaires
Ouverture de nouveaux comptes bancaires chez Boursorama et Fortuneo pour réduire les coûts bancaires à l’étranger et disposer d’une carte VISA et d’une carte MasterCard.
Santé:
Réalisation des vaccins nécessaires
Préparation d'une trousse de soins et maladies de base
RDV dentiste, ophtalmologiste
Matériels et trajets:
Recherche d’informations et décisions sur les choix matériels puis acquisition
Lecture et passage à la case ABM et bibliothèque de voyage pour mieux appréhender les itinéraires possibles en fonction des conditions météos, géographiques et politiques.
Informatique/Téléphonie
Mise en place du blog
Achat du matériel nécessaire pour sa mise à jour pendant le voyage
Choix de conserver les téléphones pour obtenir des infos pays au fur et à mesure et prendre contact avec les réseaux d'accueils de cyclo
Education
RDV avec les directrices des établissements, pour présenter le projet, obtenir des conseils sur le matériel pédagogique à privilégier, sur les programmes
Achat du matériel scolaire: livrets d'exercices, et quelques livres interactifs sur tablette (qui se sont révélés inutiles car peu efficaces), trousse, cahiers
< Quels sont vos coups de cœur durant votre année de voyage?
Globalement, la bienveillance des gens dans tous les pays, leur curiosité et leur générosité à notre égard.
En particulier, l’accueil par les membres du réseau Warmshowers.org (réseau d’accueil mondial dédié aux cyclovoyageurs)
Les paysages de Mongolie et de Sibérie
La douceur de vivre de la Thaïlande et ses cocos fraîches
La qualité de vie en Europe du Nord et la qualité des infrastructures notamment pour les cyclistes.
< Quels conseils pouvez-vous donner, les préparatifs, le circuit ?
Le seul vrai conseil universel est : Faites-vous confiance et ayez confiance dans l’Autre. Prenez la décision d’y aller.
Nous sommes tous capables de beaucoup plus que ce que nous pensons et de ce que les autres pensent de nous.
Pour les préparatifs techniques, administratifs, la prévision d’un circuit (mais est-elle vraiment nécessaire ?) utiliser les ressources d’ABM et naviguer sur le Web, il existe plein de sites de grandes qualités.
Accordez-vous au moins 6 mois relativement intensif pour parcourir tous les sujets utiles, faire vos choix et les mettre en œuvre.
< Vous êtes rentrés après une année et vous envisagez de repartir en Amérique du sud, pouvez-vous nous expliquer ce choix ?
Oui. Quand nous sommes partis, nous n’avions pas prévu d’itinéraire précis, ni même de date de retour obligatoire. Nous avions imaginé au moins une année d’aventure voir plus. Au bout de 4-5 mois de périple, notre ainée nous a clairement indiqué son souhait de retrouver ses amis. Son frère et sa sœur lui ont emboité le pas. Les parents étaient plus enclins à prolonger d’une année pour « finir » le tour du monde. Après de nombreuses discussions et la stricte application du principe « un Homme, une voix », les enfants ont emporté la décision de rentrer pour réaliser une année scolaire avant de repartir vers le continent américain. Finalement tout le monde est heureux de rentrer en France pour retrouver familles, amis et activités personnelles et professionnelles.
< Qu’avez-vous retiré de cette expérience ?
La confirmation que la Terre est belle et qu’elle mérite toute notre attention.
L’importance de vivre à fond, de réaliser ses rêves ou d’essayer à minima, et de ne pas regretter de n’avoir pas osé.
La satisfaction d’avoir ouvert les yeux de nos enfants sur leurs propres possibilités et sur la générosité des habitants de notre planète
Le renforcement de notre foi en Dieu et en l’Homme
Une meilleure compréhension, une meilleure connaissance de nous-mêmes et surtout des membres de notre famille.
Le plaisir d'accompagner nos enfants dans leurs apprentissages et de faire découvrir la lecture à notre dernière
et tant d'autres choses encore...
< Avez-vous une anecdote de voyage ou une rencontre exceptionnelle à partager ?
Nous avons des anecdotes et des rencontres par centaines dans nos têtes. La rencontre était le but de ce voyage.
Au Cambodge, alors que nous étions accueillis dans un temple bouddhiste (comme de nombreuses fois en Thaïlande) nous n’avons pas réussi à décliner l’offre de « protection » de la gendarmerie locale et avons passé la nuit « au poste » sous l’œil attentif et bienveillant des gradés. Nos tapis de sol étalés dans la pièce qui servait d’armurerie.
Au Laos, nous avons eu la chance de rencontrer une famille française de voyageurs avec 3 enfants du même âge que les nôtres. 1 mois plus tard nous les retrouvions pour voguer ensemble sur la Baie d’Along au Vietnam. 5 mois plus tard ils nous retrouvaient en France pour pédaler avec nous le long de la Saône.
En Chine, pays où l’on navigue à vue sans jamais vraiment comprendre tout ce qui se passe autour de nous, nous nous apprêtions à acheter 3 bidons de 5 litres d’eau quand nous avons été dévisagés par la caissière qui a réussi à nous faire comprendre que, pour une famille avec enfants, nous achetions quand même une grande quantité d’alcool de riz...
Dans les 25 pays traversés nous avons eu la chance de faire des rencontres exceptionnelles. Difficile de synthétiser ...
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Voyageurs au long cours
lundi, 05 septembre 2016 14:02
Partir
Claudine voyage depuis plusieurs mois, voici ses impressions après un an .
Pour le moment, je suis encore dans ce mouvement d'allégement et de mobilité que j'ai choisi de vivre en réalisant ce grand voyage seule. Ma maison est louée, je n'ai plus de voiture, mes amis et ma famille sont loin, mes habitudes ont disparu avec mon environnement, je voyage avec 2 pantalons, 3 tee-shirts, 4 culottes et 2 soutiens gorges et côté emploi, je ne sais pas du tout ce que je déciderai.
Presque un an se sera passé, je me sens peu à peu changer dans mes priorités. Sur mon voyage, juste dire que je vis l'agréable sensation d'être exactement là où je dois être. Je réalise plusieurs de mes rêves, je ressens une liberté et une quiétude intérieure qui déjà était en moi mais qui s'approfondit de jour en jour au contact du monde.
Après 10 semaines au Moyen-Orient (Israël, Jordanie, Palestine, Iran) où j'ai rencontré des locaux aux coeurs ouverts et des paysages à couper le souffle (désert notamment), j'ai passé 8 semaines en Asie où le mode de vie m'a littéralement posée (Cambodge, Vietnam, Laos).
Puis l'Indonésie fut l'une de mes meilleures rencontres avec la nature, notamment Bali... J'y ai effectué un temps de retraite avec des maîtres en yoga, pratiqué la méditation. J'ai loué une maison là-bas, y suis restée deux mois.
J'ai fait quelques ascensions de volcans actifs et des plongées sous-marines de toute beauté, notamment avec des raies mantas en plein milieu de l'océan, grand moment !
Les émotions se succèdent.
Je suis partie fin juin pour le Guatemala à la rencontre des descendants de la société maya, j'ai retrouvé la langue espagnole que j'aime tant et que j'utilise désormais jusqu'à la fin de mon voyage.
Après une escale de 15 jours à Cuba, je suis allée un mois au Pérou. J'ai marché dans la cordillère blanche, à 5000 mètres, le souffle y était court mais les paysages étaient merveilleux !
Un autre monde.
Je suis actuellement en train de rejoindre la Bolivie.
J'aimerais beaucoup aller en Amazonie, je ne sais pas encore quel endroit serait le mieux pour rencontrer des chamanes et effectuer une expérience de voyage chamanique en état de conscience modifié en toute sécurité, sans utiliser de produits à ingérer.
< Claudine Fuya (84)
Pour le moment, je suis encore dans ce mouvement d'allégement et de mobilité que j'ai choisi de vivre en réalisant ce grand voyage seule. Ma maison est louée, je n'ai plus de voiture, mes amis et ma famille sont loin, mes habitudes ont disparu avec mon environnement, je voyage avec 2 pantalons, 3 tee-shirts, 4 culottes et 2 soutiens gorges et côté emploi, je ne sais pas du tout ce que je déciderai.
Presque un an se sera passé, je me sens peu à peu changer dans mes priorités. Sur mon voyage, juste dire que je vis l'agréable sensation d'être exactement là où je dois être. Je réalise plusieurs de mes rêves, je ressens une liberté et une quiétude intérieure qui déjà était en moi mais qui s'approfondit de jour en jour au contact du monde.
Après 10 semaines au Moyen-Orient (Israël, Jordanie, Palestine, Iran) où j'ai rencontré des locaux aux coeurs ouverts et des paysages à couper le souffle (désert notamment), j'ai passé 8 semaines en Asie où le mode de vie m'a littéralement posée (Cambodge, Vietnam, Laos).
Puis l'Indonésie fut l'une de mes meilleures rencontres avec la nature, notamment Bali... J'y ai effectué un temps de retraite avec des maîtres en yoga, pratiqué la méditation. J'ai loué une maison là-bas, y suis restée deux mois.
J'ai fait quelques ascensions de volcans actifs et des plongées sous-marines de toute beauté, notamment avec des raies mantas en plein milieu de l'océan, grand moment !
Les émotions se succèdent.
Je suis partie fin juin pour le Guatemala à la rencontre des descendants de la société maya, j'ai retrouvé la langue espagnole que j'aime tant et que j'utilise désormais jusqu'à la fin de mon voyage.
Après une escale de 15 jours à Cuba, je suis allée un mois au Pérou. J'ai marché dans la cordillère blanche, à 5000 mètres, le souffle y était court mais les paysages étaient merveilleux !
Un autre monde.
Je suis actuellement en train de rejoindre la Bolivie.
J'aimerais beaucoup aller en Amazonie, je ne sais pas encore quel endroit serait le mieux pour rencontrer des chamanes et effectuer une expérience de voyage chamanique en état de conscience modifié en toute sécurité, sans utiliser de produits à ingérer.
< Claudine Fuya (84)
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Voyageurs au long cours
mercredi, 25 mai 2016 10:44
2 000 km à cheval à travers la Patagonie
Le 1er octobre 2015, nous sommes parties à 3 amies (Charlotte Simsar, Charlotte Vandeputte et Capucine Lelièvre) réaliser notre rêve d'aventure équestre dans les grands espaces argentins.
Après avoir acheté nos 4 compagnons de route à Bariloche, dans le Nord de la Patagonie, nous avons mis cap au Sud.
Après maintes péripéties, notamment la perte de nos chevaux au cœur de la Cordillère enneigée en pleine nuit, nous sommes arrivées à Perito Moreno, notre destination finale, début mars 2016.
Bien loin de toute trace de civilisation, nous avons chevauché le long de la frontière chilienne, là où la nature règne encore en maître incontesté.
Entre tempêtes de neige et ascensions de cols, nous avons eu la joie d'être accueillies à bras ouverts par des gauchos irradiés de bonté, de générosité et de sagesse.
De merveilleux exemples d'hospitalité et de vies consacrées aux chevaux.
Suivre le voyage .
Après avoir acheté nos 4 compagnons de route à Bariloche, dans le Nord de la Patagonie, nous avons mis cap au Sud.
Après maintes péripéties, notamment la perte de nos chevaux au cœur de la Cordillère enneigée en pleine nuit, nous sommes arrivées à Perito Moreno, notre destination finale, début mars 2016.
Bien loin de toute trace de civilisation, nous avons chevauché le long de la frontière chilienne, là où la nature règne encore en maître incontesté.
Entre tempêtes de neige et ascensions de cols, nous avons eu la joie d'être accueillies à bras ouverts par des gauchos irradiés de bonté, de générosité et de sagesse.
De merveilleux exemples d'hospitalité et de vies consacrées aux chevaux.
Suivre le voyage .
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Voyageurs au long cours
dimanche, 08 mai 2016 15:37
Les "Bomb'Héros" en Patagonie
Maelle & Pierrick continuent leur périple à vélo en Patagonie à la rencontre des sapeurs pompiers
"Nous vous envoyons quelques nouvelles du Chili, ou nous pédalons depuis 4 mois maintenant.
Nous avançons au travers les paysages merveilleux qu'offre la Patagonie.
Nous allons comme prévu dans notre projet de caserne en caserne de pompiers afin de découvrir le système de secours, de partager notre passion avec les pompiers chiliens.
Nous avons également travaillé à Melipilla particulièrement avec des pompiers qui veulent développer une caserne dans une zone mal deservie par les secours.
En tant que bénévoles de l'association pompiers sans frontieres, nous avons travaillé sur un futur projet d'appui matériel et de formation en faveur de cette brigade.
Nous alimentons régulièrement notre site Internet : www.bombheros.com
"Nous vous envoyons quelques nouvelles du Chili, ou nous pédalons depuis 4 mois maintenant.
Nous avançons au travers les paysages merveilleux qu'offre la Patagonie.
Nous allons comme prévu dans notre projet de caserne en caserne de pompiers afin de découvrir le système de secours, de partager notre passion avec les pompiers chiliens.
Nous avons également travaillé à Melipilla particulièrement avec des pompiers qui veulent développer une caserne dans une zone mal deservie par les secours.
En tant que bénévoles de l'association pompiers sans frontieres, nous avons travaillé sur un futur projet d'appui matériel et de formation en faveur de cette brigade.
Nous alimentons régulièrement notre site Internet : www.bombheros.com
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Voyageurs au long cours
mardi, 03 mai 2016 09:44
Tand'un rêve
Le 18 Avril 2015, nous avons mis les voiles pour cette merveilleuse aventure qui allait changer notre vie...
Tand'un rêve, ou plutôt Alexine et Bastien, 25 et 27 ans (le jour du départ), pédalons depuis plus d'un an maintenant sur les routes d'Amérique.
Partis de Charente-Maritime sur la Vélodysée, le vent nous a porté sur les pistes tortueuses d'Amérique Latine, des plus impressionnants cols Andins, à la pointe la plus australe du continent (Cabo Froward).
Notre vélo-tandem (Théolou et ses 90kg de remorque et sacoches), se dirige à présent vers l'extrême Nord. Après 15 000km, une clavicule cassée et bien d'autres péripéties, nous devrions passer la frontière Canadienne début Juin.
Sans aucune limite de temps, nous ne sommes pas partis prendre des vacances à l'autre bout du monde, mais plutôt troquer notre vie de sédentaire contre celle de nomade.
Libres, mais sans aucune garantie ou assurance du lendemain, nous sommes émerveillés et avides d'en apprendre toujours plus sur cette planète qui nous tend les bras.
Nous la préférons naturelle et sauvage, nous délaissons sites touristiques et hôtels, pour laisser place à l'authenticité des lieux et des rencontres.
Pour la suite? Nous commençons à nous renseigner sur les meilleures saisons pour voyager en tandem sur le continent Asiatique...
N'hésitez pas à nous suivre ...
Tand'un rêve, ou plutôt Alexine et Bastien, 25 et 27 ans (le jour du départ), pédalons depuis plus d'un an maintenant sur les routes d'Amérique.
Partis de Charente-Maritime sur la Vélodysée, le vent nous a porté sur les pistes tortueuses d'Amérique Latine, des plus impressionnants cols Andins, à la pointe la plus australe du continent (Cabo Froward).
Notre vélo-tandem (Théolou et ses 90kg de remorque et sacoches), se dirige à présent vers l'extrême Nord. Après 15 000km, une clavicule cassée et bien d'autres péripéties, nous devrions passer la frontière Canadienne début Juin.
Sans aucune limite de temps, nous ne sommes pas partis prendre des vacances à l'autre bout du monde, mais plutôt troquer notre vie de sédentaire contre celle de nomade.
Libres, mais sans aucune garantie ou assurance du lendemain, nous sommes émerveillés et avides d'en apprendre toujours plus sur cette planète qui nous tend les bras.
Nous la préférons naturelle et sauvage, nous délaissons sites touristiques et hôtels, pour laisser place à l'authenticité des lieux et des rencontres.
Pour la suite? Nous commençons à nous renseigner sur les meilleures saisons pour voyager en tandem sur le continent Asiatique...
N'hésitez pas à nous suivre ...
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Voyageurs au long cours
mercredi, 13 avril 2016 10:43
Tour du monde à moto
Jean prépare un tour du monde d’un an à moto, en solitaire à la recherche des Français et francophones du monde entier.
J’ai nommé mon projet VENTURIDE.
Je travaille sur ce projet depuis Aout dernier. Je vais financer la plus grande partie de mon voyage mais je suis à la recherche de sponsors et partenaires (medias, équipementiers) pour financer les derniers kilomètres.
En Septembre 2016 et avec une BMW X Challenge 650, je souhaite partir à la découverte de 40 pays, 5 continents ce qui représentera plus de 60 000 kilomètres de route. L’itinéraire peut être visualisé sur le lien suivant et ci-dessous se trouve une liste plus détaillée des pays que je vais visiter.
https://www.google.com/maps/d/edit?hl=en_US&app=mp&mid=z4Ds0Ejpkq_w.kyGjpGvnIcyQ
- Pays d’Europe : Royaume Uni, France, Allemagne, Suisse, Italie, Slovénie, Croatie, Bosnie Herzégovine, Monténégro, Albanie, Grèce, Bulgarie, Turquie, Hongrie
- Pays au Moyen Orient : Iran et Pakistan
- Pays en Asie : Inde, Birmanie, Thaïlande, Cambodge,
- Pays d’Afrique : Kenya, Tanzanie, Zambie, Zimbabwe, Botswana, Namibie, Afrique du Sud
- Pays d’Amérique du Sud : Argentine, Bolivie, Brésil, Venezuela, Colombie
- Pays d’Amérique Centrale : Panama, Costa Rica; Nicaragua; Honduras; Guatemala; Belize; Mexique; Etats Unis
La page Facebook : https://www.facebook.com/VentuRide-A-World-Tour-Overland-by-Bike-500198373471989/
J’ai nommé mon projet VENTURIDE.
Je travaille sur ce projet depuis Aout dernier. Je vais financer la plus grande partie de mon voyage mais je suis à la recherche de sponsors et partenaires (medias, équipementiers) pour financer les derniers kilomètres.
En Septembre 2016 et avec une BMW X Challenge 650, je souhaite partir à la découverte de 40 pays, 5 continents ce qui représentera plus de 60 000 kilomètres de route. L’itinéraire peut être visualisé sur le lien suivant et ci-dessous se trouve une liste plus détaillée des pays que je vais visiter.
https://www.google.com/maps/d/edit?hl=en_US&app=mp&mid=z4Ds0Ejpkq_w.kyGjpGvnIcyQ
- Pays d’Europe : Royaume Uni, France, Allemagne, Suisse, Italie, Slovénie, Croatie, Bosnie Herzégovine, Monténégro, Albanie, Grèce, Bulgarie, Turquie, Hongrie
- Pays au Moyen Orient : Iran et Pakistan
- Pays en Asie : Inde, Birmanie, Thaïlande, Cambodge,
- Pays d’Afrique : Kenya, Tanzanie, Zambie, Zimbabwe, Botswana, Namibie, Afrique du Sud
- Pays d’Amérique du Sud : Argentine, Bolivie, Brésil, Venezuela, Colombie
- Pays d’Amérique Centrale : Panama, Costa Rica; Nicaragua; Honduras; Guatemala; Belize; Mexique; Etats Unis
La page Facebook : https://www.facebook.com/VentuRide-A-World-Tour-Overland-by-Bike-500198373471989/
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Voyageurs au long cours
lundi, 04 janvier 2016 11:26
Les cyclo migrateurs
Au départ, l’idée était de partir pour un tour du monde à vélos, pour environ trois ans en prenant l’avion aussi peu que possible. Ca ne s’est pas passé du tout comme ça, ce qui fait qu’on se retrouve à tronçonner notre voyage en plusieurs « saisons ».
La Saison 1 a duré six mois (avril à octobre 2014) et nous a conduit de Bretagne en Turquie, 6 000 kilomètres de plaisir et de découvertes, de belles rencontres et des paysages fabuleux. Premier rebondissement néanmoins au bout de quelques semaines à cause d’une embolie pulmonaire pour Irène; suite à semaine à l’hôpital de Mende nous décidons de repartir tout de même (au grand dam des médecins) en montant une assistance électrique sur son vélo, que nous démonterons trois mois plus tard, à Athènes. Second rebondissement en Turquie, que nous avons dû quitter précipitamment pour des raisons familiales, alors que nous comptions poursuivre à travers l’Iran puis prendre la direction de l’Inde. Quelques semaines plus tard, on repart quand même, directement vers l’Inde car il est trop tard pour aller en Iran, l’hiver arrive.
La Saison 2 a commencé à vélos mais ça n’a pas duré longtemps, ils n’ont roulé que 20 km à Delhi avant que nous ne partions visiter le Rajasthan en voiture et que ça ne se termine par une chute de chameau près du Pakistan. Une opération des vertèbres plus tard, retour en France pour trois mois de convalescence, puis troisième rebondissement, nous repartons pour deux mois en Inde puis deux autres mois à Madagascar, mais sans les vélos.
Retour en France en juillet 2015 pour un mariage, deux baptêmes et aucun enterrement.
La Saison 3 était sensée commencer en août 2015 et nous conduire des antipodes en Asie du Sud-Est puis aux Amériques, mais le départ est reporté à une date indéterminée… Le temps qu’une bactérie, qui enflamme nos articulations cesse ses bêtises, on patiente en Bretagne. Prochain rebondissement : On reprend les vélos et on saute dans un avion pour l’Australie. Y’a pas que les kangourous qui rebondissent !
Joël & Irène CONNAULT LAVIGNE
http://cyclomigrateurs.fr
La Saison 1 a duré six mois (avril à octobre 2014) et nous a conduit de Bretagne en Turquie, 6 000 kilomètres de plaisir et de découvertes, de belles rencontres et des paysages fabuleux. Premier rebondissement néanmoins au bout de quelques semaines à cause d’une embolie pulmonaire pour Irène; suite à semaine à l’hôpital de Mende nous décidons de repartir tout de même (au grand dam des médecins) en montant une assistance électrique sur son vélo, que nous démonterons trois mois plus tard, à Athènes. Second rebondissement en Turquie, que nous avons dû quitter précipitamment pour des raisons familiales, alors que nous comptions poursuivre à travers l’Iran puis prendre la direction de l’Inde. Quelques semaines plus tard, on repart quand même, directement vers l’Inde car il est trop tard pour aller en Iran, l’hiver arrive.
La Saison 2 a commencé à vélos mais ça n’a pas duré longtemps, ils n’ont roulé que 20 km à Delhi avant que nous ne partions visiter le Rajasthan en voiture et que ça ne se termine par une chute de chameau près du Pakistan. Une opération des vertèbres plus tard, retour en France pour trois mois de convalescence, puis troisième rebondissement, nous repartons pour deux mois en Inde puis deux autres mois à Madagascar, mais sans les vélos.
Retour en France en juillet 2015 pour un mariage, deux baptêmes et aucun enterrement.
La Saison 3 était sensée commencer en août 2015 et nous conduire des antipodes en Asie du Sud-Est puis aux Amériques, mais le départ est reporté à une date indéterminée… Le temps qu’une bactérie, qui enflamme nos articulations cesse ses bêtises, on patiente en Bretagne. Prochain rebondissement : On reprend les vélos et on saute dans un avion pour l’Australie. Y’a pas que les kangourous qui rebondissent !
Joël & Irène CONNAULT LAVIGNE
http://cyclomigrateurs.fr
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