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mercredi, 21 octobre 2009 16:10

Vos expériences Routes Asie Pacifique

Asie :

<> Afghanistan (9/03)
"A part l'axe Kaboul - Pul i Khumri - Kunduz -Taloqan et Pul i Khumri - Mazar, les routes ne sont pas asphaltées dans le Nord-est. Il y a souvent des road blocks, généralement pour fouiller les véhicules à la recherche d'armes et de drogue. Soit le chauffeur file un billet aux hommes armés (soldats, policiers, miliciens, on ne sait jamais…), soit il y aura une fouille superficielle d'un ou deux bagages. En tant qu'étranger, je n'ai jamais eu le droit à une fouille."
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<> Birmanie
---- (11/01) ------
"- Mandalay-Kalaw :Après de rudes négociations, nous nous sommes mis d'accord pour un tarif de 10 000 K (environ 14 US $) pour 2. Deux Birmans partageaient notre taxi mais payaient certainement beaucoup moins chers. 6 heures de taxi. Certains taxis de la gare routière de Mandalay réclament 50 US $. Ne pas céder.
- Pyay-Ngapali :
L'horreur. Evitez cette ville pour aller à Ngapali.
Tous les chauffeurs de taxis de la ville se sont mis d'accord pour un tarif de 100 US $. Le trajet dure 9h30. La veille du jour où nous étions à Pyay, ils avaient emmenés des allemands pour 100 US $ à Ngapali. Evidemment, ils n'avaient plus besoin de plus d'argent (le salaire mensuel d'une institutrice est de 10 US $) et ils préfèrent ne pas partir que de négocier. Si demain quelqu'un paye 500 US $, le tarif passera à 500 pour tout le monde ? Ils nous expliquent que le tarif est déjà négocié : c'est 35 US $ pour emmener une personne en taxi à Ngapali. Donc emmener 3 personnes coûte 105 US $ (35 x 3) qu'ils ont gentiment arrondi à 100.
Nous sommes plus lourds à 3 qu'à 1, donc c'est plus cher. Nous leur disons que tant qu'à faire, nous sommes d'accord pour partir dans 3 taxis différents à 35 US $ chacun mais ils ne sont pas non plus d'accord ! Bref, impossible de se mettre d'accord avec eux. Le seul bus pour Ngapali part le soir et il est complet mais comme nous sommes suivis en permanence par le fils du chauffeur du taxi; on ne sait pas si c'est vrai ou non. En nous éloignant de la gare routière, nous finissons par rencontrer d'autres personnes qui nous demandent où on veut aller. On répond qu'on veut aller à Ngapali. Ils nous proposent 150 US $. On rit puis on finit par se mettre d'accord à 80 US $. Là, ils téléphonent au propriétaire de la voiture qui ne veut pas. Crevés, nous capitulons et prenons un hôtel. Le chauffeur de pousse-pousse qui nous emmène jusqu'à l'hôtel me dit alors qu'il peut nous emmener en taxi pour 70 US $ (sans avoir besoin de négocier). Il est lui-même chauffeur de taxi. Je lui demande, méfiante quel genre de taxi et il me montre une voiture d'aspect convenable qui passait à ce moment là. Je lui dis qu'on serait peut-être intéressés et arrivés à l'hôtel, j'en parle à mes 2 compagnons de route. On dépose nos sacs à l'hôtel et on reprend le rick-shaw qui va demander la permission au propriétaire de la voiture.
Et là, autre refus, il veut aussi 100 US $ ! On retourne à l'hôtel. Finalement, on nous propose de partager un pick-up à 3 pour 70 US $. Une personne irait à l'avant à côté du chauffeur et les 2 autres iraient à l'arrière du pick-up sur un tapis posé par terre. On négocie à 65 US $ mais ils veulent la moitié du prix immédiatement. Quand ils voient qu'on voulait payer avec des FEC, le prix remonte à 70 ! Finalement, un pick-up va plus vite qu'un taxi car ce véhicule est plus résistant. Dans le prix payé, on paie 4 personnes : le chauffeur, le propriétaire du pick-up, et 2 types accrochés à l'arrière du véhicule, qui ne servent à rien à part à charger un peu plus (je croyais que le poids était important et que c'était plus cher si on était plus nombreux...). Les 2 mecs à l'arrière ont pour travail de sauter du pick-up aux différents péages, de prendre l'argent au chauffeur et d'aller l'apporter au bureau du péage."

<> Cambodge (3/03)
"Rouler au Cambodge est une expérience très enrichissante pour le conducteur. La première chose que l'on apprend est le code de la route local : le vélo s'incline devant la moto qui s'écarte devant l'auto qui laisse passer la camionnette qui se pousse devant le camion. Autant vous dire qu'avec nos scooters nous n'en menons pas large !
L'état des routes est lui aussi unique. Nous connaîtrons le meilleur sur la route Sihanoukville - Phnom Penh. Un bitume lisse, un balisage fréquent, des bas côtés dégagés... Bref, tout d'une route nationale bien de chez nous. Le pire nous le subirons près de Kratie, au lendemain d'un orage qui a transformé la piste en un véritable bourbier. De plus la terre humide (une sorte de glaise) donne à la piste des accents de patinoire. Il nous faut 3 heures pour parcourir 35 km. Sur ce passage nous voyons des camions s'embourber, des motos chuter !
De manière générale, le Cambodge compte plus de pistes en terre que de routes asphaltées. Pierres, ornières, trous, bosses, franchissements de rivières,etc, les obstacles sont omniprésents. Et je ne parle pas de la poussière très fine qui s'infiltre partout et nous recouvre chaque jour d'une mince pellicule rouge. Nous apprenons également qu'ici asphalte rime souvent avec "route défoncée". Trous, bosses, etc, il est parfois plus rapide de rouler sur le bas-côté. De même vous commencez sur une superbe partie asphaltée pour 10 km plus loin, vous retrouver sur une piste en terre dans un état déplorable. Ajoutez à cela des ponts en rondins de bois, des passages de bacs...
Eh oui, au pays de la corruption, une partie des fonds internationaux attribuée pour la remise en état du réseau routier semble "s'égarer" dans les poches des dirigeants. Du coup la couche de bitume est deux fois moins épaisse et la durée de vie des routes très courte !
Mais le pire reste la saison des pluies. A cette période les routes peuvent être complètements recouvertes d'eau et pour certains passages, il est nécessaire d'avoir une personne devant le véhicule pour se faire guider. Pour exemple Siem Reap - Sisophon (100 km) se parcourt en 13 heures ! La contrepartie est toutefois à la hauteur des difficultés : un spectacle permanent...
Au Cambodge, une moto comme une voiture c'est fait pour transporter des personnes ou de la marchandise. Et bien sûr, plus le véhicule est chargé, plus le transport est rentable. C'est logique ! C'est ainsi que nous croisons régulièrement des motos 100 cc avec 4, voire 5 personnes dessus , ou bien une grappe de dizaine de poulets ou bien encore un cochon de 150 kg sur le porte-bagages arrière. Nous sommes aussi épatés par ces motos avec un entassement de cartons plus haut que le conducteur et qui nous dépassent sur des routes défoncées. Quant aux voitures, la même règle s'applique. A l'arrière du pick-up on entasse : cartons, vélos, motos... et passagers. Pas de limite de poids, pas de limite de hauteur. Tant qu'il y a de la place, on charge ! Bien sûr tous ces transports se font sur les routes décrites plus haut, à des allures non limitées, sous un soleil de plomb et dans une poussière omniprésente. Les volontaire des ONG, contraints d'utiliser ces modes de transports, nous l'avouent : "Quand on monte on prie, pendant le trajet on prie et on serre les fesses, et à l'arrivée notre foi est encore plus grande !".
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<> Chine (Sud-ouest; 4/03)
"Nous avons parfois loué un taxi (pour aller dans les alentours de Dali par exemple). Ce n'est pas forcément très cher : entre 20 et 30 Euros à la journée."
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<> Inde

A voir : la circulation et ce que l'on trouve sur les routes indiennes.

----- (7/07; Ladakh) ----
"Pour la location de voiture nous avons conclu un accord avec une agence de Leh pour une voiture (Toyota, très convenable) avec chauffeur (très prudent et conduite "calme"...) pour tout notre séjour. Pas donné mais très facile et donc reposant."
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----- (1/06) ----
"Pour la location de voiture comptez environ 25 US $ par jour avec chauffeur."
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----- (8/03) ----
"Voilà deux semaines que nous sommes en Inde et ce pays est aussi fabuleux qu'exaspérant. En effet, les premiers 1 000 km parcourus n'ont été que stress, tellement la conduite des indiens est folle et sur des routes, bien qu'en bon état, étroites et surchargées de monde. Les villes nous apparaissent comme un embouteillage permanent. Au milieu des gaz d'échappement et des klaxons, vélos, rickshaw, tuk-tuk, vaches, buffles, chèvres, motos, jeep et camions foncent droit devant !Bref, si l'enfer existe sur terre, pas de doute, il est sur les routes indiennes ! Pour preuve, dès le troisième jour, nous envisageons sérieusement de charger nos scooters sur un train pour parcourir le sous-continent indien. Il faut dire que nous avons commencé par la pire des régions, sinon d'Inde, du moins de notre parcours dans ce pays. En effet, avec une densité de 700 hab/km2 (7 fois celle de la France) difficile de faire plus de 500 m seul. Cette surpopulation est omniprésente sur la route. Tout d'abord, nous croisons des villages et des villes tous les 20 km. Et tous les 150 km, nous traversons une ville de plus de 1 million d'habitants ! A la difficulté d'y trouver son chemin s'ajoute la circulation des rickshaws, des vélos, des tuks-tuks, des voitures, des bus, des cochons, des vaches, etc... qui sont autant d'obstacles à éviter ou plutôt à esquiver !
Ensuite les routes, bien qu'en bon état, sont une succession d'obstacles fixes ou mobiles. Cela commence par les pierres laissées par les camions après avoir changé leur roue. Viennent ensuite les animaux couchés, ou debout sur la route et qui prennent un malin plaisir à traverser juste devant vous ! Tout aussi dangereux, les Indiens qui, tout comme les vaches, traversent sans regarder. Il faut toujours anticiper les changements de direction qu'ils prennent sur un coup de tête ! La catégorie suivante concerne les vélos, chars à boeuf, tuks-tuks et rickshaws à la conduite lente et imprévisible. Imaginez un char à boeuf sur une route où les véhicules roulent à plus de 80 km/h ! Les motards ont, quant à eux, un comportement prévisible mais tout aussi dangereux...
Ils commencent par nous doubler puis, 50 m plus loin, réalisent qu'ils ont dépassé quelque chose d'anormal. Alors ils ralentissent et nous observent dans leurs rétroviseurs puis nous laissent passer pour venir ensuite rouler à notre hauteur, la tête droite mais le regard en coin fixé sur nous et nos montures. Le problème est que lorsque nous voulons éviter un des obstacles cités plus haut, ils nous mettent en danger ! De même, ils ont du mal à nous observer tout en gardant un oeil sur la route, et quand un véhicule arrive en face...
Mais la palme revient sans hésiter aux chauffeurs de bus et de camions. Peu importe la visibilité ou les obstacles, quand ils ont décidé de doubler, ils doublent ! Très souvent nous serons obligés de nous jeter dans le bas côté pour éviter ces dangers publics. Leur inconscience n'a d'égale que leur bêtise. Incapable d'anticiper et sans notion de distance ou de vitesse, ces chauffards laissent sur les bords des routes des carcasses de camions avec des cabines complètement défoncées par des chocs frontaux. Nous ne roulerons pas une seule journée sans voir un accident. Le record sera sur la route d'Agra avec pas moins de 8 accidents en 20 km ! Entre Agra, Delhi et Jaipur, nous roulons sur des 4 voies séparées par un terre-plein. Notre joie de rouler sur une voie large avec des véhicules se dirigeant dans le même sens sera de courte durée. En effet, nous croisons à plusieurs reprises des camions sur la voie de droite (en Inde on roule à gauche comme en Angleterre) qui plutôt que de faire quelques km pour un demi-tour, n'hésitent pas à prendre la 4 voies à contresens ! Bien sûr il ne leur viendrait pas à l'idée de rouler sur le bas côté ou de faire des appels de phares. Pire, lorsque nous les klaxonnons ils semblent surpris par notre réaction ! Décidemment nous ne comprendrons jamais la logique indienne, si logique il y a !"
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----- (11/02) ----
"Les règles en vigueur sur les routes indiennes sont finalement assez simples et logiques; le tout est de les connaître. Le principe de base dont tout découle est le suivant : le plus gros a la priorité. Il s'applique à absolument tout le monde, véhicules, personnes, animaux, ou autres. L'ordre de priorité sur la route est donc le suivant : Vache sacrée > Bus > Camion > Charrette à chameau > Camionnette > Voiture > Vélo + remorque > Rickshaw > Vélo > Personne à pied > Chien > Cochon > Enfant > Canard. La route ne comporte bien souvent qu'une seule file, ou une et demie, mais les bas-cotés, souvent en terre poussiéreuse, doivent également être pris en compte dans la surface roulable. Il arrive souvent, par exemple, qu'un bus double un camion, et que les deux engins arrivent en face de nous qui sommes à vélo, hilares. La seule chose à faire est bien sûr de plonger dans le bas-côté, après avoir essayé de faire des signes de protestation au chauffeur. La dernière chose à connaître est l'utilisation du klaxon. Conscient des dangers de la route, un indien au volant sait qu'il vaut mieux prévenir que guérir. C'est pourquoi il utilise son klaxon régulièrement. Cela peut parfois être un klaxon continu pendant 10 secondes, quand un véhicule "prioritaire" (un camion par exemple) traverse un village. Ramené au nombre de véhicules, ça fait du bruit. Et puis, même quand tout le monde est arrêté pour laisser un train passer, on a du mal à leur faire comprendre que le klaxon n'est peut-être pas indispensable. Vous comprendrez donc avec tout ça qu'il faut rester vigilant en permanence si on veut sortir entier de la route indienne."
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--- (4/01) ---
"Pas de location de voitures sans chauffeurs pour lés étrangers. Quant à circuler avec son véhicule perso, ne vous avisez pas d'avoir un accident et de blesser un piéton. Que vous soyez en tort ou non, il y a de très fortes chances pour que la population vous lynche. Et je ne rigole pas !"
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<> Indonésie
--- (5/05; Bali) ----
"Je vous recommande de louer un taxi avec chauffeur car la conduite est à gauche et les routes en montagnes sont étroites et non éclairées le soir (klaxonner en dépassant, en tournant dans la montagne, rouler à droite dans les avenues à sens unique à repérer). Le volant est en majorité plus petit qu'en France."()--- (3/05; Flores) ----"Les routes à Flores sont impossibles et souvent vertigineuses quand elles ne sont pas obstruées par des glissements de terrain ! C'est sans doute comparable à certaines routes des Andes ou du Népal."
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--- (fin 02; Bali) ----
"D'Ubud, on peut soit louer une voiture, environ 23 €/jour avec l'essence en plus, soit louer une voiture plus chauffeur en discutant les prix : pour 4 jours nous avons payé 28 €/jour. L'avantage, c'est qu'ils connaissent l'île comme leur poche et surtout toutes les petites routes car RIEN n'est indiqué et pas de carte très précise. Pour circuler, on peut se baser sur les circuits déjà établis par l'Office de Tourisme, cela donne une bonne idée."(B et J-Y. Missir)

--- (5/02) ----
"Les minibus affrétés pour les touristes sont un peu plus chers que les transports locaux mais nettement plus rapides et confortables."
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<> Japon
---- (8/03) -----"Je réside à Tokyo depuis bientôt 8 ans et nous avons une voiture depuis 3 ans. Nous n'avons pas encore eu d'accident. Tout ce que je sais à propos des accidents est que, même si on est complètement dans son droit, on a quand même au minimum 20% de tort ! Le coût de l'assurance est comparable à la France, mais vu le niveau de vie japonais, ca ne parait pas trop cher.Les voitures d'occasion ont peu de kilomètres au compteur; on comprend vite pourquoi en voyant les embouteillages, la vitesse limitée à 80 sur autoroute et une vitesse moyenne de 40 km/h ailleurs (soit car trop de circulation quand c'est plat, soit routes de montagne étroites et sinueuses). Tout ca empêche de parcourir beaucoup de distance ! En gros, on utilise juste la voiture pour faire ses courses à Tokyo !Nous avons acheté la notre d'occasion, 3 ans et 11 000 km, et on continue à faire à peu près le même kilométrage. Il faut savoir que les contrôles techniques (shaken) coûtent ici très chers même si la voiture est en bon état (il y a en fait une taxe minimum à payer), et qu'au bout de 5 ans il faut les faire chaque année. Donc, en général, on ne garde pas trop de vieilles voitures au Japon. De plus, la décote des voitures d'occasion est très importante, même au bout d'un an seulement."
(Nathalie)

---- (9/01) -----
"Il est possible de louer des petites voitures à partir de 6 000 ou 7 000 yens la journée. L'essence coûte a peu près le même prix qu'en France. Le permis de conduire international n'est en principe pas reconnu au Japon (il arrive que des agences de location l'acceptent). Pour les étrangers séjournant moins d'un an au Japon, il faut faire établir une traduction en Japonais du permis national. Peut se faire à l'ambassade de France à Tokyo (métro Hiroo, tél  (03)5420-8800  (03)5420-8800 ). La voiture est déconseillée dans les grandes villes (difficile de se repérer, embouteillages, parking chers...). En dehors des villes, le repérage est facile sur les grands axes, mais sur les petites routes, les panneaux sont parfois uniquement en japonais, et l'atlas routier en anglais est peu précis. On circule très lentement : soit c'est plat et très urbanisé (donc embouteillages et feux rouges sans arrêt), soit on est en montagne et on ne peut pas rouler vite sur les routes étroites et sinueuses. La vitesse est limitée à 50 km/h sur les routes nationales, 80 km/h sur les autoroutes (non respecté, tout le monde roule à 110-120 km/h s'il n'y a pas d'embouteillages). Hors autoroute, compter 40 km/h de moyenne (sauf au Hokkaido, ou il y a de grands espaces non urbanises). Les embouteillages autour des grandes villes sont parfois monstrueux.Quant à l'achat de voiture, les voitures d'occasion sont meilleur marché qu'en France. Mais procédure d'achat complexe, taxes, assurances et entretien très chers, possession d'une place de parking obligatoire à Tokyo. Impossible si on ne réside pas sur place."
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---- (5/01) -----
"La location de voiture est conseillée si l'on est à 3 ou 4. L'agence Orix rent a car est bien placée : ils sont très sérieux avec tarifs très intéressants. Présents dans beaucoup de villes. Nous avons payé 10 500 F, l'an passé pour 7 semaines avec les 100 yens à 6,80 F en kilométrage illimité (le break Toyota genre Laguna break prévu s'est transformé pour le même prix à l'équivalent de l'Espace Renault avec ordinateur de bord... en japonais !). Les voitures sont très bien équipées. Inconvénients : signalisation en japonais, difficile de s'y retrouver notamment pour Tokyo, circulation très difficile aux alentours des grandes villes, prix des autoroutes exorbitant (+ de 3 F le km !!), déplacements longs en zone urbaine (entre 30 et 50 km heure), difficultés pour se repérer (il faut une bonne carte en anglais avec les numéro de routes), difficultés pour se garer, conduite à gauche. Le prix de l'essence est identique au prix français."(xxx)

<> Mongolie
--- (8/04) ----"Location de jeep russe avec chauffeur. Avec ce genre de véhicule, tout est fonction du chauffeur. S'il est bon et qu'il fait l'entretient quotidiennement, pas de problème, c'est lent mais prévisible. Sinon, c'est la loterie ! Donc avec la loi des grands nombres, c'est jamais le joueur qui gagne en utilisation prolongée... Prix entre 70 000 et 80 000 Turicks par jour. Négociable en fonction de l'offre et la demande. L'essence est assez chère pour les mongols (600 Turicks/litre) et les jeeps sont extrêmement gourmandes."
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--- (7/03) ----
"Attention au 2x4 pour la Mongolie ! Dès qu'on quitte le bitume des environs d'Ulan Bator (et on y est vite), on ne voit plus que des fourgons et jeeps russes, tous 4x4. Sur la base de mon expérience de l'été dernier (6 semaines environ avec des israéliens qui avaient acheté leur fourgon russe 4x4 sur place et le conduisaient eux mêmes), on s'est mis en 4x4 moins d'une dizaine de fois sur quelques passages pentus, notamment les jours de pluie (et ca arrive l'été). Mais on a fait aussi des dizaines de kilomètres sans en avoir besoin..."
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--- (7/03) ----
"L'Asie est pleine de surprises, surtout pour son revêtement routier. On trouve 50 km de routes asphaltées puis des pistes en tôle ondulées sur 100 km. En Mongolie, il y a du bitume et des pistes carrément pourries et seule une jeep peut passer partout. Pour ma part, je déconseille le camping-car car vous allez avoir des problèmes de suspension, de cardant, etc. Même un Discovery ne tiendra pas le coup car trop sophistiqué pour la réparation. Moi, je n'utilise que des jeeps Willis ou des jeeps chinoises. De plus, celles-ci sont faciles à réparer sur place. Vous pouvez les louer sur place ou les acheter et les revendre."
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--- (début 01) ----
"Le réseau routier mongol est très peu développé. Il y a rarement une route goudronnée entre deux villes, souvent une piste et parfois le néant, toute la steppe s'offre à nos roues. Nous nous sommes principalement déplacés en jeep et, durant les 3 000 km que nous avons parcourus, nous avons dû faire 100 km de route entre Karakorum et Ulan Bator.A notre avis, le moyen le plus simple de voyager en Mongolie et certainement la seule solution pour atteindre les zones reculées telles que le Gobi, est la location d'un minibus ou d'une jeep. Le prix d'un véhicule avec chauffeur et essence varie entre 50 et 70 US $ par jour. A ceci, on peut généralement ajouter 5 US $ par jour pour une interprète (guide). Une jeep peut contenir quatre passagers. La location revient donc à environ 17 US $ par jour et par personne sans interprète et a 25 US $ avec interprète. Un minibus pouvant facilement contenir six personnes, les prix seront moins élevés. Cependant, les minibus ne peuvent pas passer partout dans le Gobi et la visibilité est beaucoup moins bonne que depuis une jeep.
Le plus simple pour trouver des coéquipiers et louer un véhicule, c'est de passer par une guest-house en sachant que vous pouvez dormir dans l'une et organiser le voyage avec une autre (ils travaillent en réseau, une vraie mafia…).N'envisagez pas de louer un véhicule sans chauffeur. Généralement il n'y a pas de piste et évidemment aucun panneau indicateur. Le chauffeur se repère aux montagnes et finit par aller demander la direction dans les yourtes en cas de doute. Le GPS ? : Il ne vous indiquera pas quel col est carrossable en arrivant devant une barrière montagneuse.Précautions : Essayez de bien fixer les conditions avant le départ pour éviter les disputes avec le chauffeur pour quelques litres d'essence. On perd beaucoup de temps et c'est certainement pire sans interprète… L'alcool au volant est normal en Mongolie.
Ne vous fiez pas au distances sur la carte: notre record est de 65 km en cinq heures car il pleuvait et le terrain était mauvais."
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<> Ouzbékistan
------ (4/04) -------
"Location avec chauffeur pour 60 US $ pour Khiva - Boukhara. A réserver par une agence sérieuse de Tachkent ou Samarcande... Nous avons été rackétés par le chauffeur pris par l'intermédiaire de l'agence de voyages de l'hôtel Khiva Medersa à Khiva."
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------ (7/03) -------
"Le réseau routier est en très mauvais état, parfois impraticable en montagne en cas de fortes pluie. Les conducteurs suivant les règles du code de la route se comptent sur les doigts de la main. Soyez extrêmement prudent, en particulier si vous conduisez dans la vallée de Ferghana car il y a beaucoup de montagnes et de virages."
(H. Kerros)

------ (5/03) -------
"Pour une location de taxi il faut bien marchander. Mais souvent c'est plus cher que si vous passiez par une agence! Le salaire moyen d'un ouvrier en Ouzbékistan ne dépassant pas 50 US $ par mois, l'essence coûtant 20/30 cents de dollars le litre, à vous de juger pour un prix honnête pour le service que vous demandez. Un maximum de 30/35 US $ par jour tout compris, essence, chauffeur est semble t-il un prix raisonnable, mais très difficile à négocier. Ne pas oublier de bien se faire spécifier ce qui est inclus dans le prix de la location ! Les chauffeurs ont souvent dans les guest houses une chambre à leur disposition."
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------ (4/02) -------
"Avec votre voiture perso faites attention car ils conduisent comme des tarés, et c'est contagieux ! Ne pas passer à l'orange car il y a toujours un agent pas loin pour essayer de glaner des Soums, voire des dollars. Bien le prendre, rester décontracté et négocier; éviter de payer... Beaucoup de radars dont souvent l'agent a bloqué la vitesse affichée avant. Je les ai vu prendre un Daewoo Damas à 160 en montée (impossible !). Là aussi, patience, sourire et négociations."
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<> Vietnam
------ (8/04) -------
"Locations de voiture avec chauffeur uniquement; assez cher."
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------ (fin 02) -------
"Voiture de location avec chauffeur, car il n'y a pas d'autres possibilités."(xxx)
 
Pacifique :

<> Australie
------- (12/06) --------
"Si vous restez plus de 2 mois en Australie, l'idéal est d'acheter un véhicule. Avoir votre propre véhicule vous permettra de sortir des activités organisées et de profiter pleinement des lieux sauvages. Acheter un véhicule n'est pas trop compliqué, mais il y a quelques trucs à comprendre."
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------- (9/04) --------
"- Achat de véhicule :
Si vous comptez rester longtemps en Australie, deux mois, par exemple, l'achat d'une voiture peut être intéressant. Il existe un marché de "voiture de voyageurs".
Ces voitures ont beaucoup de km à leur actif. En effet, nous avons à notre premier voyage acheté une Ford Falcon Station Wagon de 18 0000km pour 1 800 Aus $ et lors du deuxième un 4x4 Nissan Patrol de 48 0000km pour 4 200 Aus $. On peut être affolé par ces kilométrages mais il ne faut pas oublier que l'Australie est particulièrement plate (en grande majorité), que les routes sont droites et que, donc, les voitures roulent à des régimes qui n'abîment pas les moteurs. De plus, les voyageurs qui les utilisent font attention à les maintenir en état car c'est leur capital et ils espèrent la revendre au même prix qu'à l'achat. Bien sûr, il faut essayer la voiture, contrôler la direction, voir l'état des pneus, regarder sous la voiture pour voir les chocs possibles, les fuites possibles d'huile ou de liquide de refroidissement, tester les freins, etc, et demander les factures des réparations.
A Darwin, il existe maintenant un parking où les voyageurs peuvent acheter/vendre leur voiture et, à Sydney, à Kings Cross, un parking en sous-sol (adresse exacte dans le Lonely Planet). Bien sûr, il y a beaucoup plus de choix à Sydney qu'à Darwin.
Pour les papiers du véhicule, on doit normalement la faire enregistrer à son nom. La loi autorise un ou deux mois de délai pour la faire enregistrer à son nom. On peut la faire enregistrer en une demie journée à Port Augusta en donnant simplement l'adresse de l'hôtel. A Sydney, c'est beaucoup plus contrôlé et plus difficile.
Les véhicules de voyageurs vont de la Ford Falcon Station Wagon, au 4x4 et au van. Généralement, ces véhicules sont aménagés pour pouvoir dormir à l'intérieur et comportent pas mal de matériels.Pour conclure, une voiture de location est adaptée à un voyage inférieur à un mois. L'achat d'une voiture de voyageur est rentable pour des voyages supérieurs à deux mois. En effet, l'achat et la vente du véhicule peuvent prendre parfois une semaine chacun, surtout si le prix d'achat est bas (dû à un budget serré) et le prix de revente élevé (rentrer dans son capital). Dans tous les cas, il est rentable d'investir dans des bidons d'eau, une glacière et une douche portable. Il est intéressant de s'abonner au RACQ car ils proposent une assistance dépannage très efficace (nous l'avons testée...). Le prix n'est pas du tout prohibitif (environ 100 Aus $ pour un an) et le dépannage est très intéressant en Australie où l'on peut tomber en panne à plus de 150 km d'un garagiste (évaluez le prix à payer !).

- Les routes australiennes :
Les routes sont généralement bonnes quoique parfois un peu trop étroites. Les road-trains sont des camions pouvant avoir jusqu'à trois remorques et pouvant donc faire 50 mètres de long. On les trouve partout en Australie sauf dans les villes. Il faut compter deux kilomètres de bonne visibilité pour pouvoir les doubler, surtout lorsqu'on a une vieille voiture poussive. Notre première expérience de doublement nous a tout de suite appris comment s'y prendre. En effet, la caractéristique des routes principales australiennes (à part les autoroutes) est d'avoir deux voies avec des bas côtés en terre/cailloux. Lorsque les road-trains voient arriver une voiture derrière eux et qu'ils pressentent qu'elle va doubler, ils se déportent sur le bas côté afin que la voiture puisse doubler en restant sur le bitume. Si on n'est pas assez rapide, le nuage de poussière dégagé par le camion aveugle complètement... et donc on ralentit pour recommencer une nouvelle fois."
(Ch. et S. Jouve)

------- (9/04) --------
"Pour louer un 4x4, une excellente adresse : www.4wdhire.com.au. Ils sont présents dans les principales villes d'Australie et proposent des Land-Cruiser avec ou sans aménagement intérieur et avec possibilité de tente de toit (très pratique car cela permet de se poser n'importe où). Nous sommes adeptes de pistes et de véhicules 4x4 mais, en été, il est inutile de louer un véhicule tout terrain. Dans le centre rouge, il fait beaucoup trop chaud pour s'aventurer sur les pistes. Tarifs très intéressants chez Wicked Capers ().
Se munir d'un permis international, délivré gratuitement par la préfecture. Egalement, choisir une compagnie d'assurance sérieuse avec une franchise minime."(xxx)

------- (7/04) --------
"Evitez de rouler à la tombée de la nuit car c'est l'heure ou les kangourou sortent manger. Tout le monde vous le dira, c'est très dangereux de s'en prendre un dans le pare-brise et cela fait beaucoup de dégâts. Egalement, pour ceux qui roulent en voiture et un peu hors des axes principaux, s'équiper d'une carte récente car les routes changent vite. Pour ce qui est des pistes, toujours demander l'état pour la prochaine étape ainsi que la météo. A certaines époques on peut se faire coincer assez facilement..."
(C. Rouault)

------- (4/04) --------
"N'achetez pas de van si c'est pour le revendre en basse saison, vous ferez une très mauvaise affaire. Les acheteurs potentiels savent que vous êtes pressés par le temps et en profitent..."
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------- (1/03) --------
"Nous avons loué chez Apollo motorhome holiday, un camping-car pour une durée de 23 jours. C'est un moyen de transport très adapté au pays. Coût : 101 €/jour en moyenne pour un kilométrage illimité. Cette période est la haute saison. L'essence coûte entre 0,83 et 1,22 Aus $. Avec un camping-car non 4x4, il est interdit de prendre les pistes ce qui n'est pas trop gênant à cette période (nous sommes en été). Il ne serait d'ailleurs pas sérieux de s'aventurer sur les pistes du centre par cette chaleur."
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------- (6/02) --------
"Acheter un véhicule, si vous avez un peu de sous et du temps, c'est encore le meilleur moyen. Pour cela, arrivez de préférence dans une ville ou le marché est "abondant". Sydney, Perth ou Darwin semblent être les 3 meilleurs "spots" a cause des marchés de voitures. Mais dans n'importe quelle autre ville vous trouverez aussi des petites annonces dans les journaux.
- Quel budget :
Pour un Ford Falcon break extrêmement répandu la bas, comptez entre 1 500 et 2500 Aus $. Au dessus ce ne serait pas raisonnable et en dessous c'est qu'il y a un problème. Ces véhicules sont en général équipés d'un matelas, réchaud et parfois d'une tente. Pour un petit van sans toit ouvrant et avec un équipement sommaire (matelas, réchaud et glacière), comptez entre 2 500 et 4 000 Aus $. Pour un van plus équipé (toit ouvrant, lit, frigo, gaziniere, évier) comptez entre 4 500 et 6 000 Aus $. Ces prix sont indicatifs. Tout va dépendre a quelle période de l'année vous allez acheter votre véhicule. Si vous arrivez entre octobre et décembre, il y a peu de véhicules a vendre et par conséquent, les prix sont plus élevés. Entre avril et juillet, c'est l'inverse et la vous pouvez faire de très bonnes affaires.
- Ou acheter :
Vous trouverez des petites annonces dans tous les hôtels backpakers, internet cafés, etc… Sinon il existe des marchés comme a Perth ou Sydney. A Perth c'est tous les samedis au dessus de la gare a Freemantle. A Sydney, c'est tous les jours dans les sous-sol d'un parking du quartier de Kings Cross.
- Un conseil :
Si vous pouvez rallonger un peu votre budget offrez vous le luxe d'un van. C'est le moyen idéal de voyager en Australie et beaucoup plus pratique que de déplier le matelas dans le coffre tous les soirs ou de pique-niquer sur le parechoc. Imaginez ce que ca donne quand il pleut ! De toute façon, n'oubliez pas que vous allez revendre ce véhicule. Un autre conseil aussi : n'achetez pas une bagnole qui ne ressemble a rien. Les trucs moches ou pourris c'est difficile a vendre et au retour vous n'aurez pas forcément envie de passer votre dernière semaine a angoisser dans un parking ! Achetez un truc qui a une gueule sympa !
- Les papiers :
Chaque état possède ses propres règles mais ils possèdent tous deux choses en commun. Un véhicule vendu dans un lieu privé (comme un car market) doit toujours être équipé de 2 choses :
1) Une R.E.G.O : c'est l'équivalent de la vignette en France qui s'achète la bas pour une période de 3, 6 ou 12 mois. Quand vous achetez votre véhicule, assurez vous que la REGO est encore valable quelques mois sinon, négociez. Sachez qu'une REGO d'un an dans le New South Wales coûte environ 350 Aus $. Cette REGO comprend une assurance au tiers et, si vous voulez être couvert a 100%, il vous faudra acheter un complément dans une compagnie privée. Si vous achetez a Sydney une voiture immatriculée dans le Western Australia, c'est la bas qu'il faudra aller pour racheter votre REGO quand elle expirera si vous voulez éviter les frais d'un changement d'immatriculation. Méfiez vous si vous n'avez pas prévu d'y aller.
2) Une fiche de contrôle technique. Dans l'état de Sydney ca s'appelle un "slip" qui peut être blanc ou rose. Ce contrôle ne vérifie que les parties vitales du véhicule : freins, phares, ceintures de sécurité, état des pneus, direction, etc… Si vous voulez un contrôle du moteur, c'est a vous de le faire; comptez environ entre 120 et 150 Aus $. Cette fiche n'est pas obligatoire si vous achetez votre véhicule auprès d'un particulier. Mais vous pouvez lui demander d'en faire une. Si la fiche est rose, ca veut dire que tous les points contrôles ont été OK. Si la fiche est blanche, ca veut dire qu'il y a quelques réparations a faire, mais quelque fois c'est juste un truc comme les essuie glace.
Méfiez vous donc, que même avec un "pink slip", le moteur peut vous cacher des surprises. N'hésitez pas a aller chez un garagiste. En général, personne n'y connait grand chose en mécanique. Faites les maniaques et vérifiez des trucs simples comme l'état des pneus, les outils nécessaires en cas de crevaison, si le gaz marche si c'est un van, etc… Vous seriez surpris de voir combien de gens achètent des voitures a 20 000 F sans même démarrer le moteur !!!Une fois le véhicule en votre possession, vous avez 14 jours pour le mettre a votre nom (51 Aus $). Ensuite, y’a plus qu'a rouler. Sachez que l'essence coûte moitié moins cher qu'en France : entre 85 c et 1 Aus $/litre.- Complément :Comptez 3 ou 4 jours pour trouver un véhicule. Attention les bonnes occasions partent vite. Au retour, laissez vous du temps. Si vous vendez au début de l'été (novembre, décembre), ca peut aller très vite.
Entre avril et juillet c'est beaucoup plus dur. On a passé 8 jours début juin dans le parking de Sydney et c'est un peu stressant. Y’en a même qui repartent sans avoir vendu la voiture. Si vous avez déjà votre billet d'avion, n'hésitez pas a compter au moins 10 jours !Pour ceux qui ne veulent pas s'embêter avec la paperasse et n'ont pas beaucoup de temps. Il existe des garagistes qui vous vendent des véhicules d'occasions garantis et s'engagent a vous les reprendre au retour a 50 ou 60 %.
A Sydney vous pouvez aller chez : TRAVELLERS AUTO-BARN; 177 William street - King Cross (www.travellers-autobarn.com, ).
- Louer un véhicule :
Beaucoup plus cher mais beaucoup plus facile.
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------- (automne 01) --------
"Si vous voyagez en Australie en camping-car, demandez au centre d'information touristique de chaque état une carte routière avec les aires de repos et suivre la légende. Dans certaines d'entre elles, il est permis de dormir et de profiter ainsi des toilettes, douches et barbecue. Cela évite pour des étapes courtes, de payer les campings ! Attention par contre aux nombreux petits panneaux interdisant de camper, surtout en bord de mer. Nous avons eu une amende de 440 F !"
(Loschi)

------- (été 01) --------
"Arrivés à Darwin, nous nous sommes mis rapidement en quête d'une voiture à acheter pour mieux découvrir l'Australie. Déjà dans notre Guest House, étaient affichées pas mal de propositions de vente de voitures : Van et Ford Falcon à gogo à de très bon prix (2 000 $Aus = 8 000F). Nous nous sommes rendus à l'endroit où les vendeurs peuvent exposer leurs engins (pour une semaine, ils paient 40 $). Nous avons trouvé rapidement voiture à notre pied : une Ford Falcon Break, increvable, réhaussée et ayant tout le matériel de camping.
Cela nous a bien étonné d'ailleurs de voir que, dans chaque véhicule, tout le matériel de camping était fourni. Les formalités étaient vraiment simples : le contrôle technique était fait (obligatoire pour vendre) et la "registration" également (changement des plaques d'immatriculation). Nous n'avons eu qu'a à aller au bureau des registration pour changer le nom des proprios et payer 27 $Aus (inclus dans un pourcentage du prix de la voiture; on l'a donc déclarée à un prix très bas : 500 $Aus).
En sortant du bureau la voiture était à nous, mais on a ajouté une assurance de 195 $Aus au cas où nous causerions un accident. Il y a bien une assurance incluse dans l'achat des plaques, mais celle-ci ne couvre que soi-même.7 000 km après nous arrivions à Sydney. Nous avons fait rapidement un contrôle technique (30 $Aus) et l'on nous a remis une feuille rose, signe que notre Ford était en bon état (les feuilles sont pour les vieux coucous). Nous nous sommes rendus ensuite au Car Park de King Cross (lieu où se vendent et s'achètent les voitures des routards) situe au second niveau d'un parking sous-terrain. Nous avons du payer 40 $Aus pour une semaine.
Dès le premier jour, nous avons vendu notre voiture, et même plus chère que ce que nous l'avions achetée. Achetée 1 200 $Aus et revendue 1 600 !! Normalement, si votre acquéreur ne réside pas dans l'état où vous avez acheté la voiture, il faut changer les plaques et donc payer. Sur Sydney, c'est encore plus compliqué car il faut repasser un autre contrôle technique pour obtenir une feuille bleue. Chaque état propose des formalités différentes. Pour nous pas de problème, car notre "registration" était de 3 mois et notre acheteur se rendait à Darwin où nous avions acheté la voiture. A signaler que le camping dans la voiture est très facile dans le pays, cela ne semble presque nulle part interdit."
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<> Hawaii
------- (7/02) -------
"Ici la location de voiture est indispensable (on est aux USA !). Bien comparer les prix des différents loueurs car il y a souvent des promos affichées sur leurs sites Internet. Il est en principe interdit d'utiliser les véhicules de tourisme sur les routes non goudronnées (on vous fait parfois signer un papier). Nous l'avons quand même fait à Maui. Les 4x4 sont pratiques mais chers !"
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------- (8/00) -------
"Attention à l'assurance auto, payable à chaque arrivée dans l'agence locale de location et très chère. Bien se renseigner avant de partir auprès de sa propre assurance pour ne pas prendre une assurance inutile (la LDW suffit souvent). Lors de la première location, on nous a d'abord présenté l'assurance la plus chère et il a fallu insister pour voir les autres propositions.Etat des routes : les routes sont très belles, un 4x4 n'est pas nécessaire pour faire la Saddle road et le South Point à Big Island et toutes les routes de Maui. Ces routes déconseillées par les agences de location sont en fait seulement étroites et tortueuses, et ne surprennent pas un européen."
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<> Nouvelle Calédonie (6/05)
"Environ 950 Euros pour 5 semaines de location pour une petite voiture avec climatisation. Attention, toutes les routes ne sont pas goudronnées, et si vous souhaitez utiliser des pistes reculées un 4x4 peut être utile. Néanmoins pour les trajets classiques, une petite voiture suffit."
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<> Nouvelle Zélande
---- (10/06) ------
"A Christchurch, on a acheté un van équipé par petite annonce à l'auberge de jeunesse. On pouvait y dormir et se faire à manger. On l'a payé 1 500 $NZ (750 Euros) et on l'a revendu trois semaines plus tard à Christchurch pour 2 100 $NZ. En comptant les quelques frais de réparation, le contrôle technique et des dépenses de "confort" (chauffage, sacs de couchage...), nous sommes entièrement rentrés dans nos frais. Pour faciliter la vente, on peut louer des téléphones portables à la journée : comparer les prix entre Vodafone (agence de l'aéroport uniquement) et ceux du grand café internet sur la place de la cathédrale. La vente du van s'est faite en trois jours.Pendant notre tour, les dépenses d'essence ont été assez élevées car le van consommait pas mal. On a quasiment toujours roulé sur des routes goudronnées très bien entretenues, on n'a fait de la piste que dans les Catlins pour rejoindre certaines baies."
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---- (4/05) ------
"Voiture louée 15 jours auprès de Ezy Rent a car à Christchurch pour 25 $ NZ par jour (assurance basique) pour une Toyota Echo. Très bon rapport qualité-prix. Réservation par Internet sur www.ezy.co.nz. Attention, les routes de l'île du Sud sont pleines de graviers. J'ai fait l'amère expérience d'un impact de 1 cm sur mon pare-brise qui m'a coûté 55 $ NZ car l'impact était inférieur à 5 cm de diamètre (sinon, remplacement du pare brise)."
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---- (4/04) ------
"On peut acheter un van vraiment pas cher. Pour 500 NZ$ on a déjà de bonnes occasions. Sachant que le plein vaut 40 NZ$ et le pass de bus un peu complet 800 NZ$, le calcul est vite fait pour deux personnes ou plus. Mieux vaut prendre trois jours au début pour acheter un van ou une voiture."
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---- (1/03) ------
"Location de véhicule :Pour un séjour de court, à moyen terme c'est l'idéal. La brochette de compagnies prêtes à vous louer voiture ou van est trop longue à lister (Freedom, Backpakers, Maui, etc...). Les tarifs n'en sont que plus bas. Pour une voiture vous trouverez à partir de 25 NZ $/jour de location et pour un van à partir de 40 NZ $/jour en basse saison (et sûrement le double entre décembre et mars, si ce n'est pas le triple !). Renseignez vous car des sociétés vous offrent entre autres la possibilité de prendre la voiture à Auckland (par exemple) et de la laisser à Christchurch. Certains loueurs vous offrent même la possibilité de laisser la voiture à Wellington, traverser par ferry en piéton entre les deux îles et reprendre le même type véhicule de l'autre coté.
Cela vous évite l'exorbitant prix de la traversée; avec un petit van pour deux personnes, un aller simple en basse saison se situe aux environ de 200 NZ $. Sachez que les vans de location sont très gros et les prix basés sur la longueur du véhicule, ce qui vous fait une traversée très chère !Acheter une voiture :Là, c'est extrêmement bon marché. Pour une voiture comptez entre 1 000 et 2 000 NZ $ pour un truc qui tiendra la route. Mais il y a encore moins cher. Pour un petit van entre 1 500 et 2 500 NZ $ et pour plus gros à partir de 4 000 NZ$. Ca se sont plutôt les prix vers juin-juillet et août. En été, rajoutez 1 000 $ pour les minivans et les vans.
Au niveau pratique, il vous faut entre autres vérifier deux choses; votre véhicule doit être muni :
1- D'une WOF (Warrant of fitness). Contrôle technique sur les points sécurité du véhicule. C'est à dire les éclairages, ceintures, freinage, carrosserie, essuie glace, etc... MAIS PAS LE MOTEUR. C'est à vous de faire un check supplémentaire si vous ne voulez pas prendre de risque. Vu la gueule des voitures là-bas, ca me semble indispensable. Comptez 60 NZ $/heure pour le mécano.
2- Une registration : taxe payable à la poste. Environ 100 NZ $/6 mois.Ce sont les 2 trucs indispensables à la vente. Le reste est à votre libre appréciation. Méfiez vous de la rouille et de la structure principale du véhicule. Lors du contrôle technique c'est de très près qu'ils vont regarder la peinture. Ici la météo n'est pas clémente et ca s'use vite. Si vous avez à faire une WOF, sachez que les garagistes de l'île du Nord sont réputés pour être beaucoup plus laxistes que dans l'île du Sud; et on peut vous le confirmer !
La WOF coûte 30 NZ $ à faire.Pour acheter ou revendre votre voiture ou van, Auckland et Christchurch sont sans doute les deux meilleurs endroits. Auckland étant mieux organisé pour cela avec 2 gros "car market" le week-end. Le samedi matin en ville sur "Beach Road" et le dimanche a "Ellerslie Race course". Apres, la semaine, c'est à vous d'éplucher les petites annonces dans les backpakers ou dans les journaux. Sachez que le "Trade and exchange "et "Loot" sont deux mags qui passent des annonces gratuitement.
Une fois que vous avez choisi votre voiture, c'est facile. A la poste le changement de nom de propriétaire ne coûte que 10 NZ $.- Assurance :Oubliez tout de suite.
Déjà, avant le 11.09.01, les compagnies n'étaient pas fans pour assurer des clients susceptibles de s'envoler du pays et de disparaître au moindre pépin. Maintenant c'est toutes les portes qui se ferment, à plus forte raison quand vous n'êtes ni australien ni anglais. De toute façon, ce n'est pas obligatoire dans le pays. Inutile de chercher, on l'a fait pour vous. La seule compagnie qui veut encore assurer les touristes s'occupe des cas sociaux en général (sortie de prison, alcooliques, mauvais conducteurs, etc... ce n'est pas une blague) et pour une assurance au tiers c'est 150 NZ $/6 mois mais avec une franchise à 800 NZ $.
Sur une bagnole qui en vaut 1 000 ou 2 000 c'est pas passionnant. Si vraiment vous y tenez, la compagnie se situe à Whangarei (Nord d'Auckland) et vous faxera un contrat pas la poste : National Auto club. Tél. :  0800 501 508  0800 501 508 ."
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