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mercredi, 26 octobre 2011 13:17

Rester en contact

Maintenant on ne voyage plus sans avoir un site web, ou un e-mail pour pouvoir toujours rester en contact avec les autres. Vous trouverez maintenant des sites où vous pourrez créer gratuitement votre boîte au lettres.

« Quelle bonne idée de s’être abonnés à Internet avant de partir ! Le frère de Stéphane s’est branché et les parents d’Annie en ont fait autant. Ces derniers utilisent Canalnet. Le boîtier se branche sur la télé qui peut alors recevoir Internet. C’est simple et cela évite l’achat d’un ordinateur. On se sent complètement proche de la famille. Un mail de temps en temps, on a des nouvelles du pays et la famille sait toujours où nous sommes. Les copains nous envoient les derniers scoops. Les amis rencontrés pendant le voyage nous donnent des nouvelles régulièrement et nous nous échangeons les informations. Nous faisons aussi de nouvelles rencontres, grâce à notre site. Quelquefois, on nous demande des conseils de voyage que nous donnons volontiers en précisant l’existence de notre journal de route. En ce moment, nous l’utilisons pour prospecter les compagnies maritimes pour le bateau qui devrait nous emmener en Australie. Internet nous sert aussi dans la recherche de renseignements sur un pays, à contacter les ambassades et à organiser nos rencontres avec Handicap International. On a trouvé des Internets cafés dans tous les pays sauf la Syrie. Parfois, c’était gratuit, en particulier dans les bibliothèques scandinaves. Sinon, le prix varie entre 2 et 20 francs l’heure. C’est bien moins cher que le téléphone et bien plus rapide et plus sûr que le courrier ».
Annie et Stéphane Marais

http://periple.citeweb.net
mercredi, 26 octobre 2011 13:17

L'éducation

La plupart des parents rechignent à entreprendre un voyage au long cours, pour éviter un retard éventuel dans la scolarité. Mais les enfants peuvent également suivre les cours par correspondance et avoir des « instituteurs » particuliers le temps de leur voyage. Et quelle satisfaction pour ceux-ci : accompagner leurs enfants sur les routes du bout du monde sur les routes de la vie. La complicité née de tous les jours est un fabuleux atout pour toute la famille et restera longtemps ancrée dans les cœurs.

"Beaucoup ont envie de partir, mais partir c'est difficile, et puis il y a les enfants... Je partirais bien, mais pas avec les enfants, ce n'est pas possible. Cet argument, nous l'avons entendu maintes et maintes fois. Nombreux ceux qui ont peur pour leurs enfants. Peur de quoi ? Des risques peut-être et puis les enfants n'iraient pas à l'école ? Des structures éducatives, dans les pays dits civilisés, sont tellement fortes qu'elles se substituent souvent aux parents pour inculquer les connaissances et les valeurs morales aux enfants. Pourtant assumer complètement l'éducation de son enfant, c'est possible. Beaucoup de parents pensent que l'école laïque, gratuite et obligatoire est la meilleure des écoles. Mais prendre un enfant par la main n'est-ce pas aussi une bonne école ? Comment faire grandir un enfant ?

Est-ce durant un voyage, lorsque parents et enfants ont le temps de marcher ensemble ? L'enfant gagne confiance en lui et sait trouver son propre chemin lorsque petit, il a été guidé par une main aimée et sécurisante. Est-ce satisfaisant de partir travailler, tôt le matin, en confiant les enfants à une nounou ? »

Michèle et Didier Trousseau Cap vers Bonne-Espérance

 “C’est la rentrée pour nous aussi. Les cours du CNED de Lola sont arrivés à l’ambassade de France à Helsinki et elle a même envoyé sa première évaluation. Les cours de Louise se sont égarés. En attendant, elle a travaillé sur les livres de CE1 donnés par Sylvie, la maîtresse actuelle de ses copines. Les cours du CNED sont très ludiques et les filles aiment beaucoup la sorcière Frisapla, le chat Teigne et la chauve-souris Gus. Les cahiers de vacances (Nathan !à ont été vite finis. Les filles ont encore plein de petites revues que récupère leur mamy chez son kiné. Elles peuvent lire, faire des jeux et apprendre plein de choses. Elles commencent les mots croisés force 0. Le soir, elles passent leur temps sur l’ordinateur bien qu’elles se couchent de plus en plus tôt. Léo est toujours avec elles et apprécie beaucoup. Quand nous roulons, activité dessin, découpage-collage… Les visites des églises nous ont obligé à aborder le sujet de la religion. Louise est très curieuse de tout et veut tout comprendre. Sa curiosité n’est pas un vilain défaut. La lecture des plans des villes n’a plus de secret pour elle. Nous passerons à la lecture des cartes routières bientôt. Et elles font de la géographie en vrai, elles essaient de se rappeler le nom de tous les pays traversés, les capitales, les lettres des voitures, les drapeaux, les particularités. Les enfants adorent les bibliothèques où ils trouvent plein de jeux, puzzles… Les activités sportives ne sont pas oubliées : jeux de plein air, plage, longues promenades… Leurs emplois du temps sont bien remplis ! »

Annie et Stéphane Marais
Périple vert http://periple.citeweb.net

La scolarité : il faut simplement s'organiser et consacrer quelques heures par jour à un travail scolaire. Mieux vaut faire appel à des organismes extérieurs qui proposent des travaux scolaires pour chaque niveau.

CNED (Centre National de l'Enseignement à distance) : BP 60200, 86960 Futuroscope Cedex tél. : 05 49 49 94 94 Fax : 05 49 49 96 96 www.cned.fr

Cet institut vous permet de suivre un programme éducatif à distance. Vous recevrez les documents pédagogiques régulièrement et les retournerez une fois complétés. Un éducateur suit votre dossier et vos devoirs.

Le prix pour la version papier est de 640F pour l’année, le double si on souhaite le recevoir par Internet ou si on souhaite acheter le programme sur CD Rom.

Pour ceux qui restent quelques semaines dans un pays, vous pouvez suivre des cours dans une école française. Vous trouverez les coordonnées des écoles françaises dans le monde chez l'Agence pour l'Enseignement du Français à l'étranger 57 Bd des Invalides 75351 Paris Tél : 01 51 77 29 04 www.aefe.diplomatie.fr


INSTRUCTION EN FAMILLE
 

Voyage en camping-car sur le continent nord américain, pendant un congé sabbatique.

Nous sommes arrivés à Halifax au Canada en avion, le camping-car étant  arrivé par cargo en roll-on/roll-off ( c’est-à-dire en système ferry).

 Les enfants Céline ( 13 ans ) et Rémi ( 7ans ) souhaitent se retrouver dans la même classe que leurs copains à notre retour. Une seule solution : faire la classe pendant le voyage.

Contrairement à ce qu’on pourrait croire, l’école n’est pas obligatoire en France. C’est l’instruction qui l’est.

Quelques mois avant le départ nous avons dû demander une autorisation d’instruction en famille. Pour cela nous avons constitué un dossier. Les parents doivent justifier d’un certain niveau scolaire. Etant enseignante cela n’a posé aucun problème ( je crois que le niveau demandé est le baccalauréat). Nous avons présenté un projet de travail afin de montrer que nous connaissions le programme, les objectifs et exigences. Nous avons envoyé ce dossier à l’inspection académique ce qui nous a permis de toucher les allocations familiales, nos seuls revenus pendant le voyage.

Au retour l’inspecteur peut demander un contrôle des connaissances. Pour notre part, en juin 95 l’inspecteur du primaire a voulu voir Rémi. Comme nous n’étions pas encore rentrés nous lui avons demandé de repousser l’entretien. Il ne s’est plus manifesté.

Pendant ce temps je suis allée voir l’institutrice du CE2 à l’école de Rémi afin de recevoir quelques conseils. Elle m’a prêtée tous les manuels scolaires nécessaires. Je suis ensuite allée voir le Principal du collège de Céline pour l’informer de notre projet. J’avais ainsi la certitude que Céline rentrerait en 3ième à la rentrée suivante.

L’école pendant le voyage :

Les démarches administratives étant effectuées, il fallait maintenant remplir le contrat.

Nous avons fait à peu près deux heures de classe par jour, cinq jours sur sept, sans vacances scolaires. Une seule petite pause au moment de Noël lorsque les grands-parents nous ont rendu visite pendant une semaine.

Céline travaillait une matière par jour : maths, français/latin, histoire/géographie, sciences, langues (anglais et espagnol ). Le plus difficile a été le latin car ni Bernard, ni moi-même ne l’avons étudié. C’est la seule matière pour laquelle nous avons envoyé des devoirs au professeur du collège qui a eu la gentillesse de les corriger. L’espagnol a été le deuxième point noir. Bien que nous ayons étudié tous les deux cette matière, nous sommes loin de le parler couramment. Mais cela s’est bien terminé.

Rémi lui, travaillait chaque jour les maths et le français et une fois par semaine il faisait de l’éveil.

Choisir le bon moment de la journée :

Il  ne fallait pas que ce travail scolaire soit une contrainte trop importante et vienne gâcher le voyage. Nous profitions des pauses comme la lessive ou les courses.

Aujourd’hui c’est jour de lessive et nous cherchons la « laundromat », ce qui n’est jamais un problème. Le camping-car rangé bien à plat sur le parking, nous sortons livres et cahiers. Nous choisissons une matière où la leçon est assez vite expliquée.

Pendant les série d’exercices nous partons avec le baluchon de linge sale sous le bras. Les enfants restent seuls un moment. Ils ont pris l’habitude de travailler d’une manière assez autonome. Il faut parfois remotiver Rémi qui se laisse facilement distraire par tout ce qui l’entoure. Nous procédons de la même manière le jour des courses.

Au Canada et aux Etats Unis les grandes surfaces se trouvent toujours à l’entrée ou à la sortie des villes avec des grands parkings. Au Mexique nous n’avons pas utilisé de laverie automatique et les grandes surfaces sont plus rares. Par contre lorsqu’il y en a, les parkings sont gardés, on peut donc laisser les enfants sans crainte.

En dehors de ces pauses il fallait souvent négocier, surtout avec Rémi qui préférait jouer. Il ne supportait pas que Bernard lise dans la capucine du camion ou à l’ombre d’un arbre alors que lui devait travailler.

Au cours des grandes traversées, comme celle du Canada d’est en ouest et vice versa, nous faisions une pause un peu longue dans la journée afin de rompre la monotonie. C’était alors l’occasion de faire les devoirs. Nous nous installions parfois sur les tables de pique-nique des aires de stationnement. Les enfants avaient toujours du temps dans la journée pour jouer. En été les jours sont longs.

Au Mexique le moment privilégié était l’heure de la sieste pendant la grosse chaleur. Nous nous installions au frais dans le camping-car ou à l’ombre dans le hamac. Bernard était chargé d’expliquer les leçons de sciences ( naturelles et physiques ) à Céline. Parfois il s’endormait pendant la leçon ce qui amusait beaucoup les enfants.

Nous avons ainsi terminé le programme. Au retour à la mi-juillet nous avons bénéficié avec les enfants de la fin des vacances scolaires tandis que Bernard reprenait le travail.
Cette expérience a été très bénéfique pour tout le monde. En septembre Céline est rentrée en 3ième et Rémi au CM1. Ils ont tous deux réintégré le système scolaire sans difficulté. Cependant ils ont trouvé qu’il y avait beaucoup de perte de temps puisqu’ils devaient maintenant aller à l’école toute la journée.

Si nous devions repartir dans les mêmes conditions nous referions la même chose.

Bernard et Sylvie Frachet

L'apprentissage de la liberté :

Le temps pour votre enfant de trouver ses repères et de faire sentir son caractère.

16 mois, dans la rue il veut vous lâcher la main pour marcher seul

30 mois, il voudrait prendre un couteau pour couper seul sa viande et manger avec une cuillère ou une fourchette

4 ans, il veut traverser la rue sans vous et cours sur les trottoirs

6 ans, il veut revenir seul de l'école

8 ans, il veut regarder la télévision après le dîner avec les grands

12 ans, il veut aller au cinéma avec les copains

14 ans, il veut partir en vacances sans vous.

La liberté commence pour lui ou pour elle, le voyage forme un certain esprit d'indépendance et d'ouverture vers les autres. Une bonne façon de commencer. On dit que le voyage forme la jeunesse, mais il aide certainement à comprendre ce monde qui l'entoure et à percevoir certaines valeurs que l'on peut malheureusement ne pas apprendre.

La conversation :

Les enfants qui voyagent longtemps ont plus de facilité que les autres à s'exprimer que ce soit d'ailleurs dans leurs langues maternelles que dans une langue acquise au contact des populations rencontrées. En plus de cela les enfants sont curieux et n'hésitent pas à aller vers les gens, c'est ainsi qu'un enfant voyageur découvrira plus facilement la vie locale et ses habitants. En plus un enfant attire toujours les regards, les sourires, les attentions des autres. C'est un formidable passeport pour voyager, mais aussi un fabuleux moyen pour se faire des amis d'un peu partout.
mercredi, 26 octobre 2011 13:16

Les aides

Vous trouverez quelques solutions pour pouvoir voyager en bénéficiant d’aides ou de prestations qui vous assureront des revenus supplémentaires.
 
¤ Le congé parental d’éducation :

Ce congé est accordé pour 1 an et peut être renouvelé deux fois (ce qui porte sa durée à 3 ans maximum). Il faut avoir travaillé au moins 1 an dans l’entreprise. Les parents peuvent prendre ce congé sans solde ensemble ou non, ou bien l’un après l’autre, à temps partiel ou à temps plein. À l’issue de ce congé le (ou la) salarié(e) retrouvera son emploi ou un emploi similaire. 
Il est obligatoire de prendre ce congé parental d'éducation avant le troisième anniversaire de l’enfant.
La mère ou le père devra prévenir son employeur de son intention de prendre ce congé par lettre recommandée avec accusé de réception, et ce au moins un mois avant l’expiration du congé de maternité (deux mois si le congé parental ne suit pas le congé de maternité).
 
◊ Les prestations familiales :

¤ L’allocation parentale d’éducation :
Cette allocation est versée à l’un des parents qui s’arrête de travailler complètement ou à temps partiel à la naissance du deuxième enfant.
Il faut justifier de 2 années d’activité dans les 5 années précédant la deuxième naissance (les périodes de chômage indemnisées étant assimilées à une activité), ou de 2 ans d’activité sur 10 ans s’il s’agit du troisième enfant.
Cette allocation sera versée jusqu’au troisième- anniversaire de l’enfant.
Attention, si les deux parents quittent leur travail, il ne sera attribué qu’une indemnité par famille.
Montant : 536,03 €. par mois pour une cessation d’activité totale. 
L’allocation parentale d’éducation ne peut pas se cumuler avec une allocation pour le jeune enfant, sauf en cas de nouvelle grossesse.
 
¤ Allocation pour le jeune enfant 
Cette allocation est versée avec conditions de ressources du quatrième mois de l’enfant jusqu’à son troisième anniversaire. Une seule allocation est versée par famille même si elle compte plusieurs enfants de moins de 3 ans. La mère et l’enfant doivent passer des examens médicaux, sous peine de réduction de l’allocation.
Le montant est de 172,77 € par famille par mois.
Pour y avoir droit, le revenu net imposable ne doit pas dépasser les sommes suivantes au 1er juillet de l’année : - Couple avec un enfant : 32 328 €

Votre enfant sera mis sur le dossier du père ou de la mère, mais il faut savoir que pour un voyage au long cours, la sécurité sociale ne vous couvrira que pendant 1 an. Certaines caisses remboursent les frais occasionnés sur place (consultation de médecin, dentiste, etc.) sur présentation des factures et seulement à votre retour du voyage. Le mieux est alors de prendre une assurance assistance, qui prendra les frais médicaux à sa charge.

Ministère de la santé  1, place de Fontenoy 75007 Paris tél. : 01 40 56 60 00 ,
mercredi, 26 octobre 2011 13:16

Le congé sabbatique

Travail :

Si certains profitent de la fin de leurs études, de la retraite, d'une période "d'entre deux jobs" pour réaliser leur voyage, d'autres se trouvent confrontés au bon vouloir de leur employeur pour pouvoir partir.

Le congé sabbatique (Loi No 84-4 du 3/01/1984 ; journal officiel No 148 du 4/01/1984) aide les salariés à obtenir un congé sabbatique, sous certaines conditions. Pour en bénéficier, il faut avoir 3 ans (consécutifs ou non) d'ancienneté dans l'entreprise ou le groupe plus, en tout, 6 ans d'activité professionnelle derrière soi. On ne doit pas avoir pris de congé d'une durée minimale de six mois au cours des six années précédant la demande. Le congé autorisé est au maximum de 11 mois, plus éventuellement les congés payés en cours, et au minimum de six mois. À l'issue, l'obligation est faite pour l'employeur de reprendre le salarié dans un emploi similaire avec une rémunération équivalente à celle d'avant départ.

Pour obtenir son congé sabbatique, il faut adresser à l'employeur une demande par lettre recommandée avec accusé de réception au moins trois mois avant le départ en précisant celle-ci et la durée du congé.

L'employeur doit répondre au salarié par courrier dans les 30 jours suivants ; au-delà de ce délai, l'accord est considéré comme acquis.

Dans les faits, l'employeur peut reporter le congé de 9 mois maximum et, pour les entreprises de moins de 200 salariés, le refuser en cas de conséquences préjudiciables à la marche de l'entreprise. Le refus peut être contesté par le salarié devant les Prud'hommes dans les 15 jours après réception de la lettre de l'employeur.

À l’extrême, ou pour des durées supérieures à 11 mois, on peut aussi démissionner de son travail. Si l'on a alors tout le temps devant soi, on ne peut espérer par contre d'indemnités et le retour risque d'être d'autant plus difficile.

À l’occasion, surtout lorsque les conditions d'obtention d'un congé sabbatique ne sont pas réunies, certains arrivent à obtenir un accord tacite de leur employeur. Dans ce cas, il faut savoir que devant la Loi, le droit de réintégration et de rémunération n’est aucunement garantis au retour.

Logement :

Vous êtes propriétaire. Dans ce cas, vous pouvez louer votre habitation en passant par une agence, une petite annonce ou via des connaissances. Mais attention, si vous voulez que l'appartement soit libéré à votre retour, mieux vaut être en règle en proposant un contrat indiquant clairement la date de départ du locataire. Également, pensez à établir des factures pour le loyer et surtout exigez une caution.

 Vous êtes locataire. Vous pouvez sous-louer tout en sachant que c'est interdit sans l'autorisation préalable du propriétaire. Si vous souhaitez rester dans la légalité, renseignez-vous au niveau du contrat, de l'assurance et autres impôts locaux. Là encore, il vaut mieux confier son logement à une connaissance. Si l'on craint pour ses meubles et autres équipements, on peut toujours adopter la solution du garde-meuble (assez cher) ou du garage des copains (valable aussi si l'on est propriétaire).

Propriétaire ou locataires, vous pouvez aussi laisser votre habitation vide. Dans ce cas gardez l'assurance habitation, mais coupez l'eau, le gaz, l'électricité plus, si vous partez très longtemps, résiliez l'abonnement au téléphone (et à Internet) sans oublier de prévenir quand même le voisinage de votre départ. Ultime solution, certains préfèrent tout vendre et tout quitter.

En parallèle, prévoyez de faire vider régulièrement votre boîte aux lettres, ou mieux faites transférer votre courrier chez quelqu'un de confiance qui s'occupera en plus des courriers administratifs et autres factures pendant votre absence.

Véhicule :

Si vous choisissez de garder votre véhicule, il vous faudra quand même l'assurer pendant votre absence. Contre le vol, il faudra un garage fermé ; on peut d'ailleurs vous obliger à garder une assurance tout risque si vous stationnez dans un parking collectif. Au niveau pratique, pensez à débrancher la batterie. Autres solutions : prêtez votre véhicule à un proche en prévenant votre assurance ou même vendez-le avant votre départ.

À payer :

Ce n'est pas parce que vous êtes en voyage que les factures et autres impôts locaux ou sur le revenu vont s'arrêter de tomber ! Ne l'oubliez pas dans votre calcul de budget. Afin de limiter les frais, résiliez les abonnements inutiles ou calculez les coûts de réinstallations-réabonnements au retour ainsi que les conséquences de leurs suspensions. Pour vous faciliter la vie, privilégiez les prélèvements automatiques et/ou faites traiter votre courrier par quelqu'un de confiance (prévoir une procuration) qui pourra agir en temps voulu et vous évitera par la même occasion bien des pénalités et autres désagréments au retour. De façon générale, mieux vaut être en règle avant de partir.

Planning :

Pour une idée - ou un récapitulatif - des choses à faire ou à voir avant de partir.

- Si pendant le voyage, vous devez avoir une activité physique (trek, plongée...), voire technique (bateau, mécanique...), prévoyez un petit entraînement ou quelques "révisions". Idem au niveau des langues, notamment bien sûr de l'anglais sans qui votre voyage risque parfois de se compliquer.

- Faites faire un bilan de santé avant de partir, allez chez le dentiste, prévoyez des lunettes ou lentilles de rechange, faites votre pharmacie en fonction des pays traversés et le cas échéant de vos traitements en cours (renseignez-vous pour savoir ce que vous pourrez trouver en route et à quel prix).

- Choisissez l'assurance-assistance la mieux adaptée à votre voyage longue durée et pensez à vos vaccins ainsi qu'à leurs renouvellements.

- Éventuellement apprenez quelques notions de secourisme et surtout les choses à faire ou ne pas faire pour limiter ou lutter contre les problèmes habituels que l'on rencontre en voyage (décalage horaire, turista, etc.). Ayez également une idée des risques sanitaires selon les pays à visiter.

- Recueillez toutes les infos et témoignages nécessaires à la préparation du voyage, y compris et surtout sur le plan pratique, et élaborez la trame de votre itinéraire.

- Vérifiez ou modifiez l'état de votre matériel, du sac à l'appareil photos. Changez-en si nécessaire afin de partir dans les meilleures conditions. Et choisissez un équipement judicieux et léger tout en sachant que vous pourrez acheter/vendre certaines choses en cours de route.

- Établissez assez clairement votre budget et la forme de vos devises, le coût du voyage mais également les dépenses (et éventuellement entrées) générées chez-vous pendant votre absence. Utile de savoir aussi où et comment se faire envoyer de l'argent à l'étranger et d'avoir quelqu'un de confiance qui puisse effectuer ce type d'opération (lui expliquer comment faire). Prévenez votre banque de votre projet.

- Sur le plan pratique et financier, prévoyez tout ce qu'il peut se passer pendant votre absence et les conséquences (factures, échéances, etc...). Si c'est envisagé, n'attendez pas le dernier moment pour louer votre logement, vendre votre véhicule ou tout autre bien.

- Faites refaire ou vérifiez la validité de vos documents (passeport, permis de conduire international, carte de crédit...). N'oubliez pas qu'il sera toujours plus difficile de les renouveler en cours de route. Si cela semble utile, prenez une carte d'étudiant, d'auberge de jeunesse, etc.

- Le problème des visas et de leurs validités devant théoriquement se poser, agissez judicieusement. Prenez depuis chez-vous ceux qui à ce niveau ne posent pas de problèmes et ayez une idée sur les lieux d'obtention et les coûts pour ceux que vous prendrez ensuite. Même chose d'une certaine façon pour ce qui concerne le transport aérien.

- Si vous pensez travailler en route, pensez aux documents dont vous aurez besoin (ne serait-ce souvent qu'un CV en anglais et des cartes de visite) et ayez une première idée de ce que vous voulez faire, et où. Vous pouvez aussi commencer à chercher avant le départ.

- En cas de projet sponsorisé, ou si vous souhaitez écrire un bouquin, etc., ne laissez rien au hasard sur les actions à mener avant, pendant et après le voyage.

- Prenez une adresse e-mail, du type hotmail, qui vous permettra de récupérer facilement partout dans le monde votre courrier. Communiquez-la, et éventuellement faites-vous aussi une liste des cybercafés que vous pourrez trouver en route.

- Important, cherchez quelqu'un de confiance qui puisse vous servir de relais en France et gérer certaines choses pendant votre absence. Si la personne est de plus internaute, les contacts via e-mail faciliteront d'autant les choses et elle pourra servir d'intermédiaire avec l'entourage non connecté.

- Si vous souhaitez faciliter votre retour, prévenez vos proches assez longtemps à l'avance et pensez ensuite à garder contacts avec eux (indiquez-leur aussi comment vous joindre). Rendez une petite visite à certains avant de partir ou mieux organisez une fête d'avant départ.

- Si vous travaillez avant et après le voyage, ménagez-vous un peu de répits. Évitez de partir le lendemain de la cessation de votre activité pour rentrer la veille de la reprise.

- Si besoin est, cherchez longtemps à l'avance vos coéquipiers.

- Enfin envisagez déjà un peu ce que vous allez faire au retour.

mercredi, 26 octobre 2011 13:16

Le bilan

« Le retour : l’heure du bilan"

L’objectif du voyage n’était pas la fuite d’un quotidien devenu trop routinier, mais l’envie de vivre une expérience, de vivre différemment, avec d’autres repères que son clocher, sa montre et son agenda.

Nous avons été comblés, tant il est vrai que le plus grand luxe que l’on puisse s’offrir aujourd’hui est celui d’avoir du temps !

Sortir du système, se sentir parfaitement libre une fois au moins dans sa vie est une expérience que chacun devrait essayer de réaliser, sous quelque forme que ce soit. On prend alors du recul, on ouvre les yeux et l’on redécouvre les valeurs essentielles à travers la simplicité et les rencontres, vraie richesse du voyage.

Nous avons passé des heures à discuter, à écouter surtout, chacun nous apportant ses trésors, ses différences, son expérience.

On apprend aussi à se détacher de tous ces biens matériels, produits dont la société de consommation nous a fait prisonniers ; nous les avons retrouvés sans plaisir aucun, débordant de nos placards et tiroirs !

Nous avons été des malles aux trésors se remplissant chaque jour de couleurs, d’odeurs, de paysages, de rencontres. Partager aujourd’hui ces trésors avec quelques-uns est un vrai bonheur et prolonge notre aventure. D’autres, tellement prisonniers de leur quotidien, ont perdu la curiosité et ne cherchent plus à respirer un parfum nouveau. Dommage !

Nous sommes maintenant dans la phase de “digestion”. Chaque jour un détail, une impression, une réaction par rapport à une situation, à quelque chose ou quelqu’un nous révèle le chemin parcouru, l’évolution qui s’est opérée sans que l’on s’en rende compte. Et il nous faut désormais recomposer notre vie avec ces nouvelles données. Pas toujours simple ! »

Martine et Francis Baroux (tour du monde des îles en tandem pendant un an avec leurs deux filles)

 « Et voilà ! Deux années sont déjà écoulées… Nous refermons cette parenthèse dans notre vie… Refermer ? Non, pas tout à fait… car quelque chose en nous n’est plus exactement comme avant…

Ho, pas grand chose ! Et cela transparaît si peu…

Pourtant, il nous semble respirer plus intensément, il nous semble voir plus distinctement…

Nous avons vécu de ces regards, de ces mots qui font basculer une situation… Désormais, un geste anodin s’éclaire d’une lumière nouvelle…

Un Franciscain équatorien, le matin de notre départ, nous a salué ainsi : N’oubliez pas : “une journée sans sourire est une journée perdue !”. Allez, que Dieu vous garde !

La tête pleine de souvenirs ? Certes ! Mais pas de ces pêle-mêle poussiéreux relégués dans un coin sombre de notre mémoire, plutôt un carnet de rendez-vous qui nous propulse vers un avenir serein.

- Alors maman, on est arrivé au bout de notre voyage ?

- Oh non, petite Madeleine, notre voyage n’est pas fini : il ne fait que commencer…”.

Madeleine, Catherine et Franck Gaumé « Mille millions de coups de pédale »

 

mercredi, 26 octobre 2011 13:14

Sac à dos, poussette, jouets

« Visas, vaccins, passeport, matériel... Nous sommes en pleine préparation ! Pas de temps à perdre car entre les biberons de Léa et l'intendance, chaque jour nous rapproche du grand départ. Aujourd'hui, nous devons faire un choix capital : emmener son lapin bleu ou sa tortue verte.... à moins qu'elle ne préfère sa girafe en caoutchouc ? Entre son lit gonflable, ses couches et sa garde-robe, Léa occupe les trois-quart du sac à dos, juste de quoi emmener un T-shirt chacun pour seul rechange, ça promet ! » Catherine Perrot et Manuel Morin www.le-tour-du-monde.com

Pensez au poids à transporter, faites une sélection des choses indispensables et laissez le superflu, vous ne vous en porterez que mieux !

Poussette :

À déconseiller, dans les pays où les trottoirs sont défoncés et très hauts, donc difficiles d’accès. Par contre, dans d'autres contrées, cela peut s'avérer être intéressant. Vous pouvez acheter sur place un modèle pliable. Bébé pourra dormir dedans, se reposer et se laisser balader en toute tranquillité.

Sac à doc porte-bébé :

Indispensable pour les balades en villes comme en randonnée, vous avez les mains libres et disponibles. Choisir un modèle assez confortable et réglable. Il faut compter au alentour de 600 F. Attention, ces sacs ne peuvent accepter les enfants de plus de 10 kg. Enfin facilitez-vous la vie et faites comme les gens sur place, vous ne vous en porterez que mieux. Plus vous serez léger, plus vous serez mobiles et décontractés. Il ne faut pas oublier que le porteur est toujours en mouvement et a donc chaud, ce qui n'est pas le cas de votre bébé dans son sac, vérifiez régulièrement la température de ses mains et de ses pieds. Il existe aussi des ceintures pour attacher votre enfant dans son porte-bébé, utilisez-les surtout sur des terrains accidentés. 

« Sur le sujet du portage des enfants, je tiens à préciser qu’il faut investir dans un sac de portage de qualité (modèle haut de gamme) et non pas n’importe quel modèles de super marché. Le confort de l’enfant doit être assurer : repose pieds pour éviter l’engourdissement, appui tête, assise réglable, par soleil, et le confort du porteur (bretelles, ceintures, dos). A partir de 2 ans les porte bébés peuvent être trop juste. Nous avons opté pour le sac à dos de montagne avec 2 fermetures latérales permettant de passer les jambes. Sous les fesses , les pulls et kWay de la journée (ou les duvets en cas de rando). C’est un sac Snow leopard de North Face (très haut de gamme) qui sert aussi en temps normal.

La limite à porter est variable : de 15 kg à 25 kg mais attention à l’altitude qui compte beaucoup dans la fatigue ».
Famille Bardet

Jouets :

Emportez les jouets favoris de vos enfants, ses « Barbies », éventuellement des jeux, ou des livres avec des histoires. Ne changez pas vos habitudes : une petite histoire, ou même la petite boîte à musique avant de s'endormir, aident les enfants à mieux trouver le sommeil.

mercredi, 26 octobre 2011 13:13

Les couches, le lit, les moustiquaires

Couches :

Si vous partez 15 jours-3 semaines, vous pouvez prévoir le stock de couches pour le voyage. Sinon, dans certains pays, comme à Bali par exemple, vous n’en trouverez guère que dans les principales villes touristiques et celles-ci sont assez chères. En Chine et dans de nombreux autres pays, les enfants sont culs nus, ce qui solutionne le problème. En dépannage, vous pouvez aussi utiliser les couches en coton, que l'on lave au fur et à mesure, ce qui évite de transporter les changes qui sont un peu encombrants. 

Lit de bébé :

Si vous avez de la place et comptez louer une voiture arrivés à destination, optez pour le lit parapluie , pratique, car bébé retrouve chaque nuit son petit lit. En transports locaux, cela risque de vous gêner quelque peu. Mais si vous avez habitué bébé à dormir n’importe où, un tapis, un matelas posé par terre feront très bien l’affaire.

Vous trouverez ces lits dans les magasin spécialisés, vous pouvez également emportez un matelas gonflable

Duvets : Si vous partez en randonnée dans certains pays , il est judicieux de prévoir un duvet également pour les enfants.

 «  Pour des petits enfants, il est très difficile de trouver des duvets à leur taille de qualité. Jusqu’à 1 an, les filles dormaient avec un surpyjama dans un gilet en duvet, de 2 à 3 ans, elles dormaient au milieu de nos duvets d’adultes (jumelable). Vers 3 ans, nous leur avons offert un vrai duvet, un pied d’éléphant , bricolé (capuche et fermeture éclair rajouté). Un duvet sur mesure fabriqué par un duvetier coûte environ 1 000F, un investissement rentabilisé pour nous qui campons énormément avec 3 enfants.
Dans tous les cas, il faut bien les couvrir pour la nuit car c’est trop pénible d’avoir froid. »

Famille Bardet

Moustiquaire : vous trouverez de bons modèles, que ce soit pour le lit ou pour la poussette, les modèles se vendent non imprégnés, fixation universelle par élastique passant sous la poussette. Maille fine pour une protection accrue. environ 40 F, poids 40 g. La durée d'imprégnation des moustiquaires est de 6 mois.

indispensable dans certains pays, surtout l'imprégner d'un répulsif pour éviter l'intrusion des petites bêtes. Attention tous les anti-moustiques ne sont pas adaptés aux enfants de moins de 1 an. S.M.I. vend un choix de moustiquaire et d'anti-moustique efficace . B.P. 125 78312 Maurepas Cedex Tél : 01 30 05 05 40 Fax : 01 30 05 05 41 www.smi-voyage-sante.com

Répulsifs :

Vous trouverez des répulsifs pour la peau et pour les vêtements. À utiliser sur des enfants à partir d'un an. Sinon, vous pouvez emporter un système insecticides qui se branchent dans les prises de courant en diffusant un produit néfaste aux moustiques (attention d'avoir les bonnes fiches). Mais le meilleur et le moins cher reste le serpentin, que l'on trouve dans tous les pays du monde et que l'on fait brûler au pied de son lit ou au pied de sa chambre. Seul inconvénient, il ne dure que quelques heures, et il faut donc se relever pour en faire brûler un nouveau.

Pour une protection proche de 100 % il faut associer un répulsif vêtements et un répulsif pour la peau. Vous pouvez imprégner vos vêtements, le produit offre une protection de deux mois, résiste à 8 lavages (tièdes) et est inodore lorsque les vêtements sont secs.

mercredi, 26 octobre 2011 13:13

L'eau

Prévoir des pastilles pour purifier l'eau. Le chlore est l'agent désinfectant par excellence, il détruit les bactéries et les virus grâce à son action oxydante. Le chlore résiduel est désagréable à l'odorat et au goût, mais ne présente aucun danger pour la santé. Il existe des produits déclorants. On peut également faire bouillir de l'eau et la maintenir au moins une minute, pour tuer les microbes.

Vous trouverez des pastilles hydroclonazone (donne du goût) ou micropur (ajouter un antichlore). Une fois la pastille mise dans votre eau (1 comprimé/litre), il faut laisser agir entre 30 minutes et 1 heure, prévoyez donc un peu d'avance. Le mieux est d'avoir plusieurs litres sur soi.

Il existe aussi d'autres méthodes pour désinfecter l'eau, en la filtrant par exemple avec un filtre avec une bougie de céramique qui retient l'infiniment petit (0,2 microns absolu), et là vous pouvez boire directement l'eau filtrée sans attendre. Inconvénient, il faut 10 minutes pour filtrer un litre d'eau et surtout c'est une corvée à faire régulièrement. L'achat d'un filtre est assez onéreux.

Les lingettes :

Très pratiques pour lui laver le visage, les mains, les fesses, pensez à prendre des lingettes de qualité qui ne sèchent pas à la chaleur .

Trousseau de toilettes :

dentifrice, brosse à dents, cotons-tiges, savon de Marseille pour laver le linge, coupe-ongles, pince à épiler…

Tétine :

n'oubliez pas d'en prendre quelques unes en plus, au cas où vous perdriez celle de bébé, ce qui arrive au moins une fois par jour…

Sa peluche (nounours) :

Qu’il soit baptisé doudou, nounou, ou autre, c'est son compagnon de lit et de jeu, ne l'oubliez pas dans vos bagages.
mercredi, 26 octobre 2011 13:13

Les vêtements

Cela dépend évidemment du climat, pour les pays chauds préférer les habits en coton, avec les petits ensembles short et tee-shirt.

Quelques chandails pour les soirées fraîches, un blouson. Prévoir des chaussettes adaptées, une paire de sandalettes pour la plage, et des petites chaussures en toile qui se nettoient facilement. Pour le repas, prévoir quelques serviettes.

Pour les climats plus tempérés prévoir des affaires plus chaudes en laine, parfois bonnet et gants. En tout cas on trouve toujours des habits à acheter sur place quel que soit le pays.

Il est inutile de partir avec une tonne d'affaires de rechange, prévoyez léger et faites la lessive au fur et à mesure de votre voyage, le linge sèche vite.

N'oubliez pas le bob ou la casquette contre le soleil. Les paréos sont parfois utiles, moins encombrants que les serviettes de plage, ils peuvent très bien trouver leur place sous bébé pendant sa sieste dans un bus ou sur l'herbe d'un parc ombragé.
mercredi, 26 octobre 2011 13:13

Les devoirs de vacances

Là pour des voyages qui durent quelques semaines et pour les enfants ayant quelques difficultés à l'école, il est bien d'en profiter pour réviser un peu ce que l'on a appris durant l'année scolaire.

Il existe plusieurs collections de devoirs de vacances chez les libraires, bien illustrées ludiques et pédagogiques, elles seront un bon complément pour se faire calmement quelques exercices. Dans le bus ou le train, voilà une bonne façon de joindre l'utile à l'agréable.
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