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mardi, 24 avril 2012 14:49

Des montagnes et des hommes


Catherine

Début juillet 2012, je m’envolerai pour l’Amérique du Sud, où j’entamerai un périple de 11 mois de voyage, à la rencontre des plus belles montagnes du continent sud-américain et de leurs habitants.

Le but de mon voyage est de vivre ma passion pour la montagne en gravissant des sommets (au moyen de trekking à pieds, alpinisme ou escalade), tout en la partageant avec leurs habitants, soit en effectuant les ascensions avec eux, soit en rencontrant les habitants des villages perchés au flan de ces montagnes.

J’aimerais à mon retour dresser le portait des figures les plus marquantes rencontrées lors de mon voyage, au moyen de photos et de petits textes.

A suivre...

Catherine.
http://desmontagnesetdeshommes.wordpress.com/

mardi, 24 avril 2012 14:07

Photos du festival 2012


Reportage photo réalisé par Fabrice Deschoux.


Deschoux1Bar/buffet Deschoux2Rencontre et dédicace
deschoux10 Deschoux12
Deschoux6Salle de projection toujours pleine Deschoux8Echange avec le public
Deschoux7L'équipe de l'accueil Deschoux9Partage d'une passion
mardi, 24 avril 2012 09:04

Retour d'Argentine

ARGENTINE_2012_397Depuis plus de 50 ans, mon épouse et moi-même  parcourons le monde et ses 5 continents, principalement en découverte individuelle.

Par rapport aux clichés et craintes, une destination était absente de nos choix, l’Amérique du sud.

Après consultation des guides « Lonely planet » sur les pays latino américains, l’Argentine nous a semblé le plus abordable.

En avril 2012, de Buenos Aires à la Cordillère des Andes, nous avons parcouru 5000km dans cet immense pays en voiture de location avec hébergement dans des hôtels modestes sans réservations.

A chaque retour de voyage, nous relatons des impressions et surtout pas d’affirmations.

 L’Argentine nous a agréablement comblés.

La population nous est apparue accueillante, souriante et agréable.

ARGENTINE_2012_343Les grands espaces et leurs paysages sont magnifiques, très sauvages et à peine domestiqués.

Ce pays n’est pas encore atteint par la pollution numérique qui envahie la plupart de nos contrées d’Europe depuis une dizaine d’années.

Conduire en Argentine ne présente aucun danger, les Argentins conduisent bien et aiment les sports mécaniques, la police y est très présente mais peu répressive.

Bien que la population vive chichement après avoir traversé de nombreuses crises, hormis certains  quartiers de Buenos Aires, elle affiche, dans l’ensemble,  une certaine joie de vivre.

En conclusion, nous n’avons qu’une envie, celle d’y retourner, car on n’a vu qu’environ un dixième de ses richesses, l’image la plus forte que nous en gardons, est celle d’un pays où la vie ressemble à celle que nous connaissions en France dans les années 50, sans nostalgie, car c’était aussi des années difficiles mais heureuses.

Nous souhaitons à ce pays d’évoluer vers plus de confort pour ses habitants et surtout d’éradiquer la misère, source de nombreux drames.

Roger BOURREAU (Avril 2012)
lundi, 23 avril 2012 08:14

Terra Scala 2012

7ème festival Terra Scala – ABM Rennes – 17 et 18 mars 2012

ABM_renes1 ABM_rennes2


Berceau de l’humanité, Arabie heureuse, Reine de Saba, Corne de l’Afrique, la mer Rouge, il y avait de quoi vous mettre en appétit d’insolite et de dépaysement à l’occasion du 7ème festival Terra Scala 2012 décliné tout spécialement autour de la Mer Rouge.

Les visiteurs nombreux s’y sont pressés pour en découvrir les secrets.

Le Yémen, le Soudan, l’Ethiopie : 3 destinations rares, trop méconnues, aujourd’hui difficiles d’accès, nous ont révélé leurs mystères au travers de belles images assorties de riches commentaires.  

L’Espagne, la Grèce, l’Inde du Sud, Cuba, Venise, Istanbul, plus proches, ont complété notre désir d’évasion et de découvertes.       

Un intermède oriental avec la prestation de deux sympathiques et sensuelles danseuses du ventre, des stands pays hauts en couleurs, un buffet des « saveurs du monde «  ont enrichi ces 2 journées, réussies par la mobilisation, l’implication et l’enthousiasme des joyeux organisateurs.   

 

Marie France VIOLLEAU - ABM RENNES
dimanche, 22 avril 2012 09:17

Bénévole au festival

« Allez, viens, l’ambiance est vraiment sympa ! »... un coup d’œil à mon agenda : c’est bon, la date est dispo, je réserve donc les 14 et 15 avril pour participer à l’édition 2012 du Festival Partir Autrement. Et cette année je serai bénévole !

Samedi matin donc, direction l’Espace Reuilly, dans le 12e arrondissement de Paris. En quelques minutes, je fais la connaissance du reste de l’équipe. Tout le monde s’active déjà pour que tout soit prêt pour accueillir les visiteurs venus assister aux projections : les percolateurs sont remplis, le fameux thé à la menthe embaume déjà la cuisine et Geneviève répartit les tâches pour préparer le buffet du déjeuner.

A 10h30, les portes s’ouvrent et on vend les premières entrées et les premiers cafés. C’est aussi le début des discussions, avec les intervenants ou les autres adhérents : impressions, idées voyages, anecdotes ou astuces de routards, les volontaires sont aux premières loges pour échanger avec ces aventuriers du bout du monde. Les bavardages continueront jusqu’au dimanche soir, parce que le festival est l’un de ces moments rêvés pour discuter voyage.

Même si on a suffisamment à faire pour ne pas voir le temps passer, on s’arrange entre bénévoles pour assister aux présentations. On suit la route du café équitable péruvien jusqu’en Bretagne, on écoute avec attention les « Voix de la Pachamama », on rigole devant les péripéties australiennes de Florian mais on est aussi ému par les 200km parcourus par Georges et Philippe en plein cœur de l’Islande. Et bien d’autres encore…

Entre deux projections, les festivaliers font évidemment une pause au bar où des apprentis hawaïens en chemises à fleurs proposent de goûter le punch préparé par Ander. Même si la chaleur de ce mois d’avril n’est pas écrasante, chacun apprécie un petit verre pour se rafraichir – bien joué les gars, les 4 bidons ont été vidés !

En résumé, pendant ces deux jours, j’ai fait le tour du monde, retenu (au moins) une quinzaine d’idées de destinations à découvrir, me suis dit que « oui, à pied, en vélo ou en combi VW, on peut en faire des kilomètres », et Emeric a été d’excellent conseil pour mes prochaines lectures dans le métro… Bref, je pense que vous aurez deviné : en 2013, le festival Partir Autrement peut compter sur moi !

Nolwenn Jézéquel

 

dimanche, 22 avril 2012 09:02

Tortue et tropique

anaisPassionnée par les voyages, les animaux, la nature... j'essaye d'allier missions d'éco-volontariat et tourisme au cours de mes voyages autour du monde.

Lors de ma première mission en 2010 au Costa Rica, j'ai commencé ce blog : http://tortuetropique.over-blog.com/ que je vais reprendre et compléter avec justement cette partie éco-volontariat en détails, à l'origine même de son nom ==> "Mission tortues-tropique" ;o) étant donné qu'il s'agissait de travailler pour l'association La Tortuga Feliz (http://www.latortugafeliz.com) agissant pour la sauvegarde et la protection des tortues marines, au sud du parc national TORTUGUERO. J'étais avec ma soeur, journaliste, et pour le reste... à suivre dans ce blog qui sera je l'espère partagé pour donner des idées à d'autres amoureux de la nature et des animaux !

En 2011, ce fût l'Afrique du Sud, avec WILDLIFE ACT (http://www.wildlifeact.com/), et cette mission fera également l'objet d'une suite. L'été prochain la Nouvelle Zélande et peut-être les kiwis, bien que la saison ne soit pas propice aux missions sur ces oiseaux, je cherche...

 


jeudi, 19 avril 2012 22:04

Sur la route des Incas

« Tahuantinsuyu - Sur la route des Incas » par Célia Dandonneau et Simon Dubuis



P1030498Nous partons le 2 mai prochain pour une traversée à pied de l’ancien et vaste Empire Inca « Tahuantinsuyu ». Un itinéraire long de 5000 kilomètres des vallées peuplées et verdoyantes aux hauts plateaux désertiques et arides, jusqu'aux sommets des Andes à 6000 mètres d’altitude.

Un itinéraire qui nous emmènera à :

  • La rencontre avec les descendants des Incas

  • La découverte de la culture et du patrimoine de cette civilisation

  • La réalisation d’un défi sportif et humain

  • La satisfaction d’effectuer un magnifique voyage au bout du monde

Le fil conducteur de notre aventure est de partir à la découverte des Andes d’hier et d’aujourd’hui, à travers l’Equateur, le Pérou, la Bolivie, le Chili et l’Argentine. De village en village, les sites Incas, pré-Incas et les merveilles naturelles seront notre balisage.

Un projet d’une telle dimension ne peut se voir réaliser qu’avec une motivation forte et soutenue. Au-delà de la découverte du patrimoine historique et naturel, la volonté de marcher sur les traces des peuples précolombiens, sera notre moteur tout au long de cette année. Les rencontres et les découvertes que nous ferons partager au quotidien avec ceux qui nous suivront, ainsi que les envies d’évasion que nous pourrons susciter, dégageront chez nous une énergie pour survoler les Andes.

A découvrir sur : www.inca.dubuis.net

mercredi, 04 avril 2012 15:45

12 voyageurs qui ont franchi le pas

12 voyageurs qui ont franchi le pas ! Ou la beauté du voyage au long cours en 7 questions…

12voyageursAuteur du blog Instinct Voyageur, j’ai voulu offrir ce petit recueil de témoignages sur des voyageurs qui ont franchi le pas. Certains sont revenus, d’autres sont encore en voyage. Tous ont un jour franchi le pas pour un voyage au long cours.

J’ai essayé d’être le plus éclectique possible dans le choix de ces voyageurs. Vous trouverez ainsi des voyageuses parties en solo, de jeunes voyageurs, d’autres plus âgés, certains en couple et même l’exemple d’une famille en voyage !

 Un ouvrage inspirant et qui, certainement, risque de vous inciter à franchir le pas pour prendre le large ! C’est là le risque que vous prenez à lire cet ebook gratuit et libre de droit !

En accès libre sur cette page : http://www.instinct-voyageur.fr/manifeste-voyageur/

 

 

 

mercredi, 04 avril 2012 15:33

Carnet de route

Résumé de trois mois passés dans les Rocheuses et sur le fleuve Yukon (environ 6.000 km en vélo et 2.750 km en kayak).

Yukon5Ce nouveau petit voyage commença le 10 juin 2011 depuis Calgary en direction de Whitehorse, capitale d’un territoire du Canada, le Yukon territory qui est presque aussi grand que la France mais avec seulement 33.000 habitants et qui doit son nom aux rapides qui montraient des chevaux blancs (crinières) à l’entrée de cette petite bourgade de seulement 20.000 habitants !

Autant dire que la route prenait d’emblée le chemin des étoiles la nuit et des vues sur les grands espaces le jour, que du plaisir donc, d’autant plus que les américains et canadiens des Rockies (les Rocheuses) sont très avenants et sympathiques. Bref déjà les ingrédients d’un très bon voyage.

Ensuite le parcours traversa l’Alaska, un autre territoire grand comme trois fois la France avec seulement 700.000 habitants dont plus de la moitié dans les deux principales villes, Fairbanks et d’Anchorage, encore un beau périple au sein des grands espaces alaskans.

On compte environ 40.000 grizzly en Alaska et 10.000 grizzly au Yukon territory ; il y a aussi environ 600.000 ours noirs sur le continent nord-américain (principalement dans le nord des Rockies), on peut aussi croiser des Moose (l’équivalent des Elks en Europe scandinave, on en trouve plus d’un million dans les Rockies et leur poids peut atteindre 700 kg pour un adulte mâle!), des coyotes, des cerfs bien sûr, des marmottes, des renards, des aigles et autres rapaces et si on est plus chanceux (ce qui ne sera pas mon cas cette fois-ci) des loups ou des lynx.




Il n’y a jamais eu de soucis vis-à-vis des animaux que l’on dit « sauvages », en fait ils sont bien élevés et respectent des règles établies depuis la nuit des temps. Les ours profitent surtout de la bonne herbe, des fleurs et des fruits. En effet, l’été est court, à peu près 3-4 mois seulement car dans les nuits d’août il peut déjà commencer à geler et, dans ces régions septentrionales, le printemps et l’automne ne durent guère plus de deux semaines. C’est donc tout un tableau qui s’étale devant nos yeux en trois mois et tout un art : beaucoup de couleurs – de fleurs oranges, jaunes, bleues, rouges, violacées…, des arcs en ciels, des couchés de Soleil magnifique qui n’en finissent pas et toute cette faune et cette flore vivent en symbiose grâce à la faible densité des habitations et des activités humaines.

Yukon2Alors oui, ce monde est « sauvage ». Non pas dans le sens où ses « habitants » ne seraient pas civilisés (ils n’en ont vraiment pas besoin et heureusement le climat rude ne s’y prête pas) mais plutôt parce que ceux-ci vivent librement sans les contraintes et règles « sociétales » qui existent chez « nous » en « Occident ». Les populations autochtones de l’Alaska vivent donc en harmonie avec la mère nature et simplement, ils ne recherchent pas forcément à être « riches » ni toute sorte de biens de consommations, ce qui n’empêchent pas les enfants de jouer toute une après-midi dans l’eau à 10-15°C du fleuve Yukon ! Bref, les animaux tels que les ours et autres, qui font « peur » à certains pyrénéens notamment (pourtant chasseurs bien souvent) et aux français en général, ont ici toute leur place dans la vie de tous les jours et dans les légendes orales. Je n’ai jamais été inquiété par un ours (noir ou grizzly) sur les 55 que j’ai pu croiser, il ne faut jamais oublier qu’ils sont à 95% herbivores, les seules viandes qu’ils mangent sont des saumons et des truites, très rarement des petits mammifères. Beaucoup d’idées reçues chez les citadins et les personnes « civilisées » engendrent des peurs inexplicables.

Après cet éloge à la mère nature qui sait vivre d’elle-même en équilibre (seulement si l’Homme ne s’y mêlait pas pour y créer des crises), il ne faut pas omettre le plaisir de rouler en vélo de Calgary à Whitehorse (environ 3.000 km, en juin 2011), à travers les jolies montagnes des Rockies, les parcs nationaux de Banff et de Jasper (avec leurs glaciers) par la Icefield parkway, puis en suivant l’Alaska Highway jusque Whitehorse où plusieurs groupes de bisons (bien plus impressionnant que les ours !) peuvent s’agiter en bord de route lors du passage d’un cycliste, sans oublier les mooses et autres cerfs… Beaucoup de fleurs aussi égaient les journées.

A Whitehorse, le voyage se poursuit par la descente du fleuve Yukon en juillet 2011 sur environ 2.750 km, sans aucun entraînement spécifique effectué auparavant et sans avoir fait de kayak depuis plus de 18 ans (la dernière fois étant à l’âge de 15 ans sur les belles rivières de la Dordogne et de la Vézère). Pas besoin donc d’être un expert pour faire la descente du Yukon, on peut très bien la faire en famille, c’est très calme et très plaisant d’arriver la plupart des soirs sur une île de sable et de pierre pour y planter la tente (utilisée seulement pour la partie en kayak - lors du parcours en vélo, les nuits se passent sous les belles étoiles ou sous une cabane construite en une vingtaine de minutes pour s’abriter de la pluie, dans les forêts de sapins). Il n’y a pas de danger donc et cette descente du fleuve en kayak est vraiment facile pourtant seule une quarantaine de personnes l’effectue chaque année ! On peut stocker beaucoup de provisions dans un kayak et donc le coût de cette mini-aventure n’est pas excessif, ce n’est pas plus cher que pour faire ses course au supermarché ! Seul le billet d’avion est à ajouter et l’achat du kayak (qu’on peut revendre une fois la descente finie).




Yukon3Arrivé à Saint Marys, à une centaine de kilomètres de l’embouchure du Yukon avec la mer de Béring, je rejoins Anchorage grâce à un petit avion et où le kayak a pu se vendre grâce à une bonne rencontre due au hasard de quelqu’un passionné par les « aventures » en kayak et en vélo. Entre Anchorage et Prince Georges (à 750 km au nord-est de Vancouver), la route continue avec le vélo qui était resté jusque là sagement accroché à l’arrière du kayak (ce qu’on m’avait dit irréaliste à Whitehorse, à cause des vagues et du vent sur le fleuve et pourtant si simple à faire !). Il y a encore eu de beaux passages dans des parcs nationaux (Wrangell-St Elias, Kluane) et la joie de rouler sur plus de 800 km sur la Cassiar road, une belle petite route à travers la forêt canadienne qui venait juste d’être finie et goudronnée complètement ! Encore de belles occasions de rencontrer des ours noirs (très « pathétiques » en les prenant en photo avec des brins d’herbes dans la bouche), des cerfs et des mooses, sans compter les aigles alaskans.

La plupart des nuits se sont encore déroulées sous les étoiles comme dans tous les voyages précédents et sans aucun souci avec la faune malgré l’absence de tente (mais il n’y a jamais eu de feux de camp !). Un seul sac à dos a suffi pour transporter ce qui est nécessaire (quelques vêtements, des chambres à air et pneus, et des victuailles pour tenir jusqu’au prochain ravito). Léger et plus mobile donc comme d’habitude ce qui a pu permis de faire 300 km avant Whitehorse dans la forêt boréale alors que la luminosité reste toute la nuit en été. Contrairement aux idées reçues de beaucoup de français rencontrés avant le voyage, le climat n’est ni froid ni rude dans ces contrées traversées, comme en Scandinavie deux ans auparavant, il fait plutôt doux, rarement frais la nuit en juin et en juillet, et le temps est plutôt sec mais avec une température agréable de 20-30°C dans l’après-midi.

Après ces trois mois de petites aventures, le retour se fît par avion entre Vancouver et Nice pour rejoindre mon double et ma complice connue huit mois auparavant afin de faire la belle traversée de la Corse grâce au GR 20. Véritable Dauphin dans l’eau de mer et Volcanique sur terre, avec Delphine nous décidons de poursuivre ce partage en continuant l’idée de traverser les Amériques par un retour en Patagonie, en novembre 2011, pour parcourir cette contrée de Punta Arenas à Santiago du Chili, à travers plus d’une dizaine de parcs nationaux, en vélo et à pieds, par des routes difficiles car souvent non goudronnées et à travers Eole : le « dieu vent » a trouvé ici un lieu où s’exprimer paraît-il. Aussi on peut espérer vous conter à notre retour, en mars 2012, cette nouvelle petite aventure…

Frédéric Barbier. 
mercredi, 04 avril 2012 11:22

On the trail again

naudetÇa y est, nous sommes en très grandes vacances: la voiture est vendue, le boulot est quitté, le déménagement est fait, les clefs de l'appart sont rendues, le billet aller est pris et les sacs à dos sont prêts (ou presque)...

A partir du 10 avril 2012 nous serons en Amérique du Sud pour environ 1 an. Au programme: trecks, tourisme, découvertes, apprentissage de l'espagnol, un peu d'alpinisme (ou plutôt d'andinisme), de l'imprévu et on l'espère beaucoup de bonheur sur les routes, les chemins, les rails et les rivières qui nous mèneront du Vénézuela au Nord jusqu'à la pointe Sud du continent.

Jungle, montagnes, déserts, villes modernes et anciennes, océans,..., nous tacherons de découvrir autant que possible les richesses des paysages de cette partie du monde, et de nous imprégner de la vie locale!

Vous pouvez partager avec nous notre voyage sur notre blog :
http://on-the-trail-again.blogspot.fr/.

Nous essaierons d'y mettre toutes les infos utiles pour ceux qui veulent préparer un tel voyage. Et qui sait, peut-être que nous nous croiserons en route!

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