L'Ambassade de Mongolie à Paris a confirmé la suppression du visa pour les voyageurs Français et Européens, pour les années 2023 à 2025.
Cette exemption temporaire de visa est valable pour les séjours touristiques d'une durée jusqu'à 30 jours. Elle s'inscrit dans le cadre du programme "Bienvenue en Mongolie" promu par le gouvernement mongol.
Cette mesure ne concerne que les séjours touristiques. En cas de déplacement professionnel, familial, d’étude, stage, humanitaire ou si la durée du voyage excède les 30 jours, l’obtention d’un visa mongol reste obligatoire.
Réponse au questionnaire sur le magazine Globe-Trotters
Un questionnaire vous a été envoyé mi-novembre pour avoir votre avis sur la revue.
Avec 207 réponses reçues, cela représente un très bon retour pour environ 1200 adhérents.
Six questions avaient été posées sur l’intérêt porté et sur des suggestions à apporter, plus une pour connaître la composition des répondants.
80% des répondants lisent régulièrement la revue. On peut imaginer que ceux qui répondent sont les plus intéressés par la revue et que les moins intéressés répondent peu, ça peut donc gonfler ce chiffre. Néanmoins, c’est un très bon score.
2. Quels types d’articles préférez-vous lire ?
Dix sujets étaient suggérés, plusieurs réponses étaient possibles :
Les trois principaux sujets qui retiennent l’attention et dépassent nettement 50 % sont : les rencontres avec les gens ; les récits de baroudeurs ; les descriptions de villes, sites remarquables, ambiances…
Quasiment à 50 % suivent : nature et écologie ; rappels d’histoire et civilisations
Entre 20 et 33 % : aventure sportive ; portraits ; architecture ; interview ; arts
On peut en ressortir trois grandes tendances :
- la rencontre de l’Autre : rencontres avec les gens 80 % ; portraits 29 % ; nature et écologie 48 %
- Le monde comme vaste terrain de liberté : récits de baroudeurs 76 % ; aventure sportive 33 % ; interview 27 %
- Les cultures et civilisations : descriptions de villes, sites remarquables, ambiances 76 % ; rappels d’histoire et civilisations 48 % ; architecture 27 % ; arts 21%
Une question ouverte était posée sur d’autres articles préférés ; les réponses seront groupées avec les suggestions en question 5 car des 17 réponses, chacune était différente.
La satisfaction globale est quasiment unanime, l’analyse des suggestions en question 5 sera intéressante à regarder plus particulièrement.
Selon une très large majorité des répondants, notre magazine a bien une spécificité avec des récits qui sortent de l’ordinaire et du fait que c’est le magazine de l’association par les récits des adhérents et des nouvelles de ceux en cours de voyage.
5. Avez-vous des suggestions pour améliorer le magazine ?
Il y a eu 64 répondants + les 17 réponses supplémentaires de la question 2, les réponses sont regroupées par thèmes avec le nombre de réponses :
- Plus d’infos pratiques : 14 (18 %), c’est la demande la plus importante, pour chaque article ou destination abordée mais aussi des suggestions de livres associés
- Format de la revue ; 11 (10 %), des remarques parfois contradictoires : format plus petit ; qualité trop luxueuse (papier glacé) ; regret du papier glacé d’avant ; regret de la baisse du nombre de pages ; demande d’une copie numérique et d’un agenda partagé ; format numérique ; crainte de la baisse de qualité des articles du fait de la réduction du nombre de pages, … à le format numérique existe sur le site abm.fr depuis l'espace adhérent, pensez à vous identifier
- Plus d’articles baroudeurs : 6 (8 %), une vraie demande, donc développer aussi « Coin des bourlingueurs » et « Voyages au long cours » à mais il faut que les baroudeurs écrivent !
- Infos, trucs et astuces : 6 (8 %), là aussi, une demande pour des sujets spécifiques : comparatif matériel photo ou de rando, camping ; annonce de ventes d’équipements, bourse de voyageur ; bref, développer une rubrique trucs et astuces à toute bonne volonté peut se proposer pour tenir cette rubrique même si non régulière.
- Mise en page, maquette : 5 (6,5 %), soit quatre remarques critiques sur la mise en page ou charte graphique plus une suggestion d’une présentation type carnet de voyage …
- Photos : 5 (6,5 %), remarques sur les photos : critiques sur la qualité des photos, demande de portfolios plus longs à les photos sont fournies par les auteurs ou d’autres adhérents, par ailleurs dans les compliments il y a eu plusieurs remarques sur la bonne qualité des photos ….
- Critiques générales : trop d’ego dans les récits d’exploits, articles au ton trop lisse, plainte de censure d’article… à les articles ne sont pas « censurés », ils peuvent ne pas avoir été sélectionnés…
- Antennes : trois demandes de plus d’info sur la vie des antennes à certaines infos sont publiées sur le site internet : onglet ABM > Les news d’ABM > dans les antennes
- Autres : concerne la reprise des projections, la possibilité de voir les visio en replay, demande de dissocier l’adhésion de l’abonnement de la revue ; la qualité des articles a baissé, envisager des auteurs hors association ? ; plus d’articles en France ; plus d’aventure sportive
- Par ailleurs : 11 compliments sur la qualité des articles, photos, etc … et/ou 9 remarques pour pas de suggestions de changements, pour continuer comme ça.
Le format papier est toujours plébiscité.
à Pour les adeptes du format numérique, nous rappelons qu’il est accessible pour les adhérents sur le site d’abm.fr : se connecter avec son identifiant, onglet : espace adhérent > votre magazine Globe-trotters, ensuite vous pouvez le consulter en ligne depuis le numéro 190 ou le télécharger au format PDF depuis le numéro 141 !
< Conclusion
La revue vous plaît à une très forte majorité, elle est lue très régulièrement et le format papier reste plébiscité. Elle a bien une spécificité puisque les articles sortent de l’ordinaire pour 75% d’entre vous.
Les types d’articles les plus appréciés sont le reflet de l’association et de ses adhérents : voyager pour rencontrer des gens, lire des récits de voyageurs de type baroudeurs mais aussi de l’intérêt pour la nature, et le tourisme culturel : les descriptions de villes, sites remarquables, les civilisations et l’Histoire.
Les suggestions vont souvent dans le même sens : plus d’infos pratiques, plus d’articles de baroudeurs, des trucs et astuces pour mieux voyager, plus de photos et de meilleure qualité.
Ce que nous pouvons prendre en compte et proposer :
Ce superbe retour positif global sur la qualité de la revue nous fait plaisir et nous vous en remercions.
- Pour les suggestions d’amélioration, nous en profitons pour rappeler que le contenu de la revue vient des adhérents et nous encourageons les adhérents à écrire des articles. L’appel « A vos plumes » qui est envoyé par mail ou se trouve en fin de revue, permet de lancer des thèmes, mais il ne faut pas se limiter à cela, tout article est susceptible d’être sélectionné pour passer dans la revue, environ la moitié d’un numéro est composée d’articles hors thème.
- Certains adhérents connaissent mal le site internet, nous les invitons à mieux l’explorer, ils pourront y trouver des infos qu’ils sont susceptibles de chercher, notamment dans les onglets : ABM, Infos voyages, Espace adhérent.
- Pour les infos pratiques, il est possible d’insister auprès des auteurs des articles, ou auprès d’autres adhérents, pour qu’ils fournissent les éléments qui ont été nécessaires à leurs voyages. Cela peut aussi se faire en même temps que les appels « à vos plumes »
- Pour les photos, il est possible d’en chercher auprès d’autres adhérents si celles fournies par les auteurs ne semblent pas suffisamment satisfaisantes.
- Les infos, trucs et astuces sur matériel photo, de rando ou autre, pourraient faire l’objet d’une rubrique plus ou moins régulière. Ceci nécessite d’y consacrer du temps. Aussi, si des adhérents se sentent le désir de prendre en charge ce sujet ou de fournir des études sur un sujet particulier, nous sommes preneurs.
- A propos du choix des articles parus dans la revue, les articles sont reçus puis lus par les membres du comité de rédaction, ensuite une sélection est effectuée en fonction du thème choisi ou de l’intérêt du texte (voir les articles parus sur la fabrication de la revue dans le n° 200, si vous ne l’avez plus, vous pouvez le trouver sur le site internet). De ce fait, certains articles peuvent ne pas être sélectionnés, mais il ne s’agit pas de censure. Vous pouvez retravailler votre article pour mieux correspondre à la sélection. Cependant, tout ne peut pas être publié, le nombre de pages de la revue ne le permet pas toujours.
La revue est celle des adhérents et vos contenus seront toujours les bienvenus pour alimenter le travail du comité de rédaction.
Participez !
13 curieuses superstitions à travers le monde
Ce vendredi 13 janvier 2023, étant un jour redouté ou attendu dans l’inconscient collectif, que vous soyez superstitieux ou non, ce tour du monde à travers ces curieuses croyances ancrées dans l’inconscient collectif des cultures vous surprendra à coup sûr.
Les personnes superstitieuses seront prévenues : en parcourant le monde à travers ces croyances surprenantes, elles risquent bien de voir la vie quotidienne d’un autre œil, et de - qui sait - rajouter des superstitions à leur liste !
Civitatis, l’entreprise de vente en ligne de visites guidées, d’excursions et d’activités en français dans le monde entier, a établi une liste de 13 superstitions pour le moins surprenantes à travers le monde.
En la parcourant, vous vous rendrez compte que l’être humain ne manque pas d’imagination et que les superstitions s’arrêtent généralement aux frontières des pays, et parfois même de régions.
1. Sri Lanka
Au Sri Lanka, un reptile connu sous le nom de gecko pourrait s’avérer être maître de votre destin… Ce petit animal serait associé aux esprits. Selon la légende, s’il émet un petit gazouillement au moment où vous devez prendre une décision importante, alors celui-ci l’approuve. Si le bruit est plus fort, cela pourrait bien être signe de mauvais présage. Certains Sri-Lankais vous conseilleraient donc de changer d’avis ! Mais ce n’est pas tout… Si le cri vient de derrière, alors cela signifie que les problèmes à venir sont liés à une personne qui vous jalouse. S’il vient de gauche, cela présage de la chance et de la bonne fortune. Voilà une superstition des plus complexes !
2. Danemark
La présence du sel dans plusieurs textes sacrés ont donné lieu à de nombreuses croyances populaires depuis des siècles. Dans bien des pays, renverser du sel à table est un présage de malheur, tandis que jeter du sel par-dessus son épaule gauche porterait bonheur. Au Danemark, renverser du sel porterait chance s’il est sec, mais malheur s’il est humide. De quoi être un peu dérouté. En Scandinavie, il est d’ailleurs courant de se protéger des mauvais esprits et des démons en jetant une pincée de sel à des endroits clé.
3. États-Unis
On pourrait croire que seuls les enfants croient aux sorcières, mais pendant bien longtemps, elles ont effrayé les peuples. Aux États-Unis par exemple, cette croyance est évidente encore aujourd’hui avec des fenêtres à la forme toute particulière sur certaines maisons situées dans l’État du Vermont. Baptisées les “witch windows” (comprenez fenêtres de sorcière), elles sont inclinées de façon à empêcher les sorcières de rentrer dans les maisons avec leurs balais.
4. Maroc
Au Maroc, de nombreuses superstitions sont liées au Diable et à la religion. Le fait de bâiller en mettant sa main devant la bouche est bien plus que l’expression d’une bonne éducation et de politesse. Lorsque l’on bâille, la main gauche doit être placée le dos contre la bouche, la paume tournée en avant, car c’est une manière de repousser le mauvais œil ou le Diable qui pourrait cracher dans la bouche de la personne qui bâille. Le geste doit également être accompagné d’une formule arabe : « astaghfar allah ! » (je demande pardon à Dieu).
5. Finlande
Envie de profiter du beau temps lors de votre séjour en Finlande ? Alors mieux vaut ne pas tuer d’araignées. Selon la croyance locale, il pourrait bien pleuvoir le lendemain ! En effet, cet animal redouté de la plupart des êtres humains pourrait vous gâcher votre journée de vacances si vous décidez de l’écraser…
6. Inde
En Inde, plusieurs méthodes permettent d’éloigner le mauvais œil (mauvais karma) et la malchance. Dans certaines régions du pays, des habitants ont pour superstition de devoir jeter du piment rouge et du sel à l’entrée des foyers. Après cela, les personnes vivant sous ce même toit ne peuvent en sortir que le lendemain. Si vous voyagez en Inde, vous aurez aussi l’occasion de voir de grosses citrouilles blanches éclatées devant des maisons ou des boutiques pour protéger l’habitat ou les affaires contre le mauvais œil des gens.
7. Chine
En Chine, le chiffre 4 se prononce presque comme le mot « mort » et porte donc malheur… Il est tellement redouté que certains immeubles passent directement du 3e au 5e étage. Il est donc courant de voir affichés des prix comme « 39 + 1 yuans » pour éviter à tout prix d’écrire le chiffre 4. Mais ce n’est pas la seule superstition… Cette fois-ci, un peu plus gaie. Le chiffre 8 est au contraire synonyme de chance et de bonheur. Cette croyance est aussi liée à sa prononciation. Le 8 se rapprocherait du terme “fortune” en chinois.
8. Japon
Les baguettes sont tout un symbole dans certains pays asiatiques comme le Japon, mais saviez-vous que de nombreuses superstitions existent à leur sujet ? Si vous vous rendez au pays du Soleil Levant, ne plantez jamais vos baguettes dans le riz, car cela évoque une personne décédée. En effet, le bol de riz est associé aux bols d’encens utilisés lors des cérémonies funéraires. De plus, croiser ou casser ses baguettes est signe de malchance et avoir deux baguettes de taille différente présage que vous raterez un transport. Renseignez-vous bien sur la façon de tenir vos baguettes avant de vous rendre au Japon, donc !
9. Espagne
Contrairement aux Français qui redoutent le vendredi 13, pour les Espagnols c’est le mardi 13 qui est un jour de malchance pour les voyages ou les mariages. Cette croyance remonterait à Marte, nom du dieu de la guerre en espagnol. En effet, mardi se dit “martes” en castillan. Mais cette superstition remonterait aussi à l’épisode biblique de la Tour de Babel : le châtiment divin provoquant la confusion des langues serait apparemment tombé un mardi 13…
10. France
La France aussi a son lot de superstitions populaires très répandues, comme le fait de trinquer dans les yeux. Trinquer est un acte d’engagement et de confiance dont la tradition remonte au Moyen-Age. À cette époque, trinquer consistait à échanger un peu de son breuvage avec une autre personne qui faisait de même. Si quelqu’un souhaitait vous empoisonner, cette personne devait alors baisser les yeux sur son verre pour vérifier si du poison n’était pas tombé dans son verre. Trinquer était ainsi un moyen de dissuader quiconque de vous empoisonner !
11. Italie
En Italie, c’est le nombre 17 qui porte malheur et non le nombre 13, bien que la superstition du nombre 13 vienne de la Bible et du dernier repas de Jésus qui comptait 13 participants (d’où la coutume de ne pas avoir 13 invités à table, ou de ne pas avoir de chambre 13 dans les hôtels). Mais alors d’où vient cette superstition sur le nombre 17 ? L’explication vient de son écriture en chiffres romains : XVII. Il s’agit de l’anagramme de VIXI qui signifie en latin « j’ai vécu », et donc par extension « je suis mort ». Vous ne vous retrouverez donc pas à 17 convives lors d’un diner en Italie, ni n’aurez de chambre 17 dans un hôtel, ou de place numéro 17 sur un vol de la compagnie aérienne Alitalia ! Surprenant…
12. Côte d’Ivoire
Alors qu’en France, on dit que l’on a « les oreilles qui sifflent » quand quelqu’un parle mal de nous, si vous avez le hoquet en Côte d’Ivoire, c’est que vous êtes probablement la cible de commérages. En revanche, si la paume de main vous démange, cela est plutôt bon signe : une somme d’argent inattendue pourrait bien venir dans votre direction !
13. Brésil
Bien que le carnaval de Rio soit réputé pour ses costumes extravagants colorés, les Brésiliens ont pour coutume de porter des vêtements blancs, en particulier pour célébrer la nouvelle année, car le blanc est symbole de bonheur et de succès au Brésil. L’équipe de foot nationale a ainsi longtemps joué en blanc jusqu’à la date fatidique de 1950 où elle s’est inclinée face à l’Uruguay. À compter de cette date, le blanc est associé à la défaite dans l’univers du football brésilien et le maillot blanc a été remplacé par celui aux couleurs du drapeau brésilien que nous connaissons aujourd’hui.
Exposition : Abyssinie-Tigré-Erythrée-Somalie…
Portraits, au coeur des guerres… 1868-1941
Du mardi 7 février au dimanche 18 mars 2023
Suite aux croisades puis à l’arrivée des missionnaires jésuites portugais au XVI ème siècle, l’ouverture du canal de Suez en 1869 permit un accès facile aux dernières colonisations. Turcs ottomans, Egyptiens, Anglais, Français occupent des territoires côtiers de la mer Rouge. Les Italiens s’invitent les derniers et occupent la Somalie, les côtes sud de l’Erythrée et tentent à deux reprises de s’emparer de l’Abyssinie. L’entreprise qui dura 5 ans se solda en 1941 par la défaite des troupes fascistes mussoliniennes.
Plus de 500 photographies originales, clichés albuminés et argentiques, plaques « magiques » peintes à la main des années 1860, stéréo, albums de l’Afrique Orientale Italienne, cartes et documents, objets de curiosité, etc…
Un hommage aux populations qui, malgré les conflits, maintiennent leur vie quotidienne.
Trois ouvrages inédits de José-Marie Bel, « Sites et Lieux retrouvés », « Scènes de vie retrouvées », « Portraits retrouvés », éditions SEPIA.
Ouvert du mardi au dimanche de 14h30 à 18h30.
Entrée PAF : 6 euros. Réductions : 5 e. (Tarif réduit Pass’Culture : 5 euros).
Librairie et boutique associative : entrée libre aux horaires indiqués.
Visite et Conférences sur réservation : Contact, réservation 01 43 57 97 92 ou .
Espace Reine de Saba
30 rue Pradier – 75019 Paris. M° Pyrénées, Buttes-Chaumont, Bus 26, 71, 75.
Comment conserver ses souvenirs de voyage sur un album photo
Écrit par DIDIER JEHANNOLes voyages sont des moments uniques que l'on voudrait garder en mémoire pour toute la vie. Même si tous les voyages ont une fin, il reste un moyen de prolonger leur saveur et leur souvenir dans le temps. Avec les tirages photo de chez Photoweb, une part de vous restera toujours sur la route.
La photographie est le meilleur moyen de garder ses voyages en mémoire
Ce n'est pas un hasard si la plupart des grands voyageurs sont aussi d'excellents photographes. Le voyage et la photographie ont pour points communs de requérir un sens de l'observation aiguisé, une réelle capacité d'introspection et une ouverture d'esprit de tous les instants. Mais surtout, les photographies ont le pouvoir de ranimer le souvenir d'un voyage, même des années après la fin de celui-ci. Pour immortaliser un voyage, prendre des photos régulièrement apparaît donc comme un geste essentiel. Une fois de retour chez vous, vous pourrez alors les faire développer sur un site comme photoweb.fr sous la forme d'un album photo ou, pourquoi pas, d’une toile personnalisée.
Le voyage, une expérience hors du temps dont on voudrait se souvenir pour la vie
Ce n'est pas tous les jours que l'on a l'occasion de partir faire un voyage. Que ce soit en France ou à l'étranger, en Europe ou en Asie, en Afrique ou en Amérique, dans une mégalopole ou en pleine nature, à la montagne ou au bord de l'océan, les voyages ont tous en commun de nous changer profondément. En voyage, même les mauvaises expériences finissent par devenir des leçons de vie qui nous aident à grandir. Nous sommes nombreux à rêver de pouvoir voyager sans limite, pour toute la vie. Mais ce qui fait la force des voyages, c'est sans doute aussi leur rareté, leur côté éphémère. Alors, au bout du chemin, il ne nous reste plus qu'une ribambelle de souvenirs dont il faut prendre soin.
Trouvez le meilleur support pour mettre en valeur vos photos de voyage
Trouver une support adapté pour conserver et admirer ses photos de voyage est loin d'être une mince affaire. En effet, une grande majorité des photos passent l'entièreté de leur existence au fond d'un sous-dossier d'ordinateur, d'un disque dur externe ou d'une carte mémoire sans jamais être regardées. Prendre des centaines voire des milliers de photos au cours d'un voyage pour ne quasiment jamais les regarder peut être considéré à juste titre comme une perte de temps. Il convient donc de trouver un support optimal qui permette de protéger vos photos et de pouvoir les ressortir de temps en temps afin de s'y replonger dans les meilleures conditions possibles, entre tendresse et nostalgie.
L'album photo personnalisé, un bel objet à parcourir seul ou à plusieurs
L'album photo personnalisé tel qu'on le trouve sur le site Photoweb constitue une formidable manière d'archiver, de classer, de protéger et de visionner ses photos de voyage. Vos parents ou grands-parents avaient certainement des albums photos pleins les armoires, et aimaient les ressortir une fois de temps en temps pour revivre la douceur du passé. Développer ses photos sous la forme d'un album personnalisé est donc à la fois un hommage à ces beaux rituels familiaux, à ces moments de partage hors du temps, mais aussi une manière concrète et très pratique de ranger ses photos. En outre, il est désormais facile de concevoir son album personnalisé en ligne et de le recevoir quelques jours plus tard une fois imprimé.
Les tirages photo sur toile, un souvenir exposé comme une œuvre d'art
Pour ceux qui n'ont pas particulièrement la nostalgie des albums photos et qui ont un goût prononcé pour la déco intérieure, alors il est possible de développer ses photos de voyage sous la forme d'une toile. La toile est une matière noble sur laquelle il est facile d'imprimer de beaux clichés colorés. Cette matière restitue couleurs et lumières en restant fidèle à leur éclat. Si une photo de voyage vous a particulièrement marqué, qu'elle vous plaît et incarne l'essence de votre goût pour la liberté, alors vous pouvez la faire imprimer sur une toile personnalisée et l'accrocher dans une pièce de chez vous comme s'il s'agissait d'un authentique tableau de maître.
Offrez à vos proches un cadeau personnalisé de chez Photoweb
Faire développer ses photos de voyage sur un support physique comme un album ou une toile vous permettra de maintenir vif le souvenir de vos aventures. Mais si vous voulez offrir un cadeau unique et inoubliable à un ami ou un membre de votre famille, faire imprimer une photo de voyage via Photoweb peut constituer une excellente solution. Si vous avez partagé un voyage avec une personne qui vous est chère, qu'il s'agisse d'un petit week-end entre amis ou d'un véritable périple autour du monde, vous pourrez la surprendre avec ce cadeau. En plus d'immortaliser votre voyage, vous immortaliserez aussi le lien privilégié qui vous unit.
Avec Photoweb, gardez vivants vos souvenirs de voyage
Photoweb est un site internet précurseur en matière d'impression et de développement de photos personnalisées en ligne. Si vous avez envie de chérir vos souvenirs de voyage, il n'y a pas de meilleur moyen que de les immortaliser dans un livre de photo ou sur une toile prévue à cet effet.
Assemblée Générale de l'association
L'assemblée générale de l'association est un moment important : nous comptons sur votre participation soit sur place à Paris soit en visioconférence (lien zoom envoyé 48 h avant le jour J). Pensez à vous inscrire ci-dessous.
Adresse : Notre Dame du Rosaire 194 rue Raymond Losserand 75014 Paris (entrée : 3 cité Blanche)
Ordre du jour :
Rapport moral 2021/22
Rapport financier 2021/22
Projets 2023
Questions diverses
Elections des membres du CA
Dégustation de la galette des rois
Je m'inscris
À 27 ans, le Breton Pierre- Antoine Guillotel a achevé un périple de 3055 km aux quatre coins de l’Islande. Seul, en autonomie complète, durant 144 jours, il a marché.
Parti de la réserve d’Hornstrandir au nord-ouest de l’île, il a atteint Akureyri, capitale du Nord fin janvier 2021.
L’Islande est un vieux rêve : une denrée rare aux confins de l’esprit. Un écrin géographique caressé par le 66e parallèle. Regardez-la ! Cette île aux portes du Nord. Du Grand Nord. Celui qui met en branle la pensée en refroidissant vos extrémités. Celui dont le climat et la beauté gèlent ensemble. Qui fait du poêle à bois un refuge de luxe. À peine mon regard effleure-t ’il l’Islande sur la carte qu’irrésistiblement il s’y arrête. Et c’est de cette île que naquit ma première expédition en solitaire : 3000 kilomètres à cheval sur trois saisons, étalée sur 144 jours.
Je rêvais d’une aventure silencieuse et froide au cœur d’un bout du monde.
Battre la mesure de l’espace sur un temps long, voilà ce que je désirais. L’intensité. Faire l’éloge de la bipédie, trop souvent reléguée de nos jours à la dimension du dernier recours.
J’aspirais à ralentir le mouvement du corps pour intensifier celui de l’esprit. Bouleverser de mes pensées. Elles m’assaillent les entrailles, me martèlent le crâne et me coupent la faim. Présentes et indéboulonnables. Seul le départ peut les mettre en pièces. Quelques heures avant le grand saut, j’ère sobrement sur les trottoirs d’Ísafjörður comme un ivrogne diurne, sans cap ni bouteille. L’air frais ne congèle pas les doutes. J’angoisse car c’est un second départ.
Six semaines auparavant, je chutais lourdement sur un sommet du nord de l’Islande et me faisais héliporter, sept heures plus tard, vers l’hôpital de Reykjavik. Six semaines : durée acceptable et nécessaire pour qu’une épaule luxée retrouve du service. De retour en Bretagne, le sentiment d’échec entre les dents, je me pliais alors péniblement aux règles du corps et à celles du corps médical. Une convalescence laborieuse qui fait glisser mon itinéraire initial. En effet, l’hiver approche.
La météo se durcit, les rivières glaciaires se figent et les impétueuses tempêtes automnales s’évadent du Groenland pour fondre sur les côtes islandaises. J’adapte ma trace et projette de nouveaux pointillés.
Extrait du magazine Globe-Trotters n°205
Visiter l’Iran à vélo, qui plus est en juillet, pourrait s’apparenter à un défi physique. Karine s’y est essayée, pour vivre ce pays au rythme de ses rencontres, de nombreuses découvertes et de cette culture si riche et généreuse.
Quelle chaleur !” Heureusement, entre Chiraz et Téhéran, la route propose de nombreuses escales pour admirer les vestiges de dynasties disparues. Les jardins délicats de Chiraz accueillent ses admirateurs sur des bancs de bois qui invitent à la méditation, au milieu d’arbres et fleurs qui poussent en harmonie.
Parées de tapis centenaires, les grandes mosquées font de même, dans un silence interrompu seulement par des voix lointaines appelant à une prière plus formelle.
En Iran, la confection des tapis est toujours un art nécessitant une grande patience.
Les nomades y représentent leur monde, leur maison, leur troupeau, leurs chameaux, leur désert, leurs croyances. Les noeuds sont assemblés un à un avec la laine de leurs moutons ou de la soie achetée à prix d’or. Sur les tapis faits à la machine, on retrouve des formes et des motifs plus abstraits qui visent l’émerveillement de l’hôte. Soudain la matière et les couleurs font jaillir des arabesques, des courbes et des reflets qui hypnotisent le regard.
Ces mètres carrés de douceurs servent de table, de matelas, d’aire de jeux, de bureau, de lieu de confidences ou de palabres à l’ombre de murs épais. À l’origine, quand Persépolis était la capitale de l’Empire perse, bien avant Jésus-Christ, ces merveilles de tissus, de bois ou de pierre taillées étaient destinés à impressionner des civilisations voisines ou plus lointaines.
Extrait du magazine Globe-Trotters 206 de novembre/décembre 2022
Comment immortaliser vos souvenirs de voyage ?
Écrit par DIDIER JEHANNOQue vous voyagiez seul, en famille ou avec des amis, vous créez toujours des souvenirs inestimables. Il est donc normal que vous cherchiez à immortaliser ces moments précieux.
En effet, il est si facile de les perdre si vous ne prenez pas à l'avance les bonnes dispositions. Voici quelques solutions pratiques pour conserver vos souvenirs de voyage.
Trier, retoucher et développer les photos
Grâce à la technologie du numérique, vous pouvez aujourd'hui prendre autant de photos que vous le souhaitez pendant vos voyages.
Pour ne pas les perdre par accident ou par inadvertance, il est indiqué de vider votre carte mémoire dès votre retour et de sauvegarder immédiatement les clichés dans le cloud.
Au préalable, prenez soin de les classer et d'effectuer les retouches nécessaires. Puis, sélectionnez-en quelques-uns pour faire du développement photo. Une fois les photos imprimées, vous créez un album personnalisé.
Vous pouvez aussi les mettre dans des cadres décoratifs et les accrocher aux murs de la maison. Vous trouverez sur le web de nombreux tutoriels qui vous aideront à réaliser de belles décorations murales avec vos photos.
Créer des souvenirs vivants grâce au format vidéo
Les photos permettent de capturer un moment précis pour vous en souvenir à jamais. En revanche, ce format a pour inconvénient d'être figé au contraire de la vidéo.
Pour donner vie à vos souvenirs de voyage tout en les immortalisant, elle représente donc une excellente alternative.
Avec une vidéo, vous avez ainsi la possibilité de raconter une véritable histoire. Ensuite, vous agrémentez les images mouvantes de récits et de musiques selon vos préférences et vos envies.
Mieux encore, vous pouvez laisser libre cours à votre créativité pour exprimer votre personnalité. Vous obtenez des souvenirs personnalisés. Il existe de nombreuses applications à l'instar de InShot ou encore iMovie qui vous permettent de réaliser un montage vidéo avec votre smartphone.
Opter pour l'écriture pour des souvenirs poétiques
Écrire est une activité divertissante et stimulante à la fois. Pour immortaliser vos voyages avec des souvenirs personnalisés, racontez-les avec vos propres mots.
Pour ce faire, vous n'avez qu'à créer votre carnet de voyage. Vous avez toute la liberté de choisir la mise en page et l'ambiance en fonction de votre personnalité.
La création d'un blog constitue une excellente alternative. Beaucoup moins intime que le carnet de voyage, il vous permet en revanche de partager vos souvenirs.
Par ailleurs, vous pouvez en profiter pour émettre des suggestions de destination, donner des conseils pour la préparation d'un voyage, etc.
Faire des souvenirs de voyage une partie intégrante du quotidien
Si vous souhaitez immortaliser à jamais ces instants inoubliables, vous pouvez faire en sorte qu’ils fassent partie de votre quotidien. Vous avez différentes manières de les avoir sous vos yeux quotidiennement.
Comme vous utilisez chaque jour votre smartphone ou encore votre ordinateur, pourquoi ne pas mettre vos photos de souvenirs en fond d’écran. Pour cela, personnalisez votre fond d'écran afin qu’il change automatiquement durant votre journée.
En créant un diaporama défilant avec vos plus beaux clichés, vous n’aurez pas toujours le même fond, vos souvenirs de voyage défileront toujours sous vos yeux et deviendront inoubliables. Vous pouvez en faire pareil avec votre écran de veille.
Si vous avez apporté des objets de souvenir durant votre voyage, vous pouvez vous en servir pour fabriquer des porte-clés.
Vous pouvez par la suite imprimer des images miniatures à partir de vos photos de voyage et les accrocher à vos porte-clés. Ainsi, vous obtiendrez des petits souvenirs que vous pouvez emporter avec vous au quotidien.
Ramener des objets de souvenir de voyage
Les objets aident facilement à se souvenir de l’endroit où l’on a acheté ou recueilli. Dès que vous les voyez dans votre maison, vous rappelez des moments heureux passés avec vos familles ou amis pendant vos vacances. Cependant, on vous conseille de ramener des objets facilement transportables dans vos bagages.
Vous pouvez choisir des thèmes décoratifs, une petite statue en bois ou autre chose qui va vous inciter à y revenir.
Lorsque vous achetez vos reliques, vous devez choisir des objets moins fragiles, faciles à transporter et surtout que vous pouvez garder tout au long de votre vie.
Vous pouvez néanmoins les mettre dans un coffret à souvenir afin de bien les garder. Ainsi, vos souvenirs ne risqueront pas de pourrir ou de se perdre et seront immortalisés.
Vous pouvez acheter une boîte prête à l’emploi ou fabriquer vous-même votre coffret à souvenir.
N’oubliez pas que vous pouvez mettre dans cette boîte tout ce qui rappelle vos voyages ; petit flacon de sable d'une plage paradisiaque que vous avez visitée, les billets de vos activités ou encore la carte de visite de votre hôtel et vos photos préférées de paysages.
En dépit de tout cela, il n’y a rien de mieux que de profiter de l’instant présent ; prenez plaisir à votre voyage et faites ce qui vous semble merveilleux, tentez des expériences uniques. Ainsi, le souvenir de votre voyage sera éternellement tout frais dans votre mémoire.
Le nouveau numéro du magazine Globe-Trotters de janvier/février 2023 vient de sortir
La route a souvent inspiré les artistes, de Tonton David “Chacun sa route, chacun son chemin, chacun son rêve, chacun son destin” à Téléphone “Je suis sur la route, je suis en déroute, et j’en ai rien à foutre” en passant par Jack Kerouac et ses clochards célestes.
Pour tout voyageur — ces paroles et ces écrits le confirment — la route et la façon dont il va la parcourir est un choix individuel, loin de ses habitudes, de sa zone de confort et proche de l’aventure avec son lot d’inconnu. Un choix qui va influencer le contenu du périple, qui va devenir le voyage en lui-même. Et qui dit route ne dit pas forcément bitume ou macadam !
Dans ce numéro, nous vous emmenons en kayak du Bade Wurtemberg à la mer Noire, à vélo à la rencontre de tailleurs de pierre et sur les routes de Turquie, en 4X4 au Tadjikistan, en Inde du Sud ou, plus extraordinaire, en courant autour du monde pendant plus de deux ans. Sur ces routes, l’air, l’eau, le vent, la terre, le feu (du soleil), le froid ont leur importance. Le moyen de transport que nous choisissons pour prendre la route nous en protège ou nous expose, et va conditionner les rencontres de même que le regard porté sur les choses, les gens, les paysages. Sur les galères aussi. La route modélise le destin du voyageur, lui donne une âme. Comme le dit si bien Nicolas Bouvier : “C’est le voyage qui nous fait ou nous défait.”
L’année 2022 a vu de nombreuses frontières s’ouvrir à nouveau, après deux ans de restriction. D’autres sont maintenant interdites, pour cause de guerre. Souhaitons que 2023 soit l’année de la liberté retrouvée de voyager et la fin des conflits en cours.
Excellente année de la part de toute l’équipe !
Philippe Masse (76)
Téléchargez le magazine (réservé aux adhérents)
Je m'abonne pour un an
Plus...
Festival des Globe-Trotters à Morlaix (29)
Le samedi 4 février 2023, le festival des Globe-Trotters ouvrira ses portes au Parc des Expositions à Morlaix, pour une édition placée sous le signe du rêve, de l’évasion,
de l’aventure et surtout, de la rencontre entre voyageurs !
Créé et organisé par l’Association Aventure du Bout du Monde- 1er club français des voyageurs- le Festival des Globe Trotters est désormais devenu le rendez-vous incontournable de tous les voyageurs désireux de partager ou préparer leurs plus belles escapades aux quatre coins du monde.
¨Parmi les réalisations diffusées :
Yanomani les voix de la forêt : Pendant quatre ans, le réalisateur est parti avec son équipe à la rencontre de ce peuple indigène vivant en symbiose avec la nature. À travers leurs témoignages, les chamans et les chefs de villages partagent leur vision du monde, leur lien sensible à la nature, leurs traditions et la difficulté de les maintenir aujourd’hui..
Alexandre Poussin, une aventure extraordinaire autour de l'île de Madagascar, avec pour seul moyen de transport une charrette à zébus. Une expédition de 4 ans et 4 983 km parcourus, racontée dans une série documentaire "Mada Trek" disponible en DVD. Et un livre éponyme à l’écriture.
La famille Trastour a voyagé autour du monde durant 13 années avec leur véhicule,
Marc Alaux présente son voyage en Mongolie, à pied pendant 3 mois,
Colette Cochelin et Philippe Plumejeau, sont partis à vélo en Amérique du sud,
Cathy et Clément Lievre, qui ont parcouru le Rajasthan (Inde) en indépendant et d’autres invités sont attendus . Pour faire le tour du monde en un jour !
Lieu : Amphithéâtre Parc des expositions de Langolvas à Morlaix
Date : samedi 4 février 2023 de 11h à 22h.
Tarif module 1 (valable de 11h à 16 h) : 6 € adhérent 8 € non adhérent
Tarif module 2 (valable de 17h à 22 h) : 6 € adhérent 8 € non adhérent
Tarif journée (valable de 11 h à 22h) : 10 € adhérent 14 € non adhérent
Enfant moins de 12 ans : gratuit
Bar et petite restauration sur place.
Site du festival et réservation : http://morlaix.abm.fr/
Rallye Découverte du XIIe arrondissement à Paris
Samedi 2 Décembre 2022
Sur l'invitation au rallye inédit organisé par Huguette, Claire et Joel , nous étions 15 participants à braver une petite brise humide et frisquette ..
Boucle depuis Bastille , quartier des ébénistes et ses innombrables impasses , jardins et cours privatives
Splendide , appétissant et luxueux Marché d'Aligre..
Coulée verte bordant le bassin de l'Arsenal ,ville flottante et animée au cœur de Paris..
Les quatre équipes vaillantes et combatives n'ont toutefois pas hésité à faire une petite pause roborative et réchauffante à mi parcours..
Une fois de plus ambiance joyeuse et extrêmement sympathique
Rallye enrichissant à tous points de vue
Amitié, Culture et découvertes
Clôture et dépouillement des questionnaire au "Régent Bastille "
Un grand merci et bravo aux organisateurs !!
< Catherine DERVIN
Mission pour la sauvegarde des tortues au Costa Rica
Il est 01h00 du matin, je suis en tenue de « combat » pour partir patrouiller sur la Playa Tres, au nord du petit village de Parismina sur la côte caraïbes du Costa Rica, à la limite du parc national de Tortuguero. Cette patrouille de nuit a pour but la protection des tortues marines durant la période de ponte : principalement pour éviter le braconnage (encore très répandu sur ces plages immenses), mais aussi pour recenser les tortues et les nids à des fins d’études scientifiques.
Durant notre tour du monde en famille, nous avons envie de prendre du temps pour faire un ou plusieurs volontariats. Nous adorons les tortues et quelle plus belle expérience que de donner un peu de notre temps à une petite association* qui œuvre pour leur sauvegarde!
Ces patrouilles sont assez éprouvantes car elles ont lieu en pleine nuit – 2 shifts de 4 heures entre 21h00 et 05h00 du matin – sur une plage difficile d’accès, à la seule lueur de la lune, ou de nos lampes frontales de lumière rouge surtout lorsque l’on aperçoit la silhouette d’une tortue. La lumière rouge est en effet moins dérangeante pour les tortues qui pourraient être aveuglées par la lumière blanche et faire demi-tour. Par équipe de 2, nous marchons de 6 à 12 km à la recherche de traces ou de tortues sorties de l’eau pour pondre.
Une fois une tortue repérée en train de préparer son nid, le travail consiste selon le cas à : compter les œufs pendant la ponte (en général une centaine d’œufs), trianguler la position exacte du nid avec les coordonnées GPS, marquer la tortue avec une bague si elle n’en a pas encore, la mesurer et effectuer un contrôle général de la tortue avant qu’elle ne retourne à la mer.
Il est parfois nécessaire de repositionner certains nids s’ils sont trop proches de la ligne de marée ou dans une zone de braconnage. Dans ce cas débute un travail délicat de recherche du nid, de collecte des œufs et de leur déplacement dans un endroit plus propice, en prenant bien soin de le répertorier et de le camoufler également.
Marcher au son des bruits des vagues, sous un ciel étoilé, sentir l’adrénaline quand une tortue est repérée et une grande responsabilité lorsque l’on doit compter ses œufs ou lui fixer sa bague, quel sentiment incroyable !
Succédant directement aux deux patrouilles, vers 0500 du matin démarre le recensement des nids de la nuit et des « fausses traces » (comprenez par là, des tortues qui sont venues sur la plage mais qui n’ont pas pondu). Cette sortie est encore plus fatigante car elle nécessite de parcourir toute la plage, plus de 10 km aller-retour, et se termine en général sous une chaleur étouffante. Heureusement, la nature nous offre, de ci de là, une eau de coco revigorante.
Nous alternons les patrouilles afin qu’un de nous deux reste avec notre fille qui dort paisiblement… Nous dormons chez l’habitant : une famille costaricienne modeste et adorable, et dont le deuxième enfant est devenu un grand copain de Daphné. Ils jouent ensemble la semaine entière, c’est également une belle expérience culturelle pour elle.
En fin de semaine, nous assistons avec Daphné à l’éclosion d’un nid de tortues vertes : une autre association de la région, qui possède un vivier de nids (repositionnés pour leur sauvegarde), nous invite à voir la mise l’eau des bébés tortues lorsqu’ils sont prêts à parcourir les océans ! Une magnifique expérience que de voir ces petites tortues se hâtant pour parcourir les quelques mètres qui les séparent de la mer. Malheureusement malgré l’action journalière de ces volontaires, une fois en mer, seul 1 bébé sur 1000 parviendra à l’âge adulte… Et les femelles reviendront 30 ans plus tard sur cette même plage pour pondre à leur tour. Un cycle de la vie incroyable et qu’il nous est donné de protéger coûte que coûte !
Nous avons une grande admiration pour ces personnes qui dédient leur vie à ces belles actions et partagent leur passion. Nous espérons en rencontrer encore beaucoup sur notre chemin autour du monde, notre mini.globecroqueuse est prête pour de nouvelles aventures !
*Turtle Love au Costa Rica a pour missions principales : la protection de la ponte des tortues via les patrouilles de nuit, leur recensement à des fins scientifiques et statistiques, la sensibilisation à la conservation et à l’environnement auprès des communautés locales, et certains projets scientifiques de recherche sur les tortues marines.
@mini.globecroqueuse
Bourse jeunes voyageurs 2023 ABM Nantes / Musée Jules Verne
L’association ABM Nantes existe depuis l’année 2000 et compte environ 120 adhérents - voyageurs répartis sur la Loire-Atlantique. ABM Nantes dispose d’un site internet nantes.abm.fr et d’une page
Facebook.
Le voyageur ABMiste est indépendant. Il voyage dans le respect des pays visités. Il aime échanger et partager ses expériences et ses infos avec d’autres voyageurs.
La thématique du voyage est centrale dans l’œuvre de Jules Verne, dont le titre générique est : « Voyages extraordinaires dans les mondes connus et inconnus ». Jusqu'à aujourd'hui l’œuvre de
Jules Verne est porteuse de l'esprit de découverte, de rencontre et de partage qui animent les voyageurs. En raison de cette communauté d'intérêt, le Musée Jules Verne a souhaité s'associer à la
bourse Jeunes Voyageurs créée par l'association ABM.
ABM Nantes, en association avec le Musée Jules Verne, attribue une bourse de voyage pour aider un jeune à réaliser un voyage original sur un sujet de son choix et dans le(s) pays de son choix, pour une durée minimale d’un mois, en partageant les valeurs de l’association : « Voyager dans le désir de rencontres et d’échanges en intelligence avec les populations locales dans la compréhension et le respect des peuples ».
https://nantes.abm.fr/bourse-jeunes-voyageurs-abm44-musse-jules-verne/bourse-jeunes-voyageurs-abm44-musee-jules-verne-2023