Le combat des reines
Au coeur du canton du Valais dans le sud de la Suisse, un concours se prépare. Elles s’appellent Julie, Katarina, Tina, Rubis et encore Grenade et aujourd’hui elles sont toutes rivales pour conquérir le titre de “reine des reines”.
Et vlam attrape-toi cela entre les cornes” pense Julie, car Julie veut gagner : dans moins d’un mois, c’est la grande finale à Sion et elle veut remporter le titre ! Car être sacrée “reine des reines” c’est la célébrité assurée ainsi que celle de la ferme où elle a vu le jour. Il faut donc s’entraîner dans ces concours régionaux et continuer à apprendre à esquiver les coups malhonnêtes des autres concurrentes. La race d’Hérens est réputée pour sa combativité et Julie veut s’en montrer digne héritière et faire honneur à son propriétaire. Alors elle prend son élan et vlam, un autre coup porté. Katarina est presque ko mais elle aussi lutte pour son honneur et ne veut pas trembler devant cette jeunette, alors elle attend, soupèse les diverses hypothèses qui se présentent à elle, regarde du coin de l’oeil les jurés et son propriétaire car il ne faudrait pas non plus finir en beefsteak… Katarina se recroqueville, fixe bien droit le front de Julie… s’élance et de toutes ses forces cogne et cogne à nouveau et encore, et voilà que son museau frémit en entendant son numéro associé à son nom : elle est victorieuse de ce combat.
Julie est toute étourdie, elle n’en revient pas, elle doit sortir de l’arène. Le combat est fini pour elle, elle va rentrer à son étable malheureuse, soumise et épuisée car encore une fois, malgré toute son énergie et ses entraînements dans les pâturages dont elle revenait toujours la victoire au bout des cornes, elle n’a pas réussi. Pourtant dans l’arène où l’attendaient ses 11 autres copines de combat, elle était entrée la tête haute, sûre de sa force en faisant bien fort tinter sa cloche ; c’est son haka à elle !
Équilibre à construire
On a bien compris, il ne s’agit pas du concours Miss Monde, mais bien de bovidés, de ces magnifiques spécimens noirs de la race d’Hérens, typique du canton du Valais. Trapues et musclées, dotées de cornes courtes et robustes, elles possèdent cet instinct inné qui les poussent à affronter leurs rivales au “corne à corne” comme les buffles dans des contrées lointaines.Une fois les vallées débarrassées des dernières neiges, la fièvre des combats des reines reprend ses droits. Ces concours régionaux, quasi rituels, incontournables et très anciens ont donc lieu au printemps avant la montée à l’alpage
quand les vaches de diverses fermes s’apprêtent à constituer un nouveau troupeau. Un nouveau troupeau signifie un nouvel équilibre à construire, et l’instinct de ces dames leur souffle qu’elles doivent tenter le tout pour le tout pour devenir la plus digne de conduire ses congénères là-haut dans les montagnes.
< Extrait du magazine Globe-Trotters mai/juin 2022.
Nos conseils pour passer de bonnes vacances avec un petit budget
Il est sûr que pour pouvoir s’offrir les vacances de ses rêves, il vous faut un budget conséquent. Cependant, vous pouvez passer de bonnes vacances sans dépenser une somme pharaonique.
Il suffit de définir une limite et d’appliquer certains conseils pour que la qualité de votre voyage ne souffre à cause d’un budget réduit. Que ce soit au niveau du billet d’avion, de l’hébergement, de la nourriture ou des activités, tout peut être adapté à votre budget.
Nous allons donc vous révéler dans cet article quelques conseils pour passer de bonnes vacances avec un petit budget.
< Les moyens de transport
La première question qui se pose au moment de la préparation d’un voyage est le moyen de transport pour se rendre à l’endroit que vous avez choisi.
Ainsi, l’avion se place en tête de liste en termes de rapidité et de sécurité. Cependant, voyager par la route peut s’avérer être une solution efficace pour faire des économies.
Vous pouvez même voyager pendant la nuit pour vous épargner des frais d’hôtel.
- Les billets d’avion
Le budget que vous devez allouer à vos billets d’avion peut représenter la majeure partie de vos dépenses. Sauf qu’il existe plusieurs moyens pour que vous en obteniez sans vous ruiner.
Ainsi, vous pouvez vous servir de comparateurs de vol sur les différents sites de voyage afin de dénicher la meilleure offre pour une destination bien précise.
Toutefois, n’hésitez pas à vous rendre sur le site des compagnies aériennes de renom car elles peuvent vous surprendre avec des prix assez abordables.
D’ailleurs, vous devez vous méfier des prix trop attractifs, car ils peuvent camoufler des arnaques ou des prix encore plus élevés que les billets normaux avec l’ajout des frais de dossier, des suppléments bagages et d’autres conditions contraignantes.
il y a aussi, la stratégie marketing du Yield management qui est appliquée par plusieurs compagnies aériennes pour attirer davantage de clients. Il s’agit d’une technique qui consiste à vendre des billets avec un prix réduit sous certaines conditions.
Ce qu’on retrouve souvent sont entre autres les tranches d’âge, le nombre de voyageurs ou la possession d’une carte de fidélité.
- La voiture
La voiture reste un moyen très économique pour voyager si votre destination ne vous oblige pas à traverser l’océan. Ainsi, vous pouvez vous déplacer en car avec le minimum de dépense.
Toutefois, vous pouvez bénéficier d’un minimum de confort comme le wifi, le choix du siège ou une prise de courant.
Vous pouvez également opter pour un covoiturage. Il s’agit d’un moyen pour avoir de la compagnie tout en réduisant les frais à moitié.
Par ailleurs, il existe un autre moyen qui va vous permettre de ne pas payer du tout de frais de déplacement. Il s’agit de l’auto-stop. Sauf qu’il faut être prudent sur le choix du conducteur et passagers, pour pouvoir passer un voyage en toute sécurité.
< L’hébergement
Pour réduire le coût du budget voyage, il est primordial de bien choisir son hébergement. Ainsi, il existe différents hébergements qui peuvent être économiques, tout en répondant à vos besoins.
D’abord, vous pouvez opter pour une auberge de jeunesse. Cette dernière se situe souvent au centre-ville, ce qui va vous permettre de faire des économies du fait que vous n’aurez pas à payer des frais de déplacement pour rejoindre les sites touristiques.
En plus, vous pouvez optimiser votre journée car vous pouvez commencer au petit matin et terminer tard le soir.
Puis, il y a des auberges qui proposent de dormir dans des dortoirs et de partager des repas dans une cuisine commune. Ce qui diminue considérablement votre dépense en plus d’apporter de l’ambiance si vous voyagez en groupe.
Vous pouvez également loger chez l’habitant pour vous imprégner un peu plus de la culture du pays et payer moins que dans un hôtel.
Un autre type d’hébergement plus original va vous permettre de ne pas payer de frais d’hébergement. En choisissant le « Wwoofing », en contrepartie d’un travail de quelques heures par jour, vous pouvez avoir une chambre avec un couvert.
Par contre, le couchsurfing vous offre un hébergement gratuitement sans contrepartie.
< Le repas
Si vous avez un petit budget, évitez de manger dans des restaurants. Optez pour des auberges de jeunesse avec une cuisine pour que vous puissiez préparer vous-même votre repas avec des produits frais.
Vous pouvez aussi vous faire conseiller par des locaux sur des coins tranquilles qui ne sont pas très chers. Cela va vous permettre de goûter aux spécialités locales à des prix très abordables.
Enfin, choisir de se nourrir dans les street food est plus économique en plus d’être délicieux et copieux. Ainsi, n’hésitez pas à parcourir des adresses sur internet pour trouver un bon plan.
< Les activités
Les activités représentent les principaux points forts des vacances. Ainsi, pour qu’elles ne dépassent pas du budget, vous devez vous informer à l’avance sur les activités gratuites comme la visite d’un musée ou une randonnée dans la nature.
Et si des activités payantes vous semblent incontournables, ne vous en privez pas. Seulement, limitez les coûts en cherchant des opérateurs qui proposent des activités à prix réduits sous les conditions du Yield management que nous avons cité plus haut.
L’Afrique n’est pas souvent en tête des listes dès qu’on parle de tourisme. Pourtant, les amoureux d’immenses étendues naturelles et d’animaux de la savane comme les lions, les guépards et les rhinocéros, seront totalement séduits par des pays comme le Kenya.
Ainsi, vous pouvez découvrir une richesse naturelle exceptionnelle à travers un safari en commençant par la réserve naturelle de Masai Mara jusqu’au Parc de Tsavo en passant par le Parc d’Amboseli.
Le Kenya est également célèbre par l’effervescence de la ville de Nairobi et ses nombreuses activités. Faisons ensemble le tour des plus beaux endroits à visiter au Kenya.
La réserve naturelle de Masai Mara
En tirant son appellation du nom de la tribu qui habite sur les lieux à savoir les Masaï combiné au nom de la rivière le traversant appelée Mara, la réserve naturelle de Masai Mara fait partie des endroits les plus extraordinaires du Kenya. En effet, les cinq animaux emblématiques de l’Afrique qui sont appelés « big five » s’y trouvent.
Ainsi, vous pouvez admirer de plus près le lion, le léopard, le rhinocéros, l’éléphant et le buffle d’Afrique en faisant un safari dans une savane de 1 500 km2. A part ces animales stars, il y a également des girafes, des zèbres et des gnous qui se baladent en toute liberté dans cet immense environnement sauvage.
Lorsque la saison devient trop sèche, ces derniers migrent vers la Tanzanie et vice versa. Le plus incroyable avec la réserve naturelle de Masai Mara, est que vous pouvez y rencontrer des tribus du peuple Masaï. C’est pour cela que l’endroit a acquis le statut de réserve naturelle et non de parc national.
Le parc d’Amboseli
Il s’agit du meilleur endroit pour admirer la beauté et l’immensité du Kilimandjaro qui culmine à 5 895 m. Aussi appelé le toit de l’Afrique, l’UNESCO a classé cette réserve de biosphère parmi les patrimoines mondiales.
Comme la réserve naturelle de Masai Mara, le Parc d’Amboseli est le terrain de prédilection pour de nombreux animaux sauvages qui rôdent dans une savane immense. Parmi eux, les troupeaux d’éléphants sont les plus recherchés par les touristes pendant les safaris.
Mais la réputation du parc d’Amboseli est plutôt focalisée sur le Kilimandjaro qui se dresse comme une toile de fond avec de nombreux marécages qui hébergent plus de 400 espèces d’oiseaux. C’est pourquoi le parc est propice pour un birdwatching ( l’observation d’oiseaux).
Le parc de Tsavo
La ligne de chemin de fer de Nairobi–Mombasa traverse le parc de Tsavo et le divise en deux parties à savoir Tsavo Est et Tsavo Ouest. Tsavo diffère des deux premiers parcs par la présence de hautes herbes et de la terre rouge qui donne aux animaux des couleurs particulières.
De ce fait, les éléphants sont de couleur rougeâtre. En effet, ils utilisent la terre pour se protéger contre l’ardeur des rayons du soleil en aspergeant tout leur corps avec. Étant donné que la végétation dans ce parc est plus dense, il se peut que vous fassiez un jeu de cache-cache avec les animaux.
Cependant, il s’agit d’une activité intéressante pour les plus aventureux. D’autres parts, plusieurs plans d’eau qui s’apparentent à des oasis luxuriantes embellissent le parc de Tsavo suite à la fonte des glaces au niveau du Kilimandjaro.
Nairobi
La visite de la capitale, Nairobi est incontournable lors d’une escapade au Kenya. Avec près de 3 millions d’habitants, Nairobi se divise en deux parties bien distinctes.
Il y a donc le quartier des maisons anciennes et le quartier moderne qui est le poumon économique du pays avec de nombreuses résidences de luxe.
A part les richesses de la biodiversité qui se trouvent dans le parc national de Nairobi et le parc Uhuru, la capitale se présente sous un autre aspect par l’ambiance effervescente dans le Central Business District, il y a également la folie pour le paris sportif en ligne au Kenya.
C’est le pays africain où le plus grand nombre de personnes misent sur différents sports pendant leur temps libre. Pour finir votre journée, vous pouvez admirer les toits de la ville en montant au sommet de la tour Kenyatta International Conférence Center (kICC).
Les chutes de Thomson
Situées au Nord de la ville de Nakuru, les immenses chutes d’eau de Thomson (Thomson Falls) ont été découvertes par Joseph Thomson. Il est le premier européen ayant entrepris une marche entre le lac Victoria et Mombasa en 1880.
Par ailleurs, en traversant une forêt dense par l’intermédiaire de la rivière Ewaso Narok, les chutes Thomson alimentent la région pendant toutes les saisons de l’année.
En outre, vous avez le choix entre deux points de vue à 2 000 m d’altitude. Le premier site est facilement accessible. Tandis que l’accession au deuxième point de vue est plus difficile surtout à la saison des pluies.
Cependant, c’est le second qui offre un paysage somptueux avec les pittoresques chutes d’eau au milieu d’une nature luxuriante.
Le parc national du lac Nakuru
Niché à 1 700 m d’altitude, le parc national de la ville éponyme héberge le lac Nakuru. La présence de ce dernier a fait de ce lieu, un endroit parfait pour découvrir plusieurs centaines d’espèce d’oiseaux.
Vous pouvez également admirer les animaux qui font la renommée du Kenya. Mais par-dessus tout, il est possible d’y rencontrer le rhinocéros noir pendant un safari. Notons que ces espèces sont rares et qu’ils sont extrêmement protégés.
Même lorsque la saison est sèche, le parc détient plusieurs points d’eau qui sont alimentés par le lac Nakuru. Il s’agit d’un élément essentiel à la survie des nombreux animaux du parc.
Étant donné que le parc national du lac Nakuru se trouve en hauteur, il n’est pas très étendu par rapport aux autres parcs du Kenya. Cependant, le paysage est composé d’une végétation très variée.
En plus de cela, les animaux se déplacent en groupe. Le fait qu’ils sont plus concentrés fait qu’il est plus facile de les repérer.
Cette réserve est donc accessible à tous types de touristes même les plus jeunes.
A Kiev, la première chose que semble avoir fait les ukrainiens, c’est de rebâtir leurs églises orthodoxes, détruites autant par les allemands que par les communistes lors de leur prise de pouvoir par Staline. Après 1991, d’immenses travaux ont remis sur pied les plus belles églises orthodoxes de la ville, comme l’église St Georges, grande pyramide ocre qui affiche son dôme doré et ses arches de pierre grise. L’église Ste Sophie aux toits verts côtoie l’église St Michel aux murs bleus. Plus loin, les églises de la Trinité, et de l’Assomption, puis l’église St André. Dans un autre quartier, la cathédrale Vladimir, en hommage à Vladimir le grand, fait admirer son toit bleu tacheté d’étoiles. La ferveur religieuse ne s’est jamais éteinte malgré le joug communiste.
Ville moderne
Kiev est une ville neuve, reconstruite. Au hasard de nos déplacements, nous prenons le métro, aux galeries voûtées ornées de grands lustres ronds qui les font presque ressembler à des galeries d’art. Rien à voir avec notre métro parisien ! La station de métro « gare centrale » est ronde, soutenue par de gros piliers ronds qui lui donnent l’allure d’une arène romaine.
Depuis la révolution orange qui a bousculé le pouvoir encore en place et ouvert le jeu politique vers plus de démocratie, les élections sont libres, avec des candidats qui s’affrontent sur des programmes bien identifiés et s’exposent sur de grandes affiches. Avec Natalia, nous repérons le leader « vert », qui prêche pour la nature, l’eau, contre la pollution, comme ses collègues européens. Mais il y en a d’autres, pas toujours bien mis en valeur. Inutile de dire que les communistes n’ont plus vraiment la côte. L’ouverture du marché a vu arriver beaucoup de produits occidentaux, mais a surtout eu une influence culturelle et psychologique.
Révolution culturelle
Dans la capitale ukrainienne, les mini-jupes et hauts talons sont rois. Les petits magasins, les marchés de plein air où l’on vend de tout poussent comme des champignons. Des marques occidentales ont maintenant pignon sur rue. Le soir, dans la rue principale, fermée à la circulation automobile car nous sommes dimanche, tous les piétons déambulent dans une joyeuse ambiance, et l’on croise des chanteurs et chanteuses de rue, des skates, des rollers, des danseurs de hip hop, et quelques vélos-taxis pour transporter les passagers. Et à 21 h, la rue s’illumine tout à coup de multiples décorations qui rappellent l’époque de Noël.
Il fait une chaleur insupportable, encore 38° en début de soirée, sur la place de l’indépendance (place Maïdan). Sur un côté, quelques marches donnent accès à un véritable tapis d’eau, et les marches sont comme des mini cascades où tout le monde vient se rafraîchir.
Espoir contrarié
Sur mon carnet de voyage, j’écris à l’époque : « Bientôt, l’Ukraine fera partie de l’Europe, et pas la Biélorussie, où cet engouement, ce dynamisme vu à Kiev ne se retrouve pas, loin s’en faut ». Quatre ans plus tard, en février 2014, la place Maïdan verra une nouvelle révolution, celle de l’euromaïdan, ou encore la révolution de la dignité, car le gouvernement de l’époque refusera de signer un accord d'association avec l'Union européenne au profit d’un accord avec la Russie.
Pourtant, en 2010, l’Ukraine que nous avons sous les yeux s’est émancipée de sa tutelle passée. Sur une avenue de Kiev, une image en est le symbole : Une statue de Lénine, plantée au milieu de la chaussée est surplombée par deux magnifiques panneaux publicitaires, vantant les mérites de deux grandes marques !
Natalia, la fille de nos amis, tempère notre enthousiasme : « En Ukraine, il y a des gens très riches et des très pauvres, mais pas de classe moyenne. En Biélorussie, il y en a une, et moins d’écart entre riches et pauvres ». Elle nous confie que les biélorusses et les ukrainiens ne s’aiment pas beaucoup. Ils ont la même langue mais pas la même culture.
Oubli
Le retour en car en Biélorussie ne manque pas de saveur. Lors d’une halte, nous partons avec Natalia visiter les quartiers environnants, sachant que l’arrêt dure une demi-heure. De retour à la gare des cars, quelle n’est pas notre surprise de voir le nôtre s’en aller sans nous. Personne n’a fait le compte des voyageurs pour savoir si tout le monde était là. Nous courons derrière, faisons de grands signes, mais rien n’y fait. Nous coupons à travers à chaque virage, le car est toujours en vue mais il ne semble pas nous voir. Heureusement, un feu tricolore arrête sa course et nous donne le temps de frapper à la porte du conducteur qui nous ouvre avec un air sévère. Plus de peur que de mal, nous pouvons regagner la Biélorussie.
< Philippe Masse (76)
La route de la pierre
Deux tailleurs de pierre, deux vélos, des outils et des cailloux à tailler sur … 36 000 km. Voici l'expédition La Route de la Pierre.
Initié il y a 5 ans par Orianne Pieragnolo et Louis Dutrieux, ce projet fou ambitionne de retracer les routes de la soie, dans le but d'en extraire une étude sur leur métier qu'est la taille de pierre.
C'est donc cinq années d'aventure sur le point d'être bientôt lancer, le 10 juillet prochain.
Mais dans un objectif bien précis qu'est celui de répondre à la problématique suivante : Qu'est ce que la taille de pierre, aujourd'hui en Eurasie ?
Pour cela c'est toute une équipe en France (photographes, archiviste, chargée de communication, web développeuse...) et de nombreux préparatifs afin de mettre en place tous les outils et compétences pour récolter des données sur le terrain, les analyser en aval ainsi que restituer et partager nos connaissances acquises au retour.
A la clé de ces nombreux coups de pédales et rencontres d'artisans, ce sera donc un livre documentaire, un mémoire détaillé, des conférences, des podcasts et même un film qui serons produits, afin de montrer au grand public, autant qu'aux professionnels, une image actuelle et internationale de la taille de pierre !
L'aventure et la production des résultats seront aussi dépendantes des soutiens que l'on arrivera à réunir, alors n'hésitez pas à faire partie de l'aventure en nous soutenant sur www.laroutedelapierre.com .
Le littoral français au bord de l’Océan Atlantique est réputé pour la beauté de son paysage côtier et la diversité de ses activités proposer.
Il est vrai qu’il n’est pas très fréquenté par rapport à la Méditerranée et la côte d’Azur, mais il s’agit d’une destination parfaite pour ceux qui souhaitent découvrir une nature sauvage loin du tumulte des célèbres stations balnéaires.
Étant donné que vous avez 900 km de côtes maritime depuis la plage des Bretons à La Baule jusqu’à la frontière Espagnol, nous allons vous guider pour découvrir les endroits à ne pas manquer.
< La plage des Bretons en Loire-Atlantique
Située au Sud de la Turballe, la plage des Bretons s’étend sur près de 2 km sur le littoral de Loire-Atlantique. Si vous aimez le calme, vous apprécierez certainement un moment de détente sur une plage de sable blanc tout en admirant la splendeur du paysage.
Pour ceux qui s’intéressent aux sports nautiques, les vagues y sont propices pour faire de la voile. Même les plus jeunes peuvent entamer un cours d’initiation à ce sport avec un professionnel expérimenté de l’école de voile de l’équipe du Nautisme en Pays Blanc.
< Hossegor dans les Landes
Hossegor est une station balnéaire qui a acquis une bonne réputation au fil des années. Sa particularité réside au niveau du mélange de culture, du fait qu’elle mixe les traditions des Landes et du pays de Basque.
Parmi les activités prisées de la région, le surf se positionne à la tête de la liste. En effet, ses vagues sont connues pour être les plus impressionnantes de la côte Atlantique. A part cela, il est possible de camper à Hossegor.
Sur le site de RESASOL, vous pourrez trouver de nombreuses villes situées sur la côte Atlantique pour faire du camping.
< La plage du Golf en Vendée
Depuis que le Golf de Saint Jean de Monts est connu comme l’un des plus beaux golfs de France, il est devenu une destination phare des touristes européens.
L’une des raisons qui le rend attirant est le taux d’ensoleillement qui est le plus élevé dans le pays. A côté de cela, la côte vendéenne regorge d’attractions.
On peut aussi faire du camping dans un endroit magnifique qui a un accès direct sur la plage. Notons qu’à votre disposition, il y a une plage de 8 km de long plutôt calme pendant la journée.
Cependant, l’ambiance change dès que le soleil se couche. En effet, la plage est particulièrement animée pendant les soirées d’été.
< Biscarosse dans les Landes
Biscarosse est une célèbre station balnéaire qui se situe au sud du bassin d’Arcachon. Étant proche de la dune du Pilat, faire un détour à Biscarosse vous donne l’avantage de découvrir le bassin et la forêt des Landes depuis la plus haute dune d’Europe.
Par ailleurs, il existe plusieurs endroits où vous pouvez camper pour attendre le meilleur moment pour surfer. Entre autres, il y a le terrain de camping qui se trouve à 7 km de la plage de Biscarosse en allant un peu dans les terres. L’avantage avec ce terrain, est que vous pouvez vous y installer gratuitement.
< La Rochelle et le fort Boyard
En visitant La Rochelle, vous pouvez faire un détour au vieux port pour découvrir les deux tours emblématiques de la région. Cette ville de la Charente-Maritime a plusieurs tours dans son sac en termes de visite.
En effet, vous pouvez faire une tournée en commençant par l’aquarium de la Rochelle, puis une escapade pour découvrir le fort Boyard, en passant par une balade sous les arcades pour acheter des souvenir.
Notons que le fort Boyard est accessible en louant un bateau depuis le port de la Rochelle. Vous pouvez également explorer cette construction mythique depuis le ciel par l’intermédiaire d’un hélicoptère.
Construit au 19è siècle pour protéger le port de la Charente, l’embouchure ainsi que l’arsenal de la ville de Rochefort, le Fort Boyard est devenu célèbre après la diffusion de la série qui porte son nom en 1990.
< Biarritz
Biarritz est l’un des meilleurs endroits pour surfer en France. En combinant à la fois la qualité de la station balnéaire, la beauté de la nature sur le littoral et le farniente sur le sable blanc, cette ville peut satisfaire tous les goûts.
Étant donné que la ville propose plusieurs activités intéressantes, il faut au moins deux jours pour pouvoir s’imprégner de la culture du pays Basque et l’authenticité de la côte ouest française.
Ainsi, à part les séances de détente sur la plage et les sports nautiques, vous pourrez découvrir le côté historique de la ville en faisant un détour au phare de Biarritz niché à plus de 40 m de hauteur pour voir la ville sous un autre angle.
Il y a également le rocher de la Vierge, le port des pêcheurs ainsi que le col d’Ibardin pour les amateurs de randonnée.
Le magazine Globe-Trotters de mai/juin n° 203 vient de paraître !
S’il est un mot qui généralement n’engendre pas la mélancolie, c’est bien le mot “fête”. La fête est synonyme d’amusement, parfois de défoulement, de désinhibition car, comme le dit la chanson, “tout a changé ce matin”.
Tout est permis ou presque, le bonheur est dans la fête, quelles que soient ses origines : païennes, religieuses, laïques, mémorielles, saisonnières. Les hommes se mettent à voler, les bambous deviennent fous, et les vaches…
Dans le monde entier, nombreux sont les voyageurs qui se sont vus associés, volontairement ou non, à ces moments de liesse qui ne les concernent pas mais qui agitent tout un peuple, tout un pays, ou toute une région.
Il est alors impossible de rester extérieur aux événements, aux déferlements, aux recueillements aussi. Car la fête, jamais triste, endosse ses habits de mémoire, en souvenir de ceux qui ont fait l’histoire avant de disparaître. Elle nous surprend quand son objet est si familier que nous n’y prêtions plus attention : l’eau, le soleil, les saisons. Quand elle devient “rituel”, elle peut faire couler le sang…
La fête a sans doute été inventée pour faire oublier à l’homme les difficultés qu’il traverse, pour que, le temps d’une parenthèse cathartique, il sorte de son quotidien et se rapproche de son paradis.
Alors, faisons la fête, ensemble, mais gardons une pensée pour celles et ceux qui n’en ont plus la possibilité actuellement, les Afghans et surtout les femmes afghanes, et plus près de nous les Ukrainiens, dernières victimes d’une sale guerre qui, c’est sûr, fêteront comme il se doit la paix retrouvée le moment venu.
→ Philippe Masse (76)
Entre l’Ukraine et le Belarus, le contraste est saisissant. Le pays de nos amis est encore fermé. Loukachenko est le dernier dictateur communiste en Europe, ami de Chavez et en très grand froid avec Poutine à ce moment. Après une embellie, le pays replonge dans la crise.
Depuis quelques années, l’accord entre la Russie et la Biélorussie permettait à cette dernière l’achat de pétrole et de gaz à bas prix, ce qui facilitait son développement, mais cette entente est terminée, suite à un désaccord profond entre les deux chefs d’état. Les conséquences sur l’économie du pays sont sérieuses, sur les entreprises et sur les particuliers. Les prix vont repartir à la hausse. Pourtant, de grands changements ont eu lieu depuis notre dernier voyage, il y a 9 ans : Des magasins privés plus nombreux, des produits en quantité, l’occident présent par ses voitures, ses marques. Dans la rue, un peu plus de gaité, des vêtements plus fun, un début de minijupe. Dans la ville de nos amis, 400 000 habitants, nous découvrons un début de vie nocturne, un quartier jeune avec bars et boîtes de nuit. Et les biélorusses semblent vouloir se réapproprier leur histoire et leur culture, leur passé.
Développement de façade
On a parlé du miracle économique biélorusse. Dimitri avait créé sa petite entreprise et gagné pas mal d’argent pendant plus de 5 ans. Mais aujourd’hui, à cause du différend Poutine Loukachenko, la crise est revenue, et seule la débrouillardise de notre ami lui offre encore quelques rentrées d’argent. Il a investi, notamment dans une superbe maison avec un grand terrain, devenu jardin et potager, qu’il a retapée progressivement et qu’il continue d’améliorer (garage, sauna,…)
« En fait, sur le plan économique, rien n’a changé » nous explique-t-il. « Loukachenko s’est appuyé sur l’accord avec la Russie qui lui a permis d’avoir le gaz et le pétrole à très bas prix, mais il n’a pas ouvert le marché biélorusse à des entreprises nouvelles, et a pratiqué une politique de contrôle et de taxations très élevées. Cela décourage les bonnes volontés, et le niveau de vie des biélorusses n’avance pas » (salaire moyen : 150 euros en 2010). Tous les produits maintenant accessibles restent chers (parfois le même prix qu’en France, voire plus). Qui peut acheter ? Et puis la corruption est présente, dans la santé, normalement gratuite mais réellement pas, dans les transports…
Liberté de se taire
Et la parole n’est toujours pas libre. Dans le jardin de nos amis, nous devons parler plus bas si nous abordons des sujets « qui fâchent » ! Dictature du quotidien, dont Dimitri arrive à rire par une pirouette : « l’avantage de la dictature d’Etat, c’est qu’on est sûr que l’alcool vendu en Biélorussie, sous contrôle du gouvernement, est de bonne qualité et pas trafiqué comme il peut l’être ailleurs ». Nos amis ne se plaignent pas, et ne quitteraient pour rien au monde leur pays. Ils savent ce qui se passe à l’ouest, ils ont voyagé pour leurs études, ont été dans les jeunesses communistes quand l’URSS existait encore.
Datcha parentale ou étatiqueAujourd’hui, ils nous emmènent à la campagne, là où les parents de Svetlana ont une datcha, loin de tout, au bout d’un chemin. La datcha appartient en fait à l’Etat, mais ils peuvent en jouir, un reste sans doute de l’époque soviétique. Dans la famille réunie pour l’occasion, les sujets de conversation sont les mêmes que chez nous : Travail, chômage, étude des enfants, santé des proches, et cette année c’est difficile.
En effet les yeux de la mère de Svetlana trahissent son décrochage de la vie, comme si elle partait ailleurs, et revenait sans comprendre où elle revenait. Quelques mouvements de tête, de gauche à droite, rapides et cadencés. Alzheimer, ce n’est pas seulement la mémoire qui fiche le camp, c’est aussi la cohérence des actions, des pensées, des réactions. Quelque chose qui s’éloigne peu à peu du rivage de la raison, qui se fane comme les fleurs de sa robe, qui se ternissent en même temps que ses yeux si bleus, qui peu à peu deviennent transparents. Et qui s’occupera d’elle quand le père de Svetlana sera hospitalisé, en septembre prochain ? Elle n’est plus autonome, et se met en danger quand elle est seule. Et elle ne sait pas rester en place, toujours à bouger ! « C’est la vie » est l’expression qui revient souvent, pour exprimer que c’est difficile en ce moment.
La Datcha est au milieu d’un petit village, large maison de bois surmontée d’un toit de tôle. L’étage est peint en vert, et de petites cabanes de couleur jaune sont disséminées dans la cour, l’une pour les toilettes, l’autre pour l’eau qu’il faut aller chercher à la pompe. Le jardin déborde de légumes frais. Un cochon circule librement sur le terrain. En contrebas, la rivière, havre de paix et de tranquillité. La température est idéale cette année pour se baigner, mais en faisant attention au courant qui nous emporte si on se laisse faire. Et bien sûr le bania, sauna commun à tout le village. C’est l’endroit de la sollicitude. Nos amis vérifient à chaque instant que tout va bien au moment de nous fouetter avec une branche de bouleau, car avec la chaleur l’effet est suffocant. Il faut ensuite plonger dans la rivière, revenir se reposer, se laver, se rincer dehors avec de grands seaux d’eau froide sur la tête. Avec la canicule, c’est Byzance !
Voyage culinaire
Le frère de Svetlana vit en Ouzbékistan, et il est de passage à la datcha quelques jours. Pour l’occasion, il nous prépare un plov ouzbek, à base de riz sauté, de légumes et de viande de mouton. En entrée bien sûr, c’est le bortsch froid qui trône dans nos assiettes, préparé par Svetlana en personne, à base de betterave qui lui donne sa couleur rose foncé.
La fin de notre voyage est ponctuée de rencontres avec des amis de nos amis, dans cette grande ville qui sent encore l’URSS et l’ennui car il y a peu à y faire. Des Lada circulent, le temps s’écoule lentement, sous le regard de Lénine, bien présent au centre de la place principale.
⇒ Philippe Masse (76)Ville de distraction et de détente, Las Vegas attire chaque année plus de 30 millions de touristes. Aussi bien les plus jeunes que les moins jeunes pourront trouver du plaisir à venir visiter la ville ou tous les excès sont permis. Ici, il y a plusieurs musts à faire même si vous ne venez qu’une semaine.
Jouer au Bellagio
En plus d’être un des hôtels les plus connus de Las Vegas, le Bellagio est également le lieu de rendez-vous des joueurs. Cet établissement brille notamment par son chic et sa convivialité.
Le Bellagio des chambres pour les vacances en famille, entre amis ou en couple. De quoi assurer la réussite de votre séjour à Las Vegas.
Le prix des chambres commence à partir de 145€.
S’amuser au MGM Grand Las Vegas
Quand vous venez à Las Vegas, jouer à des jeux d’argent constitue l’essentiel du séjour. Vous pouvez également goûter à l’ambiance du MGM Grand Las Vegas pour ce faire.
C’est un établissement qui accepte même les joueurs qui ne sont pas logés dans son hôtel, à condition d’être bien habillés. Jeux de cartes de toutes sortes, machines à sous, roulettes et bien d’autres encore y sont à votre disposition.
Quelques paris au Luxor Las Vegas
Il n’y a rien de tel que les casinos de Las Vegas pour réellement s’amuser et ressentir l’adrénaline des paris. L’ambiance sera un peu différente du casino en ligne, même si les jeux restent les mêmes.
On vous conseille surtout les tables et les machines du Luxor qui sont installées dans un décor exceptionnel. Peut-être que cela vous portera chance.
Faire un tour au Red Rock Canyon National Conservation Area
Las Vegas est aussi une destination idéale pour les voyages en famille. Il y a ici quelques sites touristiques qui méritent le détour. Tel est le cas par exemple du Red Rock Canyon National Conservation Area.
Comme son nom l’indique, c’est une réserve nationale ornée de roches rouges et de sable à perte de vue. C’est l’endroit idéal pour une séance photo ou encore pour se détendre. En effet, le canyon est renommé non seulement par sa beauté, mais aussi par son calme.
Observer Las Vegas depuis the High Roller
Pour vous qui avez le cœur bien accroché, vous pouvez également profiter de la vue au sommet du High Roller de Las Vegas. C’est une grande roue panoramique qui culmine à 167,6 m de hauteur et qui vous garantira une vue imprenable sur la ville.
Pour un maximum de dépaysement, faites aussi l’attraction la nuit. La vue sera différente et plus belle qu’en journée
Visiter le Strip
Quitte à être à Las Vegas pendant une semaine, vous ne devez pas manquer la visite de Las Vegas Strip ou le Strip. C’est une route historique dans la ville.
C’est aussi ici que vous allez trouver la majorité des hôtels de luxe de Las Vegas. Afin de vous immerger complètement dans l’ambiance de la ville, faites la visite à pied.
Se balader près des fontaines du Bellagio
C’est devenu une attraction à part entière à Las Vegas, en plus c’est gratuit. Les fontaines du Bellagio posent chaque soir de nouvelles chorégraphies impressionnantes avec des jets et des jeux de lumière parfaitement ordonnés.
Le tout accompagné par de la musique de comédies musicales ou classique. Le spectacle ne dure que 10 minutes. Il est grandiose et vous assure un total dépaysement.
Outre ses fontaines, le Bellagio séduit les touristes par son jardin botanique. L’hôtel propose non seulement de très beaux parterres de fleurs, mais ils sont aménagés de manière originale. Ce qui vaut parfaitement le détour.
Parfaire votre culture avec The Mob Museum
Las Vegas compte aussi quelques musées. Parmi les incontournables, vous avez The Mob Museum. Cet établissement est axé sur les crimes et les lois. Il relate aussi l’histoire de Las Vegas. La visite ne vous coûte qu’une trentaine d’euros.
Aller voir le Hoover Dam Bypass
Sinon, vous pouvez également profiter de votre passage pour aller voir le Hoover Dam Bypass. C’est un pont de 579 m de long. C’est l’un des plus grands au monde. Ce qui en fait une véritable attraction dans la ville. Sans compter que ce fut le premier pont en béton et acier dans le pays.
S’arrêter au Eiffel Tower Viewing Deck
Savez-vous que Las Vegas disposait aussi de sa propre version de la Tour Eiffel ? Le Eiffel Tower Viewing Deck fait notamment partie des attractions les plus prisées de la région.
En outre d’être une parfaire reproduction de la tour originale, c’est aussi une plateforme d’observation de Las Vegas que vous ne devez pas manquer. Ouvert H24, l’Eiffel Tower vous garantira un point de vue unique en son genre sur la ville.
The Stratosphere Tower la nuit
Se trouvant à l’autre bout de la ville, vous pouvez également visiter the Stratosphere Tower. Avant les nouvelles attractions, ce fut la seule plateforme d’observation de Las Vegas.
Il est aujourd’hui devenu un véritable monument. Préférez aller le voir la nuit. Ce qui vous permettra d’apprécier de loin l’ambiance et le rythme de Las Vegas.
En apprendre plus sur Titanic
S’il vous reste quelques heures à tuer au cours de votre visite à Las Vegas, prenez le temps de visiter le Titanic : The Artifact Exhibition. Pour 34 euros environ, vous pourrez en apprendre un peu plus sur l’une des plus grandes œuvres du cinéma.
Vous allez pouvoir vous immerger dans les coulisses du film en visitant les différentes cabines de la première et de la troisième classe ou encore le plus-promenade, etc.
Vous pouvez d’ailleurs vous prendre pour les deux héros du film, mais cette fois dans le véritable décor. Ce qui sera plus approprié.
Se promener sur The Linq
Enfin, prenez le temps de visiter The Linq. Une balade dans ce quartier vous garantira un maximum de détente et une immersion complète dans l’ambiance et la culture de Las Vegas.
Ici, vous aurez également des boutiques où vous pourrez acheter les souvenirs de votre passage dans la ville. Vous aurez également quelques restaurants et bars qui peuvent vous faire goûter à quelques spécialités américaines.
Pourquoi voyager en camping-car est toujours une excellente idée ?
Écrit par DIDIER JEHANNOIl est loin le temps de la caravane du siècle dernier, celle que l’on accrochait derrière sa voiture et qui faisait un peu peur sur l’autoroute, les jours de grand vent.
Désormais, le voyage se fait en camping-car et ce type de véhicule a gagné ses galons grâce à la variété des modèles proposés, aux économies réalisées et à tout ce qui s’offre à nous en terme de voyage.
Le confort d’une maison portable
Les camping-cars d’aujourd’hui, que ce soit à l’achat ou à la location, sont tellement bien conçus qu’il est tout à fait possible de partir en voyage avec l’essentiel de sa maison et d’éviter ainsi les contraintes d’un déplacement en train ou en avion.
Avec un camping-car, vous ne vous préoccupez plus du poids des bagages, vous pouvez embarquer votre vélo ou votre planche de surf sans problème et personne n’interdira à votre animal de compagnie de vous accompagner.
Et s’il vous manque du matériel ou des accessoires indispensables, vous les trouverez sur des sites spécialisés comme Just 4 Camper par exemple.
Des économies non négligeables
Certes, posséder ou louer un camping-car est un investissement. Mais aujourd’hui, la gamme de prix est très variée et avec les économies réalisées, l’investissement peut être rentabilisé en peu de temps.
Les tarifs des terrains de campings n’ont rien à voir avec ceux d’un hôtel et si vous décidez de camper dans la nature, vos nuits ne vous coûteront rien.
Quant aux économies réalisées sur la nourriture et le quotidien, elles sont substantielles surtout lors de voyages en groupe ou en famille. Enfin, vous ne paierez pas de supplément prohibitif pour amener vos équipements sportifs ou de loisirs avec vous.
Des lieux adaptés de plus en plus nombreux
Il fut un temps où il était compliqué, voire même assez rare, de trouver une aire d’accueil pour ces énormes gabarits que sont les camping-cars. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Les espaces se sont développés à mesure que l'intérêt pour ce type de véhicule et de voyage s’est accru.
Aires de service, campings adaptés ou spécialisés, camping-car d'hôtes ou à la ferme, des lieux se sont ouverts sur tout le territoire et le tarif dépendra du degré de confort ou de convivialité recherché. Certains voyageurs au budget limité pourront même trouver des aires gratuites.
Quant à ceux qui ont le goût de l’aventure et de l’immersion totale dans la nature, ils devront passer la frontière et se diriger vers les pays nordiques où le camping sauvage est toujours autorisé.
La liberté à tous points de vues
Enfin, et c’est une part non négligeable, la liberté prend un sens tout particulier lors d’un voyage en camping-car.
La liberté d’aller où l'on veut et quand on le veut. Celle d’emprunter un chemin de traverse ou de s’arrêter pour admirer un paysage. La liberté de choisir entre la convivialité d’un camping ou la tranquillité de la pleine nature pour se sentir seul au monde.
Et enfin, la liberté de se lever un matin et de décider de partir, dans l’instant, sans avoir à attendre le départ d’un train ou d’un avion ! Et qui n’a pas envie de cela en 2022 ?
Plus...
Au matin du 24 février, il est 6h48 lorsque je reçois un message de la part d’un ami russe. Je lis ses mots avec effarement « La guerre a commencé. Je suis contre. » Alors que le monde dormait paisiblement, le président de la fédération de Russie a réveillé le plus insidieux des monstres ; la guerre.
Je laisse couler le café, et puis j’en observe la couleur noire. De son jus, il se peut bien que j’en ressente d’avantage l’amertume que d’accoutumé. Je me revois, comme dans un songe brumeux, en 2019, accompagné par des jeunes russes à Volgograd et je repense à cette phrase proclamée par le général de Gaulle lors de sa venue en 1966 dans la ville héroïque de la Volga « Jamais les jeunes du pays de Fabien et de Guy Moquet ne feront la guerre au pays des héros de Stalingrad ». Cette promesse semble menacée. Pour défendre l’Ukraine, la France pourrait-elle soudain se voir entraînée dans une guerre ? Comment est-ce possible ? Qu’avons-nous loupé ? La paix entre les nations européennes, si chère à Jean Monnet, venait d’être de nouveau*¹ mise à mal.
En 2010, en arpentant les rues pavées du vieux centre de Kiev, j’avais pu me rendre compte de la proximité culturelle entre Ukrainiens et Russes, mais aussi de cette dualité qui positionne l’Ukraine entre les pays de l’Europe et la Russie. En passant sous L’Arc de l’Amitié des Peuples, cette œuvre composée en 1982 dans le pur style soviétique, je m’étais leurré. L’URSS avait peut-être réuni les deux peuples, mais depuis sa chute, l’arc-en-ciel s’était vu recouvrir d’épais nuages.
L’Ukraine – son étymologie nous renseigne immédiatement sur son origine. Elle découle du slave et est composé du préfixe « u » qui indique « l’intérieur » et de « kraï » qui désigne la « frontière ». Ce double regard entre l’Ouest et l’Est se trouve matérialisé par l’influence de deux grands fleuves sur son territoire ; celle du Danube, qui naît dans la forêt Noire, traverse l’Europe et dont le delta se trouve au sud de l’Ukraine et de celle du Dniepr qui débute sa course en Russie, arrose Kiev, pour rejoindre, tout comme sa cousine européenne, la mer Noire. À l’Ouest, dans les villes et les villages, les toits des églises sont majoritairement coiffés de croix catholiques, alors que dans la région de Kharkov, on observe d’avantage les coupoles dorées des édifices orthodoxes. Cette place qu’occupe l’Ukraine, c’est sa richesse, mais est-ce aussi son malheur ?
Au matin de ce 24 février 2022, il est clair que oui… et tout cela nous échappe. La politique, la religion, le nationalisme exacerbé et la décision d’un président et de sa clique à la tête d’un État empirique nous l’envoie en plein visage.
La diversité des paysages, des villes, des habitants de l’Ukraine ont contribué à forger l’identité du pays. Son hymne national « l’Ukraine n’est pas morte » dont les paroles écrites par le poète Pavlo Tchoubynsky dates de 1862, illustre parfaitement l’incarnation de l’âme ukrainienne et de son désir d’indépendance.
Ni la gloire ni la liberté de l’Ukraine ne sont mortes
La chance nous sourira encore, jeunes frères,
Nos ennemis périront, comme la rosée au soleil,
Et nous aussi, frères, allons gouverner, dans notre pays.
Pour notre liberté, nous donnerons nos âmes et nos corps,
Et prouverons, frères, que nous sommes de la lignée des Cosaques.
Qui sont les Cosaques que cite Tchoubynsky ?
Les Cosaques étaient des guerriers irréguliers et indépendants, positionnés aux frontières de l’Empire russe. Engagés à de nombreuses reprises comme soldats dans les armées tsaristes, ils ont combattu lors de son extension vers la Sibérie et étaient réputés pour leur grande vaillance au combat. Parmi les plus célèbres chefs insurgés cosaques tenant tête aux tsars, on peut nommer Stenka Razine ou Émilian Pougatchev. Ces deux personnages sont nés dans l’Empire russe au XVIIe et XVIIIe, et insufflent parfaitement l’esprit de l’Hetmanat, cette organisation territoriale cosaque qui a longtemps lutté pour son indépendance avant d’être soumise par l’Empire russe en 1721.
L’héritage national ukrainien trouve aussi comme fondement les poèmes du héros et artiste national Taras Chevtchenko ( 1814 – 1861 ), délivré de sa condition de serf à l’âge de 24 ans et qui, tout au long de sa vie, écrira des vers chantant la beauté de son pays natal mais aussi la lutte de ses compatriotes et la souffrance son peuple face à un fraternel ennemi. J’en retiens deux, traduits de l’ukrainien en français par Jacky Lavauzelle, « Le Désastre » et « Peu m’importe »..
Cela fait plus d’un mois que le conflit dure, plus de 4 millions de citoyens ukrainiens et de résidents locaux ont du tout quitter en prenant un unique sac, en quittant leurs maisons, avec l’espoir d’y revenir mais cela sera t’il possible ? Personne ne le sait.
Près de mon village natal, à Rochefort-sur-Loire, des drapeaux ukrainiens flottent aux fenêtres, des familles ont trouvé un refuge. Au début du mois d’avril 2022. Près de 14 000 personnes sont arrivées en France depuis l’Ukraine. Au XXIe siècle, Poutine, se voulant «Seigneur du Monde » endosse le rôle du tsar sanguinaire et Zelinsky, celui du chef cosaque résistant. En écrivant ce texte me revient le roman d’Erich Maria Remarque « À l’Ouest rien de nouveau ».. et malgré le temps qui passe, avec l’apparition d’un nouveau printemps, c’est aussi le cas à l’Est.
Texte et photos Adrien Clémenceau
*¹ – Il faut citer le conflit récent des guerres de Yougoslavie qui a duré 10 ans de 1990 à 2001 et causé plus de 130 000 victimes ( d’après l’Institut de Droit Humanitaire ).
Le Portugal possède tous les atouts pour plaire grâce à la diversité des attractions qu’on peut découvrir tour à tour durant un séjour riche en émotions. Pour ceux qui apprécient l’histoire et les monuments anciens, la capitale Lisbonne leur réserve beaucoup de surprises.
Un peu plus au Sud, la région de l’Algarve se dévoile avec un paysage côtier à couper le souffle. Tandis qu’en s’approchant de Madère, les montagnes dévoilent leur somptuosité et laissent place à de la randonnée.
Ainsi, parcourons ensemble une à une les plus belles villes ou régions du Portugal qui méritent d’être visitées.
Lisbonne
Étant la capitale de Portugal, Lisbonne est une étape incontournable lors d’un voyage dans le pays. Elle mélange à la fois un dynamisme incomparable par l’intermédiaire de l’animation dans le centre avec le son du fado et l’histoire de la ville compilée dans les édifices anciens.
Un détour dans le quartier de l’Alfama s’impose pour découvrir les ruelles pentues bordées par des façades d’immeubles décorées avec les azulejos. Il s’agit d’une ornementation réalisée à partir de carreaux de faïence typiques de Lisbonne.
En allant vers le point de vue de Santa Luzia, vous aurez sûrement l’occasion d’entendre la musique traditionnelle portugaise au son mélancolique accompagné d'instruments à cordes pincées communément appelé le fado.
Pour découvrir le côté historique du Portugal, il est conseillé de se diriger vers la plus haute colline de Lisbonne où est perché le Château de Saint-Georges.
D’autres part, le monastère des Hiéronymites et la tour de Belém sont des symboles du pays qui racontent la particularité de l’art Mauresque et Manuélin.
Porto
Porto est la deuxième ville qui est à découvrir à tout prix au Portugal. En effet, trois fois élue comme meilleure destination touristique d’Europe, Porto se distingue avec la présence d’une vallée qui est classée parmi les patrimoines mondiaux de l’Unesco appelée Douro.
L’Office du tourisme du Portugal propose des guides polyglottes pour que toutes les nationalités puissent découvrir le véritable visage du pays.
Porto est également célèbre par son vin qui est mondialement réputé. Un passage dans la Vila Nova de Gaia pour déguster un bon vin tout en admirant la beauté des vignobles à perte de vue est ainsi préconisé.
En ce qui concerne les monuments historiques, il est possible de visiter le palais de la Bourse qui est célèbre par son salon Mauresque, l’Eglise de Sao Francisco et la librairie de Lello.
La visite pourra être conclue le long du quai de Ribeira pour admirer des spectacles de Fado et pour déguster des plats typiques du Portugal.
L’Algarve
Située au Sud du pays, la région de l’Algarve présente à la fois des stations balnéaires au bord de plages idylliques et de pistes sauvages à découvrir en vous éloignant des rivages.
En partant de la ville de Faro, vous pouvez découvrir la beauté d’une cité riche en histoire avec la cathédrale et la chapelle aux 1 000 squelettes.
Lagos est certainement la ville la plus prisée de la région étant donné qu’elle est entourée par les plus belles plages du Portugal. Entre autres, il y a la Praia da Marinha, la grotte de Benagil ou encore la Praia do Camilo.
Par ailleurs, un paysage pittoresque apparaît en faisant une randonnée le long des sept vallées suspendues sur un chemin de 6 km au bord d’une falaise.
Pour ceux qui préfèrent l’immersion dans la nature, le parc naturel La Ria Formosa permet de découvrir plusieurs espèces d’oiseaux dispersés dans 18 000 ha de marécages et de canaux.
Très prisée par les touristes, l’Algarve se métamorphose en une ville touristique en été si bien qu’il est recommandé de faire appel à des voyagistes pour pouvoir profiter pleinement des visites. Pour cela, Voyage Privé propose quelques idées de séjours au Portugal à la portée de tous les budgets.
Madère
Il s’agit d’une île située à 900 km du Portugal qui est aussi appelée « la petite Réunion » du fait de son climat tropical et de sa végétations luxuriante.
La découverte de l’île peut se faire par l’intermédiaire d’une randonnée à travers les collines verdoyantes parsemées d’amaryllis, de camélias et de bougainvilliers.
Cependant, la montagne de Pico do Arieiro qui culmine à 1810 m d’altitude offre un paysage rocailleux à travers des routes sinueuses.
Bien que Madère soit une île, il n’y a qu’à Porto Santo que vous pouvez vous baigner et vous détendre sur une plage de sables fins.
Pour plus d’évasion, il est recommandé de plonger dans la piscine naturelle de Porto Moniz qui est composée d’une eau très claire dans des criques de basaltes noirs. Madère est une ville également intéressante du fait qu’elle héberge la plus haute falaise d’Europe située au Cabo Girao.
Sintra
La ville de Sintra est située à 30 mn en train de Lisbonne. Bien qu’elle soit petite, cette ville regorge de dix monuments historiques en partant du palais de Pena avec ses formes plutôt fantaisistes, jusqu’aux forteresses abandonnées en passant par les châteaux des Maures.
D’un autre côté, le palais de Monserrate offre une atmosphère orientale qui a été apporté par un émir arabe. C’est au XIXè siècle que tous ces monuments ont été construits à Sintra pour honorer le mouvement artistique romantique.
Quelles villes visiter avec un voilier en Bretagne ?
Envie de profiter de la Bretagne autrement ? Pourquoi ne pas passer par la mer ? En effet, le pays cache quelques ports magnifiques que vous ne pouvez pas manquer.
Le port de Cancale et ses parcs à huitres en Ille-et-Vilaine
Véritable attraction touristique en Bretagne depuis des années, le port de Cancale se trouve en Ille-et-Vilaine. C’est ici que vous pourrez notamment admirer les fameux parcs à huîtres qui s’étalent sur 500 ha en bord de mer.
Cette ville attire aussi par son authenticité et sa convivialité. Passer une journée dans ce port vous assurera un maximum de dépaysement à travers les spécialités locales de la région. Les petits comme les grands peuvent en profiter pour se baigner dans une eau exceptionnelle.
Le port de Gwin-Zegal et ses fameux pieux sur les Côtes-d’Armor
Sur les Côtes-d’Armor, vous avez également une ville incontournable de Bretagne. Elle est bordée par le port de Gwin-Zegal. Vous la verrez arriver de loin avec ses pieux de 8 à 10 m de hauteur qui longent le port.
C’est notamment entre ces derniers que votre bateau pourra s’amarrer le temps de la visite. Véritable réalisation de l’homme, ces pieux sont en fait des arbres qui ont été replantés dans la mer avec leurs souches.
Pour profiter à fond de cette excursion, vous pouvez trouver une solution pour louer un voilier en ligne, que vous soyez en famille ou en couple. Cette option va vous garantir un peu plus d’intimité pendant la visite.
Le loueur peut vous proposer des bateaux pour 200 euros en moyenne. Tout dépend de ses caractéristiques, de sa taille et de la durée de la location.
C’est un arrêt immanquable pour les amoureux de la nature. Outre le cadre exceptionnel sur le port, cette ville vous propose aussi quelques circuits de randonnées qui s’adressent aussi bien aux amateurs qu’aux experts. Tel est le cas par exemple du trek sur le GR 34.
Le port de Paimpol toujours pour se détendre sur les Côtes-d’Armor
Quitte à être de passage sur les Côtes-d’Armor, vous devez également visiter le port de Paimpol. C’est le site idéal pour se détendre en famille, entre amis ou en couple. En effet, c’est l’un des plus beaux ports de plaisance de la Bretagne.
Le dépaysement sera assuré avec les façades colorées qui bordent la côte et les bateaux de toutes sortes. Profitez-en pour descendre à terre afin de visiter les jolies ruelles de la ville et ses restaurants qui servent des spécialités locales.
Un conseil, venez en août pour pouvoir apprécier le festival du Chant de Marin de Paimpol et voir le défilé des bateaux. C’est un incontournable en Bretagne.
Le port de Roscoff pour apprendre l’histoire du Finistère
Si vous souhaitez passer par le Finistère, on vous recommande aussi le port de Roscoff. C’est le lieu idéal pour parfaire votre culture générale. Ici, les vestiges historiques sont nombreux. Tel est le cas par exemple de l’estacade qui est une infrastructure conçue en 1972 pour les Britanniques.
Désormais, le port de Roscoff a tout de même évolué depuis quelques années. Il est devenu d’ailleurs l’un des ports de plaisance les plus connus de Bretagne. De quoi vous permettre aussi de vous détendre simplement pendant votre voyage.
Le port de Sauzon pour profiter du grand air du Morbihan
Le port de Sauzon est aussi l’un des plus renommés de Bretagne. Il se trouve dans le Morbihan, à l’entrée de Belle-Île-en-Mer.
C’est un arrêt idéal pour les amoureux du grand air et de la nature. Ici, vous pouvez descendre du bateau pour profiter d’une balade à vélo ou à pied à travers la ville. De quoi vous permettre d’apprécier le cadre, les façades authentiques et la beauté de la région.
Très accueillant toute l’année, le port de Sauzon se visite aussi bien en été qu’en hiver. Attention toutefois, c’est une destination de vacances très réputées auprès des familles françaises comme des jeunes voyageurs. Pendant la saison chaude, il y aura énormément de monde.
Le port de la Trinité-sur-Mer pour profiter du paysage
Enfin, on peut aussi vous conseiller le port de la Trinité-sur-Mer dans le Morbihan au cours de votre voyage.
Le paysage y est exceptionnel avec les bateaux de toutes sortes, et la ville authentique et conviviale. C’est devenu, depuis quelques années, la destination incontournable des familles et des jet-setteurs.
Auparavant, le port de Trinité-sur-Mer était et est encore aujourd’hui un port de pêcheurs. Mais c’est également un lieu idéal pour faire des régates et pour tester les capacités de votre voilier ? Du moins, ce sera le cas si vous avez des compétences en navigation.
Quelques villes à découvrir pour vos prochaines escapades.
Fini l’hiver et les jours tristes, il est temps de penser à partir et aux villes que l’on aimerait visiter ! Pour vous aider, nous avons sélectionné les plus belles destinations de séjour pour vous détendre et découvrir de nouveaux endroits.
Comment choisir une destination ?
Tout d’abord, réfléchissez au budget et au temps que vous voulez consacrer à votre prochain périple. Si vous hésitez entre plusieurs endroits, pensez à comparer les prix et les conditions sur un site fiable. Holidu, le moteur de recherche de locations de vacances vous offre des centaines de sites dans plus de 30 000 villes et 200 pays. Des maisons de vacances aux châteaux, en passant par des fermes, des lofts, des appartements et des chalets, vous n’avez que l’embarras du choix. Il ne vous reste que de décider où partir !
Où partir quand on a un petit budget ?
Afin de ne pas vous ruiner lors de vos déplacements, pensez à opter pour un voyage moins onéreux. Si vous avez une certaine flexibilité avec le calendrier, faites d’abord une recherche pour voir laquelle de vos destinations désirées est la moins chère au cours de la période choisie, mais aussi celle qui vous convient le mieux en fonction de l’attrait, des monuments, de l’ambiance, des sorties culturelles et de nombreuses activités autour des musées et expositions, éventuellement des festivals, qui chaque année se développent en France...
Quand partir ?
La période de l’année à laquelle vous voulez partir en vacances peut également affecter le prix. Si vous préférez partir en week-end ou pendant la haute saison touristique, le voyage va être certainement plus cher. Pourtant, partir pendant la basse saison peut vous aider à économiser de l’argent. Et n’oubliez pas que comme les sites les plus visités sont souvent les plus chers, il vaut mieux opter pour une petite ville pour vous loger qui peut s’avérer beaucoup plus intéressante et le voyage peut être plus enrichissant que si vous décidez de visiter une capitale,
Les villes à ne pas manquer.
Paris
L’abondance de monuments historiques et la Seine scintillante avec ses ponts élégants ont fait de Paris le paysage urbain le plus reconnaissable au monde. Si vous cherchez à explorer le riche patrimoine de la ville, vous pouvez passer un long après-midi à vous perdre au Louvre ou à explorer le musée d’Orsay ou les innombrables églises de Paris. La capitale française est la ville romantique par excellence. Se promener le long des quais de la Seine ou des berges, Paris ne manque pas de choix. N’oubliez pas de vous rendre dans le célèbre quartier de Montmartre ! Vous pourrez également y découvrir le Moulin Rouge, le célèbre cabaret propose en-effet des soirées dîner-spectacle idéales pour passer un bon moment de détente.
Bordeaux
Vous pouvez visiter un musée d’art moderne, déguster un repas délicieux dans un bar à tapas ou goûter la cuisine fusion dans un restaurant. Bordeaux offre la dignité ancienne avec des traits de modernité.
Nice
Nice, capitale de la Côte d’Azur, est un endroit envoûtant à peu près à n’importe quel moment de l’année. N’oubliez pas de vous balader sur la Promenade des Anglais.
Cannes
Beaucoup plus petit que sa ville voisine Nice, Cannes est connu pour le festival de cinéma qui y a lieu. Il possède aussi de magnifiques plages où vous pouvez profiter des rayons du soleil.
Lyon
Lyon est la troisième ville la plus grande de France qui surprend par son architecture élégante, ses musées animées, ses belles rivières et son magnifique quartier du vieux Lyon.
Marseille
L’attraction principale de Marseille et la ville elle-même. Un endroit qui va rester toujours magnifique avec sa côte de rochers, la mer et le rythme palpitant d’une grande ville portuaire.
Lisbonne
La capitale portugaise est une destination idéale pour quelques jours de détente. Profitez des magnifiques vues offertes par la tour de Belém ou encore le célèbre Castelo de São Jorge. Ainsi qu’une balade le long de la plage à Costa Da Caparica.
Le petit plus de la ville de Lisbonne : le coût de la vie est deux fois moins cher qu’en France, de quoi faire des folies !
Prague
Classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, cette ville regorge de monuments historiques à découvrir. Parmi ceux-ci, l’Église de Notre-Dame du Týn ou encore le château de Prague. A l’ouest de la ville, vous trouverez l’île de Kampa, appelée “La petite Venise de Prague”. Pour un endroit calme et romantique, c’est idéal. Depuis le pont Saint-Charles, profitez d’une vue panoramique sur la ville.