Possibilité d'acheter vos billets directement à l'Opéra de Massy à partir de 19 h 15 vendredi.
Soirée (vendredi ou samedi) : 6 euros (adhérents de l'association ABM), 10 euros (non-adhérents).
Journée (samedi ou dimanche, jusqu'à 19 h) : 8 euros (adhérents ABM), 12 euros (non-adhérents)
Forfait week-end : 20 euros (adhérents), 30 euros (non-adhérents)
Possibilité de se restaurer sur place.
11 h Notre échappée belle un an à deux autour du monde
film de Frédéric Dufour 1e partie. (56’).
Nous sommes partis en couple, sacs à dos, autour du monde. Après avoir rejoint Moscou en bus, puis emprunté le mythique Transsibérien, passant par la Russie, la Sibérie, la Mongolie puis la Chine, nos pas se sont portés vers le Népal où nous avons pu côtoyer à pied, seuls et sans guide, les plus hauts sommets de la terre. Enfin c’est en Thaïlande, Laos et Malaisie que nous avons achevé la partie asiatique de notre périple. http://www.nataderic.fr
12h Yémen
réalisation numérique de Jean Michel Quintton (48’).
Du fond de sa mémoire d’enfant, mille images se chevauchaient, faisant naître en lui ce rêve fou de partir au Yémen sur les traces de la mythique reine de Saba et de l’écrivain aventurier Henri de Monfreid.
14 h Coureur du monde,
réalisation numérique de Jamel Balhi (60’).
Jamel Balhi parcourt le monde au rythme de l’humain, à 12 km/h. A pied il a traversé 184 pays.
En partant de France, il a atteint les endroits inaccessibles de la terre, comme les coins les plus reculés du Tibet, de l’Amérique latine ou de l’Australie. Les étapes journalières d’environ 70 km font défiler les paysages, les villages et les visages du monde. Avec un petit sac à dos pour seule assistance ajouté à un budget quotidien de 3 à 4 euros, il poursuit chaque jour la route qui le mène de pays en pays, au gré des rencontres. http://www.coureur-du-monde.org/
15 h Les Himbas font leur cinéma (Namibie)
film réalisé par Solenn Bardet (52').Coproduction GEDEON PROGRAMMES,
Quand un peuple premier prend son image en main...
Las d’être filmés par les caméras du monde entier sans jamais avoir leur mot à dire, une vingtaine de Himbas, ces nomades de Namibie connus sous le nom du « peuple d’ocre », décident de se mettre en scène pour la caméra : cérémonies et relations aux ancêtres, secrets de beauté et dangers de la modernité, recettes de cuisine… Avec humour et sensibilité, loin des clichés habituels, les Himbas nous font découvrir leur monde. En filigrane, c’est aussi et avant tout une aventure humaine, avec au centre l’amitié et la complémentarité de deux femmes, l’une himba, Muhapikwa, porteuse de la tradition, l’autre française, Solenn, qui ont décidé de bousculer les représentations établies…
http://www.association-kovahimba.net/
Bande annonce
16h 30 Concert de musique avec le groupe Yapa (30')
Trois guitaristes, un percussionniste, une musique instrumentale inspirée de voyages et de découvertes.
Voilà plus de 15 ans que les quatre musiciens de Yapa trimbalent leurs guitares à la rencontre de nouvelles cultures. Un dernier disque enregistré au Burkina Faso, le prochain enregistré en Inde, aussi à l'aise dans la cave d'un club de jazz parisien que dans la moiteur Ouagalaise, les quatre Yapa vous font voyager l'espace d'un instant http://www.yapa.fr/
17h 15 Jardin Secret d’Amazonie
film de Dominique Derrien et Alain Basset (40').
Jean est un frère mariste francophone chargé de la pédagogie d’une école de la communauté implantée à Labréa, un gros bourg de l’état de l’Amazonas dont la capitale est Manaus. C’est ici que se termine l’hypothétique transamazonienne supposée relier l’Atlantique au Pacifique en traversant les Andes. Les communautés locales installées de longue date le long des fleuves s’opposent parfois aux Amérindiens qu’elles estiment privilégiés par l’état. Le droit à la terre est fondamental et les deux communautés œuvrent à la préservation de leur milieu. A ce titre la création de réserves par l’état est un pas important pour la sauvegarde durable de la forêt.Le rio Purus est un des ogres d’Amazonie : il dévore ses rives, charrie des alluvions depuis les Andes boliviennes et engloutit les géants déchus qui jonchent les plages avant de prendre la route de l’Atlantique. A deux jours de barque du rio Purus et six de Labréà, nous rejoignons le clan Apurina d’Alfredo. Ce groupe d’une cinquantaine de personnes vit en symbiose avec son environnement au fond de l’igarapé Tumia. Un igarapé est une rivière qui s’enfonce dans le couvert végétal. Contrairement au rio Purus, les eaux de l’igarapé Tumia sont noires. Il y a peu de moustiques vecteurs de malaria. Une sorte de paradis que l’on peut comparer aux bords de la Marne sans les guinguettes ! Frère Jean est de la partie en compagnie d’Heidé membre de la Pastorale indigène et de Zezinho adopté dans son enfance par le clan Apurina. Le vieux cacique du groupe a passé la main à l‘ainé de ses 15 enfants, mais sa case où officie en douceur Laura sa femme, est le centre de la petite communauté. Pour nous offrir de la viande, le seul met de choix, tous les hommes sont partis à la chasse. Ils reviennent avec trois pacas, de gros rongeurs aux dents de lapin, 11 sangliers et un tapir de 140 kilos. Nos hôtes organisent une fête traditionnelle à laquelle ils convient un clan isolé qui s’est récemment rapproché de l’école. L’ensemble des acteurs sociaux cherche à fixer ces communautés traditionnelles sur leur territoire. Loin des clichés folkloriques, la préservation de leur mode de vie est garante d’une sauvegarde du poumon de la planète et d’une entrée en douceur dans la modernité. La formation d’agents de santé chargés de distribuer à bon escient les médicaments, la formation d’instituteurs d’origine Apurina, la gestion raisonnée des ressources forestières doit permettre le maintien des peuples de la forêt dans leur « jardin secret ».
18h Le livre du ciel ; Les Miao noirs, peuples oublié de Chine,
film de Virginie Seiller (40’)
Parties à la recherche d’une mystérieuse stèle de pierre, la Table des Lois du peuple Miao, nous rencontrons Guzhu, chamane d’un village de montagne qui devient notre guide.
Il nous fera découvrir ses pratiques médicinales et les coutumes ancestrales de son peuple venu se réfugier dans les montagnes suite aux persécutions séculaires des Han. Nous entraînant chez des conteurs, d’autres chamanes, d’autres villages, Ghuzu nous conduira jusqu’aux Monts du Seigneur du Tonnerre, où se trouve cette stèle relatant les Interdits Eternels des Miao…
{vvmodule 819Les réservations sont fermées.
Possibilité d'acheter vos billets directement à l'Opéra de Massy à partir de 19 h 15 vendredi.
Soirée (vendredi ou samedi) : 6 euros (adhérents de l'association ABM), 10 euros (non-adhérents).
Journée (samedi ou dimanche, jusqu'à 19 h) : 8 euros (adhérents ABM), 12 euros (non-adhérents)
Forfait week-end : 20 euros (adhérents), 30 euros (non-adhérents)
Possibilité de se restaurer sur place.}
Possibilité d'acheter vos billets directement à l'Opéra de Massy à partir de 19 h 15 vendredi.
Soirée (vendredi ou samedi) : 6 euros (adhérents de l'association ABM), 10 euros (non-adhérents).
Journée (samedi ou dimanche, jusqu'à 19 h) : 8 euros (adhérents ABM), 12 euros (non-adhérents)
Forfait week-end : 20 euros (adhérents), 30 euros (non-adhérents)
Possibilité de se restaurer sur place.}
11 h Notre échappée belle, un an à deux autour du monde
film de Frédéric Dufour 1e partie. (56’).
Nous sommes partis en couple, sacs à dos, autour du monde. Après avoir rejoint Moscou en bus, puis emprunté le mythique Transsibérien, passant par la Russie, la Sibérie, la Mongolie puis la Chine, nos pas se sont portés vers le Népal où nous avons pu côtoyer à pied, seuls et sans guide, les plus hauts sommets de la terre. Enfin c’est en Thaïlande, Laos et Malaisie que nous avons achevé la partie asiatique de notre périple. http://www.nataderic.fr
12h Yémen
réalisation numérique de Jean Michel Quintton (48’)
Du fond de sa mémoire d’enfant, mille images se chevauchaient, faisant naître en lui ce rêve fou de partir au Yémen sur les traces de la mythique reine de Saba et de l’écrivain aventurier Henri de Monfreid.
14 h Coureur du monde,
réalisation numérique de Jamel Balhi (60’).
Jamel Balhi parcourt le monde au rythme de l’humain, à 12 km/h. A pied il a traversé 184 pays.
En partant de France, il a atteint les endroits inaccessibles de la terre, comme les coins les plus reculés du Tibet, de l’Amérique latine ou de l’Australie. Les étapes journalières d’environ 70 km font défiler les paysages, les villages et les visages du monde. Avec un petit sac à dos pour seule assistance ajouté à un budget quotidien de 3 à 4 euros, il poursuit chaque jour la route qui le mène de pays en pays, au gré des rencontres. http://www.coureur-du-monde.org/
15 h Les Himbas font leur cinéma (Namibie)
film réalisé par Solenn Bardet (52').Coproduction GEDEON PROGRAMMES,
Quand un peuple premier prend son image en main...
Las d’être filmés par les caméras du monde entier sans jamais avoir leur mot à dire, une vingtaine de Himbas, ces nomades de Namibie connus sous le nom du « peuple d’ocre », décident de se mettre en scène pour la caméra : cérémonies et relations aux ancêtres, secrets de beauté et dangers de la modernité, recettes de cuisine… Avec humour et sensibilité, loin des clichés habituels, les Himbas nous font découvrir leur monde. En filigrane, c’est aussi et avant tout une aventure humaine, avec au centre l’amitié et la complémentarité de deux femmes, l’une himba, Muhapikwa, porteuse de la tradition, l’autre française, Solenn, qui ont décidé de bousculer les représentations établies…http://www.association-kovahimba.net/
Bande annonce
16h 30 Concert de musique
avec le groupe Yapa (30')
Trois guitaristes, un percussionniste, une musique instrumentale inspirée de voyages et de découvertes.
Voilà plus de 15 ans que les quatre musiciens de Yapa trimbalent leurs guitares à la rencontre de nouvelles cultures. Un dernier disque enregistré au Burkina Faso, le prochain enregistré en Inde, aussi à l'aise dans la cave d'un club de jazz parisien que dans la moiteur Ouagalaise, les quatre Yapa vous font voyager l'espace d'un instant http://www.yapa.fr/
17h 15 Jardin Secret d’Amazonie
film de Dominique Derrien et Alain Basset (42').
Jean est un frère mariste francophone chargé de la pédagogie d’une école de la communauté implantée à Labréa, un gros bourg de l’état de l’Amazonas dont la capitale est Manaus. C’est ici que se termine l’hypothétique transamazonienne supposée relier l’Atlantique au Pacifique en traversant les Andes. Les communautés locales installées de longue date le long des fleuves s’opposent parfois aux Amérindiens qu’elles estiment privilégiés par l’état. Le droit à la terre est fondamental et les deux communautés œuvrent à la préservation de leur milieu. A ce titre la création de réserves par l’état est un pas important pour la sauvegarde durable de la forêt.Le rio Purus est un des ogres d’Amazonie : il dévore ses rives, charrie des alluvions depuis les Andes boliviennes et engloutit les géants déchus qui jonchent les plages avant de prendre la route de l’Atlantique. A deux jours de barque du rio Purus et six de Labréà, nous rejoignons le clan Apurina d’Alfredo. Ce groupe d’une cinquantaine de personnes vit en symbiose avec son environnement au fond de l’igarapé Tumia. Un igarapé est une rivière qui s’enfonce dans le couvert végétal. Contrairement au rio Purus, les eaux de l’igarapé Tumia sont noires. Il y a peu de moustiques vecteurs de malaria. Une sorte de paradis que l’on peut comparer aux bords de la Marne sans les guinguettes ! Frère Jean est de la partie en compagnie d’Heidé membre de la Pastorale indigène et de Zezinho adopté dans son enfance par le clan Apurina. Le vieux cacique du groupe a passé la main à l‘ainé de ses 15 enfants, mais sa case où officie en douceur Laura sa femme, est le centre de la petite communauté. Pour nous offrir de la viande, le seul met de choix, tous les hommes sont partis à la chasse. Ils reviennent avec trois pacas, de gros rongeurs aux dents de lapin, 11 sangliers et un tapir de 140 kilos. Nos hôtes organisent une fête traditionnelle à laquelle ils convient un clan isolé qui s’est récemment rapproché de l’école. L’ensemble des acteurs sociaux cherche à fixer ces communautés traditionnelles sur leur territoire. Loin des clichés folkloriques, la préservation de leur mode de vie est garante d’une sauvegarde du poumon de la planète et d’une entrée en douceur dans la modernité. La formation d’agents de santé chargés de distribuer à bon escient les médicaments, la formation d’instituteurs d’origine Apurina, la gestion raisonnée des ressources forestières doit permettre le maintien des peuples de la forêt dans leur « jardin secret ».
18h Le livre du ciel
Les Miao noirs, peuples oublié de Chine,
film de Virginie Seiller (40’)
Parties à la recherche d’une mystérieuse stèle de pierre, la Table des Lois du peuple Miao, nous rencontrons Guzhu, chamane d’un village de montagne qui devient notre guide.
Il nous fera découvrir ses pratiques médicinales et les coutumes ancestrales de son peuple venu se réfugier dans les montagnes suite aux persécutions séculaires des Han. Nous entraînant chez des conteurs, d’autres chamanes, d’autres villages, Ghuzu nous conduira jusqu’aux Monts du Seigneur du Tonnerre, où se trouve cette stèle relatant les Interdits Eternels des Miao…