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mercredi, 21 octobre 2009 21:17

Vos experiences - Bus & Minibus - Asie Pacifique

Asie :

<> Birmanie
--- (11/06) ----
"Bus développé mais sur les longues distances cela devient compliqué en raison de l'état des routes. Compter une moyenne horaire de 20km/h."
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--- (1/06) ----
"Réseau de bus développé mais j'ai évité car c'est long, fatiguant et dangereux !"
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--- (12/05) ----
"Compagnies privées pour ce qui est des bus. Dans tous les cas des pauses pipis et de quoi se restaurer dans des gargotes au bord de la route. Ne pas oublier le papier et la lampe torche car c'est un peu l'expédition. Nous avons toujours réservé mais c'est assez facile car toutes les guesthouses vendent des billets. Trajets très longs."
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--- (11/04) ----
"Bus très développé. Beaucoup de bus circulent en Birmanie, quasiment tous "opérés" par des compagnies privées, souvent de nuit (compter une dizaine d'heures pour 400 km). Ce sont la plupart du temps de vieilles croûtes mal entretenues, leurs suspensions quasi-inexistantes, et le confort est assez limité, surtout lorsque le karaoke joue à fond. Néanmoins, ils sont très abordables; le maximum tourne dans les 6 500 kyats (environ 6 €)."
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--- (11/01) ----
"Plusieurs compagnies de bus existent :
- 1) Compagnie Léo Express : Un trajet effectué sur Yangon-Mandalay. Le meilleur bus de notre voyage, même si ce n'était pas génial. La route était peut-être meilleure que les autres routes. Chaque personne a une bouteille d'eau d'un litre mais les repas ne sont plus compris dans le prix.
Le bus s'arrêtera une fois pour dîner et une autre fois pour le petit déjeuner. Nous sommes partis avec 5 minutes d'avance de Yangon. Il n'y a pas intérêt à arriver en retard...
Le bus est arrivé avec plus d'une heure de retard car on a crevé. La climatisation est très forte, prévoir un pull ou une veste. Deux télés dans le bus diffusent du karaoké birman en début de soirée puis des films (Rambo II pour nous) un peu plus tard. Chaque personne a une place assise, ne vendent pas les strapontins comme d'autres compagnies.
Les soutes à bagages étaient suffisamment grandes pour tous les bagages. Ne prennent aucun passager en cours de route. Acheter le billet directement à l'agence Léo Express à Yangon ou à votre hôtel si le prix reste raisonnable. Tous les bus que nous avons pris ont coûté entre 1500 et 2500 K.
N'acceptez donc pas un tarif plus élevé. Pour ce trajet Yangon-Mandalay avec Léo Express, nous nous sommes fait avoir par une agence de voyages qui nous l'a vendu 3 fois son prix. Le prix est marqué sur le billet. Quand nous sommes retournés les voir, ils nous ont dit que 2500 K était le prix pour les Birmans et que les étrangers paient trois fois plus chers. C'est faux !
- 2) Compagnie Golden Moon Express : Pour un trajet Shwe Nyang-Bagan. Mini-bus pas du tout confortable. Le bus venait de Taunggyi et est arrivé avec une demi-heure de retard.
Il était déjà presque plein. Heureusement, nous avions réservé à l'avance. Nous avons donc eu 2 sièges de libre mais à la place où nous devions mettre nos pieds, il y avait déjà de gros sacs de riz et des bidons. Nous avons réussi à nous débarrasser des bidons mais pas des sacs. Mais ça allait, les sièges étaient suffisamment hauts pour que cela ne soit pas si gênant. Le trajet a duré 10 heures et non 8 heures comme annoncé. Une demi-heure de pause à 7h pour le petit-déjeuner puis aucune pause avant 13h30 (déjeuner). Trajet sur des routes difficiles de montagnes mais paysages magnifiques. Distribuent des sacs en plastique pour vomir et beaucoup s'en servent.
Aucun moyen de dormir, on ne peut pas appuyer sa tête sur le dossier (trop bas) et les coussins se détachent des sièges très facilement. Certains sièges sont complètement cassés. Prennent d'autres voyageurs en cours de route qui restent debout pour la plupart ou qui se mettent à 4 sur des banquettes de 2...
- 3) Compagnie Bagan Minn Thar Express :Trajet Bagan-Pyay ou Yangon. Horrible ! Plus jamais ! Le prix est le même que vous vous arrêtiez à Pyay ou à Yangon. Une bouteille d'eau d'un litre par personne. Le bus est parti légèrement en avance de Bagan et complètement plein (15h). Nous devions arriver à Pyay à minuit peut-être, une heure sans doute ou 2 heures du matin plus certainement, mais nous ne sommes jamais arrivés, ou du moins pas avec ce bus ! Tous les sièges du bus sont vendus avant le départ, même les strapontins cassés. Le bus est passé nous chercher à l'hôtel déjà quasiment plein. Il n'y avait plus de place dans les soutes pour les bagages.
Un de nos sacs a été mis dernière nous (nous étions sur la banquette arrière du bus) et nous est tombé régulièrement sur la tête en cours de voyage. L'autre a été mis dans le couloir du milieu entre 2 strapontins où il ne faisait régulièrement marcher dessus. Je n'y connais absolument rien en mécanique mais je peux dire que le bus ne faisait pas un bruit normal.Jusqu'à la pause du dîner, tout s'est bien déroulé. Après dîner, avant que nous montions de nouveau dans le bus, ils ont dû le pousser pour redémarrer le moteur. Une fois ceci fait, le bus a pu partir. Une demi-heure après, le bus a calé. Les employés sont allés dans une sorte d'atelier et ils ont réparé une pièce en la refondant.
Ca a pris plus d'une heure avant que nous repartions. Nous sommes repartis mais peu de temps après, le bus a de nouveau calé. Là, ça a été beaucoup plus dur. Ils ont essayé de le redémarrer plusieurs fois en le poussant sans succès. Ils ont essayé d'utiliser la batterie d'un autre bus qui passait par là. Ca n'a pas marché. Pour ma part, j'ai fini par m'endormir. Puis, ils ont frappé à ma fenêtre (j'étais sur la banquette arrière) et m'ont demandé de sauter par la fenêtre. Il devait être environ une heure du matin. Le moteur était sous nos sièges et ils ont commencé à le réparer. Ca a marché et à 2 heures du matin, nous sommes enfin repartis et je me suis rendormie. Puis brusquement à 3h50 du matin, le bus est tombé dans le fossé ! Il y a eu un coup de frein très brusque, quelques cris, des pleurs d'enfants. Les sacs qui étaient derrière nous, nous sont de nouveau tombés sur la tête. Le bus était très penché. Heureusement, personne n'a été tué ni blessé. Nous sommes tous sortis. Les roues étaient cassés.
Le bus était dans le fossé et il y avait un arbre moins d'un mètre devant le bus. Nous avons attendu à côté du bus jusqu'à 7 heures du matin. De temps en temps, un camion passait et le chauffeur faisait tout pour essayer de faire sortir le bus du fossé pour qu'on puisse repartir ! Heureusement, ça n'a jamais marché. Au lever du jour, nous avons pu mesurer notre chance. Un arbre retenait le bus de tomber plus bas. Sans cet arbre, je ne sais pas ce que nous serions devenus... A partir de 6h30, des pick-up sont passés. Un employé du bus nous disait qu'un autre bus avait été envoyé et allait arriver mais heureusment, nous n'en avons pas tenus compte car ce bus de remplacement n'est jamais arrivé. Seuls les camions que l'on croisait pouvaient prévenir que nous étions accidentés ! A 7 heures, nous sommes montés dans un pick-up et nous avons mis 4h30 pour atteindre Pyay."
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<> Cambodge
--- (10/04) ----
"Réseau de bus développé. Le bus n'est valable que sur les routes en bon état, c'est à dire Siem Reap - Phnom Penh (de 5 à 8 US $), Kompong Cham - Phnom Penh (2 US $), Phnom Penh - Sihanoukville (3 US $)."()--- (6/02) ----"Réseau routier en très mauvais état et donc il faudra la plupart du temps accepter de voyager serré comme des sardines dans les bus, minibus ou pick-up (et de supporter en prime la merveilleuse odeur des durians dissimulés ça et là…)."
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--- (4/01) ----
"Nous n'avons utilisé le bus que entre Phom Penh (PP) et Sihanoukville. Nous sommes passés par notre Guesthouse à PP pour l'achat des billets. Il nous ont également conduit jusqu'à la station de bus. Compagnie : DH Cambodia LTD. Prix : celui indiqué dans le guide. On a pu changer la datre de départ après avoir acheté les billets à la Guesthouse. Climatisation du bus HS mais bus ponctuel et bonne route sur ce parcours."
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<> Chine
--- (7/06) ----"Réseau développé avec des bus privés ou publics. Bon confort pour tous, sécurité très correcte, coûts bon marchés."
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--- (7/02) ----
"Nous n'avons pas essayé les bus sur les longues distances, la circulation nous semblant très chaotique en Chine. Par contre nous les avons utilisés comme transport pour les environs des villes (rayon de 100 km) ou des bus publics peuvent exister aussi bien que des bus privés. Ils ne partent qu'une fois pleins, et parfois ne prennent pas les autoroutes. De plus, l'arrêt terminus n'est pas toujours celui annoncé. Tarifs autour de 10 Y (1,25 Euro) pour 100 km. Il faut être patient pour le remplissage du bus et savoir ce que remplir signifie : toutes les places assises et tout le couloir sur des sièges improvisés (planches en bois en équilibre parfois). L'attente peut donc être longue. Privilégier les bus ayant déjà du monde."(E. Joyeux et Ch. Homer)--- (9/01) ----"Bus : très développé. Pas cher, beaucoup de bus couchette. Problème : les chinois fument comme des pompiers et crachent partout."
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<> Inde
--- (Rajasthan : 10/06) ---
"Nous avons toujours pris les bus "deluxe" des compagnies privées avec sièges inclinables, beaucoup plus confortables, fiables, rapides et ponctuels que les bus gouvernementaux. Généralement il était perçu une prise en charge de 10 Rs par bagage pour le mettre dans la soute du bus."
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--- (4/06) ---
"Très développé. Le bus en Inde c'est grandiose ! Trajets et coûts : extraordinaire. Ponctualité : très variable. Il faut simplement trouver le bon bus dans des gares routières impressionnantes. Mais quelle aventure; à vivre absolument !"
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--- (1/06) ---
"Bus très développé. Routes encombrées, confort inexistant, heure de départ connue mais pas celle d'arrivée ! Coût plus que modique."
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--- (1/05) ---
"Le bus va partout. Donc à prendre quand il n'y a pas de train (de toute façon il n'y a alors pas le choix). Plus souple. En général pas de réservation (sauf cas particuliers des "Express bus" sur certains trajets) et bonne ambiance. Compter en moyenne environ 30-40 km/h. Prix très bas : environ 15/20 Rps par heure."
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--- (11/03) ---
"Réseau de bus bien développé mais plus lent que les jeeps/taxi.s Confort des bus indiens sommaire mais rencontres sympas avec les locaux (je me suis retrouvée plusieurs fois avec des enfants sur les genoux)."
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--- (5/03) ---
"Bus publics : transport pas forcément facile. J'ai eu tendance à sauter dans les bus, particulièrement dans le Kerala où il fallait s'accrocher pour rester à sa place. Ils sont en général en assez mauvais état. Plusieurs catégories de bus avec différents niveaux de confort. Moyen de transport très économique."
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--- (3/02) ---
"Les bus gouvernementaux, ceux que j'utilise pratiquement tout le temps, me font penser au bus qui sont utilisés pour emmener les prisonniers avec des sièges basiques, les vitres en plexiglas et surtout une grille qui sépare le chauffeur des passagers. Le prix n'est pas très élevé, moins de 30 Francs pour faire 500 km. Par contre, il ne faut pas compter plus de 30 a 40 km a l'heure de moyenne; ca laisse le temps a la rêverie et a la discussion."
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--- (fin 01) ---
"Réseau très développé. Attention, si le bus est un peu bondé il ne faut pas hésiter à se jeter à bras raccourcis dans la mêlée sinon pas de place... Tout le monde fait ça. De préférence ne pas se placer à l'arrière; personne ne fait jamais ça car c'est un coup à avoir l'impression de faire du cheval à chaque bosse (et il y en a) pendant tout le trajet..."
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--- (8/01) ---
"Réseau de bus très développé. Attention, méfiance : c'est pas cher (plus que le train tout de même), plus rapide, mais qu'est-ce que c'est inconfortable... De jour ça va encore, mais il ne faut pas avoir trop peur si l'on ne conduit pas car... les Bus sont les Pachas de la route. Ca klaxonne a tout va car le klaxon est le moyen de communication par excellence : "passe", "j'arrive", "je double", "j'ai fini de doubler", "je t'emmerde", "je préviens dans les virages", "je freine", etc... c'est le concert. Et en plus, comme ce sont les Pachas, tout le monde s'écarte devant eux et ils foncent (70-80, mais sur des routes défoncées et les passagers bondissent parfois). De nuit, c'est carrément infernal pour les nerfs. Impossible de dormir, je ne le souhaite pas à mon pire ennemi. Ca klaxonne, ça fonce et surtout, ce n'est pas ponctuel pour autant."
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--- (4/01) ---
"Réseau très développé. Je ne suis pas fan, et y a des Fangio en circulation. Les bus du sud sont généralement en meilleur état que dans le nord, mais un brin surchargés. Dans le sud, trouver une place à bord demande souvent un peu de vitesse : identifier le bon bus (ne pas hésiter à informer un maximum de gens sur le quai de votre destination, ils vous préviendront quand il rentre en gare), s'accrocher à une fenêtre avec un bout de tissu en main que vous tendez à n'importe quel passager pour qu'il le dépose sur un siège. A partir de là, vous pouvez aller boire un petit tchai, personne ne s'assiera à votre place. Oui, c'est athlétique, mais drôle une fois que l'on a la technique. Dans les grands centres de bus, pas de ces problèmes, vous pouvez réserver une place numérotée. Finalement, c'est moins amusant..."
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--- (2/01) ---
"Bus très rudimentaires et bon marché dans le sud de l'Inde. Monter au début de la ligne car problème de place avec les sacs à dos ensuite."
(F Bochereau, E. Homer)

<> Indonésie
---- (Bali et Java : 9/06) -----"

- A Bali :
 j'ai fait un peu figure de martien à vouloir utiliser les bus et bemos ! La politique est clairement d'encourager les touristes à louer des motos ou voitures (avec ou sans chauffeur) ou de "charteriser" des bus.Les arnaques sur les prix : Aucun prix fixé et pas de ticket = les prix demandés peuvent aller suivant la situation (que l'on est plus ou moins coincé, l'humeur du "contrôleur", la tête du client, etc) de + 20% ( = OK) à 5 fois le prix local ! On se fait avoir au début, mais au bout d' un moment on finit par connaître à peu près les prix . Il veut mieux négocier avant de monter (quand on connait les prix) et on peut aussi s'amuser à ne pas discuter et donner ce que l'on veut quand on paye (comme font les Indonésiens). C'est ce que je faisais dans certains cas à la fin du voyage (j'en avais assez de discuter à chaque fois) et ca marche bien.- A Java : les rabatteurs dans les stations de bus peuvent avoir tendance à amener vers les bus les plus chers (Air Con) et pas forcément vers le premier bus qui part."
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---- (Flores : 3/05) -----
"Les bus sont des tas de ferrailles pourris, archi-bondés, équipés de pneus ultra lisses (4 crevaisons en deux voyages). On voyage au milieu des sacs de riz, les genoux sous le menton, parfois avec la basse-cour. Quand personne n'est malade ça peut aller, dans le cas contraire mieux ne pas en parler ! L'horaire est une notion très vague, un bus ne part que quand il est plein. Aussi les équipages, toujours nombreux, s'arrachent littéralement les clients quand ils arrivent. Ainsi vous voyez votre sac partir sur un toit, votre femme enfournée dans un autre bus et vous bien... hum ! Le bus vient parfois vous chercher à l'hôtel. Mais dans ce cas si l'on vous dit 6h30 ce sera ou 6h00 (dans ce cas vous aurez une bonne place mais pour le "petit dej." tintin) ou 7h00 et alors là coté place ? Ensuite il fait le tour du pays pour charger et charger et encore... Le "bus terminal" sera l'étape finale où l'on termine la compression, l'excèdent sur le toit et le reste sur les échelles ! C'est le prix à payer pour la visite, les routards connaissent."
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---- (10/03) -----
"Bus très développé. En fait, ne l'utilisez qu'en dernier recours car il y a beaucoup d'accidents graves sur les routes. Préférez avion, train et minibus.Le minibus, je mentionne ce moyen de transport car il est très peu utilisé par les voyageurs occidentaux. Pourtant il est très pratique ici, surtout sur les distances pas trop longues. Il est moins confortable qu'un bus mais plus rapide, plus cher aussi bien qu'en calculant le prix des taxis les comptes sont vite faits. On les réserve aux réceptions des hôtels et ils pratiquent le "porte à porte" (pas besoin de traîner les bagages). Très utilisés par les indonésiens. Attention ils vont vite."
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---- (1/03) -----
"Le réseau intérieur de bus est très développé. On trouve des bus à toutes heures, qui font tous les trajets, et c'est pas très cher. Il y a des bus pour tous budgets : les bus éco (s'arrêtent souvent), les bus éco + AC, les bus de luxe, les bus spéciaux touristes (porte à porte). Nous, on ne connaît que les bus pourris, mais ils ont l'avantage de n'être pas chers. Il est possible (mais pas toujours facile) de réserver ses billets à l'avance aux agences des gares de bus.Les bus ne sont pas toujours ponctuels. Ils attendent souvent d'être pleins pour partir. On peut facilement avoir des heures de retard si on doit déposer la mémé dans son campung et le pépé dans sa ville natale. En tant que touristes, on se fait parfois un peu arnaquer. Mais en même temps, on arrive plus facilement à avoir des bons prix (négociés) parce que tout le monde meurt d'envie d'avoir un touriste à bord ! Il nous est arrivé de payer moins cher que tout le monde sans le vouloir (on négociait parce que cela nous semblait cher, et résultat on payé 25% de moins que tout le monde !)."()---- (8/01) -----"A Bali la compagnie Perama dessert toute l'île, elle a une fiche horaire avec les tarifs et vient vous chercher à l'hôtel pour 3 000 R supplémentaires. A Java et à Sumatra il est assez pénible de prendre les bus de ligne avec les sacs à dos, car les terminaux de bus sont situés à l'extérieur des centres villes ce qui oblige à prendre des "microlet" pour rejoindre les hôtels; de plus, ces bus s'arrêtent partout. Il existe des minibus climatisés qui font le transfert de ville à ville en vous laissant devant les hôtels, c'est l'option que nous avons choisie."
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<> Japon
------ (10/03) -------
"Réseau de bus développé. C'est un moyen de transport ponctuel et confortable."()

------ (5/01) -------
"Excellent système routier et un réseau de bus économiques (mais il faut du temps). Il existe des bus couchette de nuit."(xxxx)

<> Laos
------ (1/06) -------"Réseau développé pour des bus corrects, relativement ponctuels, pas trop bondés et abordables. Cela ne pose aucun problème de traverser le pays en bus."
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------ (1/06) -------
"Le même système qu'en Thaïlande est en train de se mettre en place avec les VIP bus (exclusivement remplis de touristes). Les places sont vendus pas les agences de voyage. Attention, en faire plusieurs car selon les endroits les prix varient. Ce n'est quelquefois pas beaucoup plus cher de prendre ce bus car ils viennent souvent vous chercher dans les guest-house ce qui évite de payer le taxi pour aller dans les gares routières. Nous avons fait les grands trajets de cette manière (pour la nuit c'est plus confortable). Nous avons aussi pris des bus locaux. Se rendre directement aux gares routières. Nous n'avons jamais réserve à l'avance. Par contre, il est bien d'arriver en avance (30 ou 45 minutes avant) pour avoir des places assises. - Exemples durée/prix :Luang Prabang - Nuaong Kiaw : 4h00 de route, 2,5 US $/pers (bus local).Vientiane - Pakse : 9 ou 10h00, 14 US $/personne avec dîner (bus Vip de nuit)."
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------ (3/05) -------
"Réseau développé. Les bus ne sont pas très rapides mais comme partout en Asie. Quelques routes dans le nord ne sont pas goudronnées. Ponctualité ok. Tous les grands axes sont desservis et pour les grandes villes plusieurs bus par jour. C'est un peu plus délicat pour les villages éloignés."
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------ (12/04) -------
"Réseau de bus développé. Transports assez fatigant au vu de l'état de la route. Les bus sont en assez bon état mais les trajets restent longs et fatigants."
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------ (2/03) -------
"Bus peu cher mais long et souvent peu confortable à cause de l'état des routes."
(P. Picard)

------ (2/03) -------
"Nous avons voyagé dans un bus local pour nous rendre à Luang Prabang avec un arrêt de 2 jours à Vang Vieng, et là je ne résiste pas à vous raconter le voyage.Le bus VIP avale ses "globe-passagers". Les places sont numérotées, mais en bon "farangs" (étrangers) que nous sommes, il semble que rien n'est respecté et bien sûr après un checking, il y a plus de passagers que de places ! Il y a toujours des resquilleurs ! Mais ce n'est pas grave, ils paient et 4 tabourets en plastique sont ajoutés, après tout un bus c'est fait pour transporter ! Puis commence la longue route, car il nous faut 7h30 pour parcourir les 220 km de Vang Vieng à Luang Prabang. Après une vingtaine de km en plaine, on aborde les montagnes. Notre bus bien chargé et d'un âge "certain" s'essouffle rapidement et lorsque le chauffeur rétrograde à mi côte, on n'est jamais sûr du coup ! D'ailleurs, calé dans la porte ouverte, un apprenti se tient prêt à sauter dehors, une cale à la main pour mettre sous la roue, au cas où...
On ne sait jamais... Ca rassure... mais le chauffeur connaît autant sa machine que la route et tout se passe bien. Pendant ce temps un deuxième apprenti alimente en eau le radiateur depuis la cabine, à l'aide d'un tuyau plastique et de petits bidons d'eau qu'il recharge de temps à autre au gré des "fontaines".
Il grimpe aussi sur le toit en passant par une fenêtre, le bus toujours en marche, pour vérifier l'arrimage des bagages, sait-on jamais ! Notre chauffeur connaît son affaire : doubler en haut d'une côte, dans un virage, ou quand un véhicule arrive en face, rien ne lui fait peur ! Il arrive ainsi à passer partout sans heurter une vache, sans renverser un gamin, sans écraser un poulet, sans molester un tuk tuk, le tout sur une route on ne peut plus sinueuse, juste assez large pour 2 véhicules et sans aucun bas côtés. Cela tient du prodige !!!"
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------ (1/02) --------
"Réseau développé. De Vientane à Luang Prabang : trajet 11 heures environ ... et 50 000 Kips pour le Farang (un peu moins pour les autres). Le confort est sommaire mais suffisant, le bus part à peu prés à l'heure mais de toute façon, c'est sympa d'assister au chargement de tout et n'importe quoi ! Les gens fument à l'intérieur, on voit de petites bestioles passées... Le paysage est d'une beauté extraordinaire même si on peut avoir quelques frayeurs en arrivant dans les montagnes, jolis ravins et routes médiocres par endroits. On traverse les villages bien loin de la masse touristique. L'ambiance est cool et si quelqu'un demande à s'arrêter : no problem et no souci si on n'arrive pas à l'heure; le bien être des voyageurs avant tout !"
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<> Malaise
------ (7/01) -------
"Le réseau de bus est très pratique sur la Péninsule, bien organisé et bon marché. Généralement, ils partent tous d'une gare routière centrale, bien située. Bus climatisés."
(E. Joyeux et Ch. Homer)

<> Mongolie
---- (9/02) -----
"Le bus est 1,5 à 3 fois plus long que la jeep mais ambiance et inconfort garantis !" ()---- (8/01) -----"Bus peu développé. Seuls des bus partent d'Ulan Bator et encore la plupart du temps se sont des mini-vans 4x4."
()

---- (fin 00) -----
"Les transports publics ne sont pas inexistants mais presque. En fait, un réseau de bus dessert les chefs-lieux des provinces mais dès qu'on veut en sortir il est nécessaire de disposer d'un véhicule et malheureusement il n'est pas toujours aisé d'en trouver un hors de la capitale."
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<> Népal
------ (4/02) --------
"Notre bus part à 7heures d'à côté du Palais Royal de Katmandou. Vous devez vous y rendre à 6h30 au plus tard (le temps de trouver le bus et de vous installer). Tous les bus touristiques pour Pokhara partent de là. Les billets ont été achetés, dans une agence à Thamel, la veille, au dernier moment pour 225 r/pers. Toutes les agences proposent le même prix (sauf "Greenline" avec clim et confort au top). A l'arrêt de bus, présentez votre billet à un chauffeur pour savoir lequel prendre (c'est écrit en népali). Il n'y a normalement pas de risque de vol. Sachez que les places au fond du bus sont les plus inconfortables.
En théorie, les billets sont numérotés par siège mais pas en pratique. Le voyage dure quelques heures alors pensez à prendre de l'eau et du ravitaillement malgré les arrêts. Avant de partir, dîtes au chauffeur que vous vous arrêtez à Dumre. Nous ne l'avons pas fait et le bus s'est arrêté 30 km plus loin que Dumre pour la pause déjeuner. Nous apercevant de l'erreur, nous avons pris un bus local dans l'autre sens. Le bus arrive normalement à Dumre à 10h30. Ensuite, il faut prendre un bus local jusqu'à Besisahar. A l'arrêt, le chauffeur nous montre l'autre bus à prendre. Il est déjà bondé et nous devons monter sur le toit. Le trajet dure 3 heures et nous n'avons pas envie de nous casser les reins. Un homme nous accoste et nous dit qu'un bus touristique passe dans une heure. Nous doutons mais décidons d'attendre et achetons le billet au même homme (avec reçu officiel) pour 200 r/pers. Vous l'aurez compris, nous attendons toujours…
Au bout d'un moment il nous trouve une place dans un bus local, je lui fais remarquer et me rend 100 r. J'ai quand même l'impression de mettre fait avoir, mais nous apprendrons par la suite que le tarif semble être celui-là. Nous partons de Dumre à 14h00 et arrivons à Besisahar vers 17h00."
()

------ (5/01) --------
"Beaucoup de bus locaux mais ils sont très très lents, surchargés et très vieux en général. L'état des routes assez mauvais et les arrêts fréquents rendent ce moyen de transports très long.Minibus plus faciles et plus rapides dans la vallée de Katmandou. Ces bus sont très peu chers.Bus pour touristes sur les grandes lignes (Katmandou-Pokhara-Chitwan) : plus cher mais plus sûr (parait-il). Il faut réserver par une agence (attention aux commissions parfois excessives !). Plusieurs compagnies, mais attention il faut comparer les prix (Katmandou-Pokhara à l'aller près de 700 rps, au retour 250 Rps !)."
()

<> Pakistan (10/04)
"Réseau de bus développé, confortable et rapide."()

<> Philippines
--- (8/05) ---
"Réseau de bus très développé. Chaque compagnie a sa gare routière à Manille; pas toujours facile à trouver. Les prix sont ceux des guides 2005 plus une dizaine de %. Confort sommaire en dehors de Luzon (Palawan). Pas d'arnaques sur les prix mis à part Puerto Princessa - Sabang. Selon les destinations, bus ou jeepneys sont à des tarifs équivalents. Les minibus, abordables, sont plus rapides car ils ont moins d'arrêts."
()

--- (5/00) ---
"Réseau développé. Confortable à partir de 250 pesos (env. 50FF) et si ce n'est pas un jeepney !!! Films à peine sortis au cinéma et déjà projetés sur le minuscule écran du bus. Climatisation à FOND, prévoir écharpe, gants, anorak , voire moonboots (pas franchement évident quand la température extérieure est supérieure à 40 C); franchement à croire qu'ils le font exprès !"
()

<> Sri-Lanka
--- (2/03) ---
"Le bus est utile lorsque le train ne fait pas la liaison. Mais ils sont bondés et avec nos sacs à dos nous prenions beaucoup de place. Nous avons donc pris une voiture avec chauffeur pour les trajets de plus de 2 heures."
()

--- (10/01) ---
"Les bus sont généralement assez bondés, ce qui est parfois un problème pour placer son sac-à-dos. Les bus intercity climatisés, un poil plus chers, sont moins pris d'assaut et donc préférables pour les longs trajets. Il y a des bus pour partout. Les bus locaux partent en général quand ils sont pleins. Ils sont généralement très fréquents pour toutes les destinations, mêmes locales, comme c'est le cas dans tous les pays où les gens n'ont pas les moyens d'avoir un transport individuel et où la densité de population est suffisamment importante.
Les prix sont aussi très bon marchés, il existe une différence entre les bus de l'ancienne compagnie publique nationale qui sont en général assez vieux et fatigués et ceux des compagnies privées, un peu mieux car souvent plus récents, quoique... Prix de quelques roupies pour un trajet local à moins de 200 roupies pour un long trajet en bus climatisé. Globalement, ce n'est pas proportionnel à la distance. Pour une distance très courte, le prix sera proportionnellement plus important, alors que pour des longues distances en bus simple et public le prix sera dérisoire."
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<> Taiwan (2/05)
"Bus très développé. Utilisé pour tous les autres trajets du voyage, sauf entre Taroko et le Sun Moon lake. Ponctuel et bien organisé, prix variant légèrement selon les compagnie, mais généralement moins cher que le train."
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<> Thaïlande
--- (10/05) ---
"Réseau de bus très développé. J'ai fait de très nombreux trajets. Il suffit de se rendre à la gare routière où on trouve beaucoup de compagnies mais une qualité et confort très variables. Les prix sont les mêmes que pour les thais. Ils sont imbattables : après calcul sur plus de 3 000 km, cela revient à environ 1 Euro les 100 km !"()--- (1/04) ---"Bus très développé et parfois moins cher par agence que par bus public."
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--- (1/03) ---
"Bus : très développés. Assez confortables, très lents, pas très ponctuels mais vraiment vraiment pas chers."
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--- (7/02) ---
"Bus très développé. Trajets Chiang Mai-Chiang Rai-Chiang Khong (frontière Laos). Ponctualité au niveau des horaires. Confort simple mais avec ventilateur, collation fraîche offerte. Inutile de passer par des agences, départ toutes les heures."
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--- (1/01) ---
"De Mae Sot, je poursuis ma route jusqu'à Mae Sariang. Ce voyage de 7 heures restera mon meilleur souvenir. Il est 8h00, l'air est vif, je ne porte que ma chemise et j'ai un peu froid avec la vitesse. Le songthaew (sorte de camionnette servant de bus) s'élance à plus de 100 km/h, les petits bouddhas disposés sur le tableau de bord nous protégeant. Le songthaew s'arrête sans cesse pour prendre des personnes au bord de la route. Il y a une dizaine de places mais nous sommes 28; certains sont agrippés sur les cotés. Au fond, je suis complètement écrasé.
Les sacs sont sur le toit. Je serai le seul blanc du voyage. A côté de moi, se trouve une jeune thai, avec son walkman et son portable a la main, qui rentre le week-end dans sa famille. En face, se trouve de vieilles femmes, des karens (tribus montagnardes), que l'on reconnaît par leur costume traditionnel multicolore. Une femme me donne quelques gousses de tamarin (fruit marron ayant un peu le goût de la pâte de coing). Notre songthaew est arrêté à plusieurs reprises par des barrages de militaires pour contrôler les papiers. Les militaires font partie des troupes de commandos, mitraillettes à la main. De larges jeeps américaines des GI'S nous suivent régulièrement. La frontière birmane n'est qu'à 1 km, juste derrière les montagnes. Parfois, la route devient une piste ocre et poussiéreuse. Un nuage de poussière envahit le songthaew, mes vêtements sont complètement rouges. Après un voyage de 7 heures pour 200 km, j'arrive à Mae Sariang en milieu d'après-midi, exténué mais après avoir vécu tant d'instants magiques..."
()

<> Vietnam
--- (2/05) ---
"Bus très bien développé. Plusieurs compagnies desservent toutes les villes. Services assez ponctuels. Il y a les compagnies pour touristes plus confortables que les locaux pour un prix très compétitif; faire jouer la concurrence pour avoir le meilleur prix. Ils viennent vous chercher à votre hôtel. Il existe un ticket open tour au tarif très attractif d'environ 30 US $ pour faire Saigon - Hanoi mais celui-ci n'est intéressant que pour les personnes ayant prévu leur itinéraire à l'avance.Pour les transports allers simples vous pouvez réserver dans l'hôtel où vous logez mais ce sera toujours avec une compagnie en relation avec cet hôtel. A l'arrivé à destination vous serez toujours arrêté près d'un hôtel en relation avec la compagnie de bus. Si ce n'est pas votre choix vous devrez vous débrouiller seul et vous dépatouillez des griffes des rabatteurs, mais cela se passe toujours très bien."
()

--- (12/04) ---
"Bus développé. Généralement assez ponctuel. Il existe le fameux Open Ticket qui permet de voyager entre Hanoi et Saigon (ou inversement) avec plusieurs arrêts prédéfinis. J'ai vu des prix à 18 US $ mais compter plutôt sur une moyenne de 20-25 US $.
()

--- (8/04) ---"Bus très développé. Temps de trajets très très variables et fonction de l'état et de l'encombrement des routes. Il existe des forfaits entre Hanoi et Saigon, avec des haltes possibles dans les principales ville touristiques (Dalat, Hoian, Danang, Nha Trang, etc). Mais attention, la formule est peu souple (si vous voulez sortir des sentier battus) avec parfois des "haltes" prolongées dans les hôtels de la compagnie pour vous "proposer" une chambre..."
()

--- (fin 02) ---
"Bus de ligne pour touristes avec a/c, nombre de place respecté, plus rapide. Les bus locaux sont moins chers et bien sûr moins confortables mais permettent le contact avec la population."(xxx)

--- (4/02) ---
"Bus très développé. Bus de nuit de Hoi An à Nah Trang et de Nah Trang à Saigon. On est très secoué mais ça va ! Les bus de nuit sont peu chers (6 à 8 US $)."
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--- (4/01) ---
"J'arrive au Vietnam après 39 heures de bus depuis le Laos. Je retrouve les routes goudronnées. Après une multitude d'arrêts interminables, j'arrive à Danang à 21h00. Je m'entends avec un cyclo (un vélo avec un grand siège à l'avant) pour qu'il nous conduise à la gare routière à 15 km du centre demain matin. A 3h30 du matin, il est au rendez-vous, il a en fait dormi dans son cyclo. Les vietnamiens ont toujours le chic de mettre un unique bus à 5h00 du matin partant d'un endroit à l'extrémité de la ville, histoire de décourager les voyageurs indépendants ! Après plus d'une heure de traversée de la ville, la gare routière repérée la veille n'apparaît toujours pas.
Notre chauffeur ne sait en réalité pas où elle se trouve. Il finit par nous déposer à 5h00 au bord de la route en nous disant qu'un bus allant à Mai Chau s'y arrêtera. Une femme nous confirme ses dires. Le bus arrive comme prévu un peu plus tard. Nous ne partons finalement qu'a 6h30 après avoir fait le plein de personnes et de marchandises (...) Un bus me conduit à Lai Chau. Nous passons le col de Tramton sous un épais brouillard. Je retrouve ensuite les joies du Laos avec une belle piste défoncée. Je subis ici ma plus grosse arnaque dans ce bus public. On me fait payer 10 fois le prix normal. Après quelques vives protestations, le bus s'arrête. On me demande de payer ou de descendre ici, à 20 km du 1er village. Ce sont aussi les joies du Vietnam !!"
()
 
Pacifique

<> Australie
 --- (1/05) ---
"Réseau de bus développé. J'ai surtout utilisé Greyhound sur la partie Australie de l'Ouest. Prix à mon avis relativement chers. L'achat d'un pass est sans doute à conseiller. Je n'ai pas choisi cette solution car j'ai préféré privilégier la possibilité de rencontrer des voyageurs possédant une voiture et donc économiser sur les frais d'essence. Pour les longues distances, il vaut peut-être mieux penser à prendre l'avion qui finalement est parfois moins cher surtout avec les offres par Internet. L'autre désavantage de Greyhound est qu'il y a parfois un service tous les 3 jours (ex. : Coral Bay - Exmouth). Par contre un bus quotidien sur la liaison Perth - Darwin."
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<> Fidji
--- (3/05) ---
"Réseau de bus développé. Les bus sont assez lents mais d'après les Fidjiens plus sûrs que les minibus ou les taxis collectifs. Exemple de prix trajet Nadi - Suva (185 km) : bus pour 40 $F (4h10); minivan pour 12 $F (3h15); taxis collectifs pour 15 à 17 $F (moins de 3 heures).
()

<> Nouvelle Zélande
--- (4/05) --- "Réseau développé. Les bus sont très chers, mais il y a beaucoup de petites compagnie sur l'île du Sud et donc une concurrence assez forte."
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--- (4/04) ---
"J'ai juste pris la navette de l'aéroport à Auckland et regardé les pass de bus... Moralité faites du stop ! C'est cher et il y a peu de bus, surtout les Kiwi Expérience..."
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<> Polynésie (4/05)
"Réseau de bus développé. Sur n'importe quelle île, il y a toujours un moyen de se déplacer notamment avec le "Truck "qui désigne les bus locaux."
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<> Vanuatu (8/03)"Réseau de bus inexistant mais par contre le système de taxis collectifs est très développé."
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